vendredi 4 octobre 2024
CLUB5A - LE DESSIN DU MOIS - UN PEU D'AMERIQUE EN EUROPE................ L'OPEL RECORD P1 .....
Opel Rekord P1 (1960)
Propriété de la Général Motors, Opel, c’était un peu d’Amérique en Europe. Le style du constructeur était directement inspiré de la maison mère (Ne retrouve-t-on pas un peu de Chevrolet 56-57 dans cette Rekord ?), tout comme la mécanique : simple, fiable et robuste.
Propriété de la Général Motors, Opel, c’était un peu d’Amérique en Europe. Le style du constructeur était directement inspiré de la maison mère (Ne retrouve-t-on pas un peu de Chevrolet 56-57 dans cette Rekord ?), tout comme la mécanique : simple, fiable et robuste.
De quoi affronter sans crainte les bouchons de la route des vacances, surtout si on arrive du Nord de l’Europe et plus rarement, comme ici, de la région parisienne…
Derrière, deux habituées de la Nationale 7, une Simca Aronde 57 et une Renault Domaine, version break de la Frégate, apparue en 1956.
Derrière, deux habituées de la Nationale 7, une Simca Aronde 57 et une Renault Domaine, version break de la Frégate, apparue en 1956.
Source : Thierry DUBOIS -
erclassicsholland
CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? ....LE PERE DE LOUIS CHEVROLET ETAIT UN FRANCAIS !
Louis Chevrolet était un pilote de course à succès dont le père était français.
Le nom Chevrolet vient du mot français Chèvre.
Chevrolet a été formé par Louis Chevrolet, son frère Arthur Chevrolet, et le propriétaire de Buick William Durant, qui a fait de Chevrolet partie de sa société avec General Motors (inspiré de General Electric).
Chevrolet a été indépendant pendant 7 ans avant G-M. La première Chevrolet a utilisé un 6 cylindres de 4,9 litres (40 ch.) Ce qui était énorme pour l’époque....
CLUB5A - CULTURE PUB PEUGEOT 208 GTI ... LA LÉGENDE !!
La Peugeot 205 est un modèle automobile du segment B produit par le constructeur français Peugeot. Elle est l'un des modèles phares du constructeur, qui le sauve d'une situation financière délicate après l'achat de Chrysler Europe. Elle est fabriquée de 1982 à 1998 à 5 278 300 exemplaires, ce qui fait d'elle la Peugeot la plus produite jusqu'à ce que la 206 la dépasse. Elle est la voiture la plus vendue en France en 1984 et 1985, succédant à la Renault 5, et de nouveau en 19901, disputant la première place à sa principale rivale, la Renault Supercinq.
Elle possède plusieurs types de carrosserie : berlines 3 et 5 portes, cabriolet et fourgonnette. Ses motorisations vont de 954 cm3 à 1 905 cm3 pour des puissances allant de 45 à 130 ch (et même 200 ch pour la 205 Turbo 16 série 200).
La 205 est issue du projet M24, étudié dès 1977 par Peugeot. Le premier prototype voit le jour en 1981 et la production sera entamée fin 1982 pour une sortie le 23 février 1983. La production de la 205 a été stoppée début 1998.
La 205 est aussi une voiture mythique de l'histoire du sport automobile grâce à sa version Turbo 16, qui, aux mains de Ari Vatanen, Timo Salonen et Juha Kankkunen, gagne les titres pilote et constructeur du Championnat du monde des rallyes en 1985 (Salonen) et 1986 (Kankkunen), puis le Paris Dakar en 1987 (Vatanen) et 1988 (Kankkunen), et le Championnat de France de rallycross en 1988 (Guy Fréquelin), 1989 (Philippe Wambergue) et 1990 (Jean-Manuel Beuzelin).
La 205 tient une place particulière dans l'histoire de la marque. C'est elle qui a sauvé Peugeot. Elle est d'ailleurs encore présente sous forme de clin d'œil dans de nombreuses publicités contemporaines de la marque. En 1982, une longue grève mobilisa Talbot.
