samedi 14 septembre 2024
CLUB5A - RACONTEZ-NOUS VOS PLUS BELLES AVENTURES - LA TRANSHIMALAYENNE DE JEAN COUMES MOTARD DU CLUB DES 5A !! (EPISODE N°1)
Comme convenu, par ces quelques lignes, je viens raconter pour nos amis du club des 5A mon dernier voyage moto.
LADAK (INDE) :
La Transhimalayenne. Septembre 2019.
Certains d’entre vous qui me connaissent bien savent que je voyage beaucoup en moto depuis plusieurs années . J’ai parcouru l’Europe du Nord au Sud et le Magreb aussi, mais cette année j’ai décidé de découvrir d’autres horizons. L’Himalaya m’attire depuis longtemps. Je vais donc réaliser ce rêve grâce à un organisme spécialisé car cette aventure ne peux s’envisager seul sans connaissance de la région. Départ le 25 Août : Marseille, Delhi, Dharamsala pour rejoindre le groupe de motard avec lequel je vais partager cette belle aventure : 16 jours de moto, 1830 kms, altitude moyenne 4000m, plusieurs cols à 5000m et le col routier le plus haut du monde à 6200m.
Tout ça au LADAK province la plus au nord de l’Inde au cœur de l’Himalaya entre la Chine et le Pakistan. Voilà en résumé le programme!
Nous sommes donc 8 motards d’horizons différents qui nous retrouvons pour le premiers briefing de notre guide et faire connaissance. Romain nôtre guide Français nous détaille le programme et les consignes sécurités , en particulier face à l’altitude et au MAM ( mal altitude montagne). En plus du guide, un 4/4 nous accompagne avec un chauffeur et un mécanicien, transportant des pièces, de l’essence, de l’oxygène et nos bagages.
Le groupe sympathise très vite surtout après la prise en main de nos motos : des ROYAL ENFIELD bien sur, des 500 mono dernière génération en parfait état . Départ pour Mc LEOD GANJ « le petit Lhassa, résidence actuelle du Daïli Lama. Journée touristique pour se mettre en jambes et progresser vers les premières pentes montagneuses. Paysages très vert et colorés avec des routes revêtues de goudrons mais pleines de trous et surtout avec une circulation incroyable ou tout peu arriver !
Les vaches évidemment, les vélos, les chars tirés par des ânes, les piétons et surtout les camions fonçant droit devant eux Klaxons bloqués; ou votre seul salut c’est de se jeter sur le bas côté à droite ou à gauche suivant le moment car en principe la conduite se fait à gauche, en principe !
Mais on s’y fait très vite et la bas le klaxon est aussi utile que les freins. Les choses sérieuses commencent .
Aujourd’hui les pistes sont là et l’altitude augmente, col Kadjira 2400m .
Le paysage se transforme peu à peu et devient plus aride et la circulation plus parsemée. Après le repas de midi pris dans un resto de bord de piste ( GOULA ici), nous attaquons le sommet de la journée le SACHS PASS 4700m, par une piste délicate, ou notre guide nous recommande la prudence.
En effet après une belle partie de tout terrain nous arrivons dans le brouillard au SACHS PASS. La température est descendue à 8° et le TCHAÏ servi dans le Goula du sommet est bienvenu. (TCHAÏ c’est un thé noir au lait avec beaucoup d’épices servi bouillant, c’est le breuvage national)
Descente prudente vers CHAMBA pour loger dans un petit hôtel familial accueillant et reposant suite aux efforts. Journée de pistes variées qui à travers le versant de la première barrière himalayenne nous conduit vers KILAR. C’est une succession de virages, de grimpettes, de surplomb au-dessus de nos têtes, de précipices, de gués et de cascades passant en fracas assourdissant au moment le plus inattendu