C'est la 205, sortie l'année d'après, qui relança le site de Poissy en l'avenir duquel plus personne ne croyait. Entretemps, devant le succès du modèle, une production de 205 a aussi été lancée à l'usine PSA de Sochaux ainsi qu'à l'usine PSA de Madrid pour le marché espagnol, avec le « moteur Poissy ». Le potentiel de production, initialement de l'ordre de 800 véhicules/jour, se trouve finalement porté à quelque 2400 véhicules/jour.
Source : Les Pilotes du Dimanche
jeudi 3 octobre 2024
CLUB5A - LE 10ème RALLYE DE LA CITE DES MOTOS ANCIENNES....C'ETAIT LE 29 SEPTEMBRE 2024 !
Pour ce 10ème Rallye de la Cité les conditions météo étaient au zénith et nous a accompagnés tous le long de cette belle journée. C'est à partir de 7h que les concurrents étaient accueillis sur les berges de l'Aude à la halle aux sports de Carcassonne.(Siège de notre association).
Nous avons rencontré une fraîcheur matinale et automnale dans la montée de la Malepère, mais l'arrivée du soleil a été le bienvenue pour un petit déjeuner sucré et salé sur les contreforts du Razes à Villelongue d’Aude, retour sur Carcassonne par les rives de l'Aude....
40 motos, d'avant 1945 étaient engagées pour cette édition :
Un plateau exceptionnel.
des modèles rares comme une Rovin 500 de 1931 dont il ne subsiste que 3 exemplaires ...
Une Terrot Entretube 1924..
Une 500 RSS 1934 ..
Une BSA S de 1929..
Une velocette KNSs 1929..
Une Monet-Goyon 350cc LS4 de 1934... Une Moto-Guzzi PE 250 cc1937…
Une FN 500 M90 1931...
Une Sarolea 350cc type 25 oa 1930....
On ne peut toutes les citer...
De nombreuses Motobécane, Peugeot, Mone- Goyon, Velocette, Norton, Matchless, Automoto, Terrot, Harley-Davidson, etc. etc.
Autant de marques célèbres de cette industrie motocyclette mécanique florissante et innovante stoppée net malheureusement par la seconde guerre mondiale.
Toute cette colonne de motards passionnés s'est avancée vers les remparts de la cité de Carcassonne, où nous attendait la présidence du club pour l'apéritif, puis ce fut la solennelle montée dans l'enceinte de la cité médiévale... privilège exceptionnel que de pouvoir circuler sur nos ancêtres dans ce monument classé au patrimoine mondial de l'humanité ...
Suivie de l'exposition des motos devant l'historique et prestigieux hôtel de la cité et la cathédrale…
Une telle manifestation ne peut exister que grâce à l'adhésion de tous !
La section moto du club des 5 A remercie tous les participants qui ont répondu présent pour cette 10e édition.(Rendez-vous sans faute l'année prochaine !)
Nous remercions également le staff organisateur, l'assistance panne, l'assistance parcours qui ont permis l'organisation de cette belle journée sans oublier Lisèle pour la partie création de la plaque et de l'affiche...
Bravo et merci à tous !
CLUB5A - SPORT AUTO - La course automobile Paris-Madrid en 1903... La course meurtrière
Nous ne ferons pas ici le récit exhaustif du déroulé de cette course qui s’annonçait comme un événement extraordinaire dans ce début de siècle plein d’effervescence de progrès techniques et de bouillonnement des esprits. Beaucoup de choses ont été déjà écrites. Mais à la suite de l’histoire des automobiles Charles Alexandre Brouhot récemment publiée qui abandonna la compétition après l’accident de sa voiture dans cette course j’ai souhaité faire le point sur au combien l’enthousiasme a conduit au tragique.
En octobre 1902, l'Automobile Club de France décide de tenir une course automobile entre les deux capitales. Les inscriptions sont ouvertes à la mi-janvier et, rapidement, les principaux constructeurs s'inscrivent. Au total, 315 concurrents sont inscrits : prendront part au départ de la course 127 automobiles, 23 voiturettes et 47 motocyclettes. Il faut dire que les course entre capitales européennes étaient très prisées et préfigurait déjà de l’universalité de cette invention qu’était l’automobile. La première course étant Paris Berlin en 1901.
Commencée le dimanche 24 mai 1903 à 3 h 30 du matin à Versailles et initialement prévue pour s'étendre sur trois journées, les 24, 26 et 27 mai, elle est arrêtée par les autorités avant son terme, à Bordeaux, en raison du grand nombre d'accidents.
La traversée des villes est neutralisée. Les bolides doivent se frayer un passage sur des routes sans revêtement où il y a tellement de poussière que la « navigation » se fait par rapport aux arbres qui bordent et au milieu de spectateurs enthousiastes et inconscients du danger. Louis Renault atteindra 140 Km/h dans une descente avec ces conditions. Le vainqueur Fernand Gabriel sur son « torpilleur Mors », aura parcouru les 552 km à plus de 105 km/h de moyenne.
Le premier accident survient au passage à niveau de la ligne de Paris à Tours, à deux kilomètres de Bonneval. La voiture 243, conduite par Porter, prend feu et le malheureux chauffeur, tombé en dessous, meurt carbonisé.
Deuxième accident à Ablis : une automobile surprend une femme qui traverse la route et la tue sur le coup.
À quelques kilomètres de Poitiers, (le troisième accident) la machine de Marcel Renault verse dans un fossé ; lui-même est projeté à six mètres. Il est transporté à Couhé-Vérac dans un état désespéré. Il décèdera quelques heures plus tard.
Trois kilomètres après Angoulême, le coureur Touran sur Brouhot décolle d'un pont, provoquant la mort du mécanicien et de trois spectateurs : deux soldats et un enfant (le quatrième accident)
Près de Montguyon, (le cinquième accident) à la Combe-du-Loup, devant Arveyres, M. Stead, conducteur du no 18, est mortellement blessé à la suite d'une collision avec la voiture 96.
Le mécanicien de M. Stead est également blessé.
À Arveyres, la voiture no 5, (le sixième accident) pilotée par Claude Loraine-Barrow, rencontre un chien, braque et vient percuter un arbre. Des deux hommes qui la conduisent, l'un, le mécanicien, est tué, l'autre, M. Loraine-Barrow, est dans un état désespéré.
La voiture est en morceaux. Le chien a littéralement été réduit en bouillie.
Lucien Lesna, sur motocyclette Peugeot, est victime d'un accident. Sa fracture du genou mettra un terme à sa carrière de cycliste (le septième accident)
Devant cette hécatombe les autorités fort justement arrêteront la course.
Les conséquences seront vers une nouvelle organisation en circuits fermés en en augmentant les conditions de sécurité qui se poursuivent encore aujourd’hui.
On notera la 77 ème place de Madame Camille Du Gast sur une De Dietrich dont nous avons déjà retracé la vie de pilote..
Source : Paris – Madrid 1903 la course meurtrière.King Rose Archives
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Musée Peugeot : exposition d'anciens véhicules électriques...
Musée Peugeot : exposition d'anciens véhicules électriques
Le musée de l’Aventure Peugeot retrace l'histoire du véhicules électriques de 1941 à 2010.
Les voitures électriques ont le vent en poupe ! Et, ça ne date pas d'aujourd'hui... Dès la fin du 19e siècle, les constructeurs se sont intéressés à l’électricité pour animer nos véhicules. Mais, la faible autonomie des batteries, qui étaient par ailleurs très lourdes et coûteuses à fabriquer, ont eu raison de ce mode de propulsion. Il est abandonné au profit du pétrole et des moteurs à combustion. Aujourd'hui, cette énergie fait son retour en force dans nos véhicules.
Peugeot, qui avait déjà proposé une mise en bouche autour de cette thématique aux visiteurs du Salon Rétromobile 2020, la met une nouvelle fois à l'honneur. Cette fois, cela se passe au sein du musée de la marque à Sochaux (25). Du 4 juillet 2020 au 31 janvier 2021, venez découvrir l'exposition "Electrique" autour d'une collection de 8 véhicules. De l’électrique chez Peugeot dès 1902 Dès 1902, Peugeot étudie la possibilité d'intégrer dans des véhicules de livraison une motorisation électrique.
Quelques exemplaires sont fabriqués, mais le projet est abandonné... Ce n'est qu'en 1941 que Peugeot commercialise officiellement son premier modèle à batteries. C'est la VLV. Le "Véhicule Léger de Ville" voit le jour durant l'occupation, alors que l'essence est rationnée. Ce mini-cabriolet biplace n'est produit qu'à 377 exemplaires jusqu'en 1946. Modèle auquel le constructeur au lion n'offrira pas de descendance directe. Il faudra patienter jusque dans les années 70/80 pour que Peugeot remette le couvert, sous pression du gouvernement français soucieux de développer cette filière. Avec Alstom et EDF, le constructeur décline des 104 (4 coupés et 3 fourgonnettes) puis sur des utilitaires J5 et J9 électriques.
En 1983, débute un programme autour de la 205. Cette collaboration entre PSA et SAFT (batteries) fera naître le projet 106 Electric en 1993. La citadine, produite à 3.542 exemplaires entre 1993 à 2003, sera l'une des stars de l'exposition "Electriques". Voici les autres modèles exposés à ses côtés. Les modèles de l'exposition "Electriques" de Peugeot - Peugeot iOn Concept Il voit le jour en 1994. Ce "véhicule d’exploration" n'a pas grand chose avoir avec le modèle commercialisé depuis 2010. Cette dernière reprend trait pour trait ceux de la Mitsubishi i-Miev. - Peugeot TULIP concept En 1996, le constructeur imagine une série de 6 véhicules urbains rechargeables... par induction !
On parle ici de l'ancêtre des Autolib, puisque les autos étaient destinées à être vendue aux collectivités locales dans le but d’être louées par les habitants. Le nom du Tulip est l'acronyme de "Transport Urbain Libre, Individuel et Public". - Peugeot Touareg Concept Avant que Volkswagen ne s'empare de cette appellation, Peugeot en avait fait l'usage pour l'un de ses concepts de tout terrain présenté en 1996 au salon de Paris. Il est doté d’un groupe électrogène qui permet aux batteries nickel/cadmium hydrure de se recharger de façon autonome.
Le musée de l’Aventure Peugeot retrace l'histoire du véhicules électriques de 1941 à 2010 dans une exposition qui débute le samedi 4 juillet 2020. Les voitures électriques ont le vent en poupe ! Et, ça ne date pas d'aujourd'hui... Dès la fin du 19e siècle, les constructeurs se sont intéressés à l’électricité pour animer nos véhicules. Mais, la faible autonomie des batteries, qui étaient par ailleurs très lourdes et coûteuses à fabriquer, ont eu raison de ce mode de propulsion.
Il est abandonné au profit du pétrole et des moteurs à combustion. Aujourd'hui, cette énergie fait son retour en force dans nos véhicules. Peugeot, qui avait déjà proposé une mise en bouche autour de cette thématique aux visiteurs du Salon Rétromobile 2020, la met une nouvelle fois à l'honneur. Cette fois, cela se passe au sein du musée de la marque à Sochaux (25).
Du 4 juillet 2020 au 31 janvier 2021, venez découvrir l'exposition "Electrique" autour d'une collection de 8 véhicules. De l’électrique chez Peugeot dès 1902 Dès 1902, Peugeot étudie la possibilité d'intégrer dans des véhicules de livraison une motorisation électrique. Quelques exemplaires sont fabriqués, mais le projet est abandonné... Ce n'est qu'en 1941 que Peugeot commercialise officiellement son premier modèle à batteries. C'est la VLV.
Le "Véhicule Léger de Ville" voit le jour durant l'occupation, alors que l'essence est rationnée. Ce mini-cabriolet biplace n'est produit qu'à 377 exemplaires jusqu'en 1946. Modèle auquel le constructeur au lion n'offrira pas de descendance directe. Il faudra patienter jusque dans les années 70/80 pour que Peugeot remette le couvert, sous pression du gouvernement français soucieux de développer cette filière. Avec Alstom et EDF, le constructeur décline des 104 (4 coupés et 3 fourgonnettes) puis sur des utilitaires J5 et J9 électriques. En 1983, débute un programme autour de la 205.
Cette collaboration entre PSA et SAFT (batteries) fera naître le projet 106 Electric en 1993. La citadine, produite à 3.542 exemplaires entre 1993 à 2003, sera l'une des stars de l'exposition "Electriques". Voici les autres modèles exposés à ses côtés.
Les modèles de l'exposition "Electriques" de Peugeot
- Peugeot iOn Concept
Il voit le jour en 1994. Ce "véhicule d’exploration" n'a pas grand chose avoir avec le modèle commercialisé depuis 2010. Cette dernière reprend trait pour trait ceux de la Mitsubishi i-Miev.
- Peugeot TULIP concept
En 1996, le constructeur imagine une série de 6 véhicules urbains rechargeables... par induction !
On parle ici de l'ancêtre des Autolib, puisque les autos étaient destinées à être vendue aux collectivités locales dans le but d’être louées par les habitants. Le nom du Tulip est l'acronyme de "Transport Urbain Libre, Individuel et Public". - Peugeot Touareg Concept Avant que Volkswagen ne s'empare de cette appellation, Peugeot en avait fait l'usage pour l'un de ses concepts de tout terrain présenté en 1996 au salon de Paris. Il est doté d’un groupe électrogène qui permet aux batteries nickel/cadmium hydrure de se recharger de façon autonome. - Peugeot e-doll Concept L’e-doll Concept est présenté au salon de Paris en 2000, c’est un concept-car de la collection des "City Toyz".
Il est animé par deux moteurs en provenance directe du scooter Peugeot Electric. - Peugeot BB1 Le concept-car BB1 est présenté au salon de Francfort en 2009. Cette auto de seulement 2,5m de long, peut accueillir quatre personnes. Elle est propulsée par un moteur électrique de 20ch et ses instruments de bord sont alimentés par des cellules photovoltaïques.
Son poids se limite à 600 kg. - Peugeot EX1 Ce concept sportif 100% électrique a été présenté en 2010. C’est un roadster biplace à l’allure futuriste. Il est équipé de deux moteurs électriques, qui au total, développent 340 ch. L'EX1, qui profite d'une transmission intégrale, compte plusieurs records de vitesse aux mains de l'aventurier Nicolas Vanier.
Source : autoplus.fr/-.Leblogauto
Les voitures électriques ont le vent en poupe ! Et, ça ne date pas d'aujourd'hui... Dès la fin du 19e siècle, les constructeurs se sont intéressés à l’électricité pour animer nos véhicules. Mais, la faible autonomie des batteries, qui étaient par ailleurs très lourdes et coûteuses à fabriquer, ont eu raison de ce mode de propulsion. Il est abandonné au profit du pétrole et des moteurs à combustion. Aujourd'hui, cette énergie fait son retour en force dans nos véhicules.
Peugeot, qui avait déjà proposé une mise en bouche autour de cette thématique aux visiteurs du Salon Rétromobile 2020, la met une nouvelle fois à l'honneur. Cette fois, cela se passe au sein du musée de la marque à Sochaux (25). Du 4 juillet 2020 au 31 janvier 2021, venez découvrir l'exposition "Electrique" autour d'une collection de 8 véhicules. De l’électrique chez Peugeot dès 1902 Dès 1902, Peugeot étudie la possibilité d'intégrer dans des véhicules de livraison une motorisation électrique.
Quelques exemplaires sont fabriqués, mais le projet est abandonné... Ce n'est qu'en 1941 que Peugeot commercialise officiellement son premier modèle à batteries. C'est la VLV. Le "Véhicule Léger de Ville" voit le jour durant l'occupation, alors que l'essence est rationnée. Ce mini-cabriolet biplace n'est produit qu'à 377 exemplaires jusqu'en 1946. Modèle auquel le constructeur au lion n'offrira pas de descendance directe. Il faudra patienter jusque dans les années 70/80 pour que Peugeot remette le couvert, sous pression du gouvernement français soucieux de développer cette filière. Avec Alstom et EDF, le constructeur décline des 104 (4 coupés et 3 fourgonnettes) puis sur des utilitaires J5 et J9 électriques.
En 1983, débute un programme autour de la 205. Cette collaboration entre PSA et SAFT (batteries) fera naître le projet 106 Electric en 1993. La citadine, produite à 3.542 exemplaires entre 1993 à 2003, sera l'une des stars de l'exposition "Electriques". Voici les autres modèles exposés à ses côtés. Les modèles de l'exposition "Electriques" de Peugeot - Peugeot iOn Concept Il voit le jour en 1994. Ce "véhicule d’exploration" n'a pas grand chose avoir avec le modèle commercialisé depuis 2010. Cette dernière reprend trait pour trait ceux de la Mitsubishi i-Miev. - Peugeot TULIP concept En 1996, le constructeur imagine une série de 6 véhicules urbains rechargeables... par induction !
On parle ici de l'ancêtre des Autolib, puisque les autos étaient destinées à être vendue aux collectivités locales dans le but d’être louées par les habitants. Le nom du Tulip est l'acronyme de "Transport Urbain Libre, Individuel et Public". - Peugeot Touareg Concept Avant que Volkswagen ne s'empare de cette appellation, Peugeot en avait fait l'usage pour l'un de ses concepts de tout terrain présenté en 1996 au salon de Paris. Il est doté d’un groupe électrogène qui permet aux batteries nickel/cadmium hydrure de se recharger de façon autonome.
Le musée de l’Aventure Peugeot retrace l'histoire du véhicules électriques de 1941 à 2010 dans une exposition qui débute le samedi 4 juillet 2020. Les voitures électriques ont le vent en poupe ! Et, ça ne date pas d'aujourd'hui... Dès la fin du 19e siècle, les constructeurs se sont intéressés à l’électricité pour animer nos véhicules. Mais, la faible autonomie des batteries, qui étaient par ailleurs très lourdes et coûteuses à fabriquer, ont eu raison de ce mode de propulsion.
Il est abandonné au profit du pétrole et des moteurs à combustion. Aujourd'hui, cette énergie fait son retour en force dans nos véhicules. Peugeot, qui avait déjà proposé une mise en bouche autour de cette thématique aux visiteurs du Salon Rétromobile 2020, la met une nouvelle fois à l'honneur. Cette fois, cela se passe au sein du musée de la marque à Sochaux (25).
Du 4 juillet 2020 au 31 janvier 2021, venez découvrir l'exposition "Electrique" autour d'une collection de 8 véhicules. De l’électrique chez Peugeot dès 1902 Dès 1902, Peugeot étudie la possibilité d'intégrer dans des véhicules de livraison une motorisation électrique. Quelques exemplaires sont fabriqués, mais le projet est abandonné... Ce n'est qu'en 1941 que Peugeot commercialise officiellement son premier modèle à batteries. C'est la VLV.
Le "Véhicule Léger de Ville" voit le jour durant l'occupation, alors que l'essence est rationnée. Ce mini-cabriolet biplace n'est produit qu'à 377 exemplaires jusqu'en 1946. Modèle auquel le constructeur au lion n'offrira pas de descendance directe. Il faudra patienter jusque dans les années 70/80 pour que Peugeot remette le couvert, sous pression du gouvernement français soucieux de développer cette filière. Avec Alstom et EDF, le constructeur décline des 104 (4 coupés et 3 fourgonnettes) puis sur des utilitaires J5 et J9 électriques. En 1983, débute un programme autour de la 205.
On parle ici de l'ancêtre des Autolib, puisque les autos étaient destinées à être vendue aux collectivités locales dans le but d’être louées par les habitants. Le nom du Tulip est l'acronyme de "Transport Urbain Libre, Individuel et Public". - Peugeot Touareg Concept Avant que Volkswagen ne s'empare de cette appellation, Peugeot en avait fait l'usage pour l'un de ses concepts de tout terrain présenté en 1996 au salon de Paris. Il est doté d’un groupe électrogène qui permet aux batteries nickel/cadmium hydrure de se recharger de façon autonome. - Peugeot e-doll Concept L’e-doll Concept est présenté au salon de Paris en 2000, c’est un concept-car de la collection des "City Toyz".
Il est animé par deux moteurs en provenance directe du scooter Peugeot Electric. - Peugeot BB1 Le concept-car BB1 est présenté au salon de Francfort en 2009. Cette auto de seulement 2,5m de long, peut accueillir quatre personnes. Elle est propulsée par un moteur électrique de 20ch et ses instruments de bord sont alimentés par des cellules photovoltaïques.
Son poids se limite à 600 kg. - Peugeot EX1 Ce concept sportif 100% électrique a été présenté en 2010. C’est un roadster biplace à l’allure futuriste. Il est équipé de deux moteurs électriques, qui au total, développent 340 ch. L'EX1, qui profite d'une transmission intégrale, compte plusieurs records de vitesse aux mains de l'aventurier Nicolas Vanier.
Source : autoplus.fr/-.Leblogauto
mercredi 2 octobre 2024
CLUB5A - RETOUR SUR IMAGE - Les Cocottes du Désert - Rallye des Gazelles...
Le Rallye Aïcha des Gazelles est partenaire d'une grande opération solidaire qui vise à offrir dans 115 hôpitaux, un Noël aux enfants atteints d'un cancer.
Un concept créé par le Rallye Aïcha des Gazelles du Maroc qui donne lieu à un classement spécifique sur l’événement (en plus du classement général).
Les équipages inscrits au challenge auront deux défis à relever :
- Promouvoir les couleurs d’une association humanitaire en médiatisant les messages et les actions de celle-ci dans le but de la faire connaître et de lui permettre de gagner une importante dotation (15 000 euros).
- Défendre les couleurs du média qui amène la visibilité en devenant le meilleur ambassadeur de ses partenaires et en figurant honorablement au classement spécifique « Wave Relais Médias ».
- Promouvoir les couleurs d’une association humanitaire en médiatisant les messages et les actions de celle-ci dans le but de la faire connaître et de lui permettre de gagner une importante dotation (15 000 euros).
- Défendre les couleurs du média qui amène la visibilité en devenant le meilleur ambassadeur de ses partenaires et en figurant honorablement au classement spécifique « Wave Relais Médias ».
...On croit que c'est facile mais ici, c'est le désert, pas de boulangerie à dix minutes de voiture, y a rien, rien que les étoiles si nombreuses parce qu'il n' y a pas de lumière autour, si nombreuses dans ce ciel d'encre qu'on est obligé de passer une heure le nez en l'air pour se rendre compte que la Croix du Sud est au dessus de l'Australie en ce moment, rien que le silence à peine troublé par une brise intermittente...
Source : Alexandra Bossy
Source : Alexandra Bossy
CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? ...LA PILOTE AUTOMOBILE KAY PETRE A ETE LA PREMIERE FEMME A DEVENIR PILOTE D'USINE...
La célèbre de Kay Petre, elle pose devant la monstrueuse Delage 1924 – une voiture V12 Land Speed Record de 10,5 litres qu’elle avait pilotée. Kay Petre a couru des Delages, Alfa Romeos et Austins en Europe avant la Seconde Guerre mondiale.
Elle a été surnommée « la reine de Brooklands » pour son audace et sa vitesse sur le circuit célèbre ovale britannique.
Née Kay Defries à Toronto et mariée en Angleterre, elle conduit régulièrement lors des 24 heures du Mans de 1934 à 1938.
Elle a été la première femme à devenir « pilote d’usine » d'une manière réguliere lorsqu’elle a signé pour courir dans l’équipe d’usine d’Austin en 1937.
Source : YA TIYA
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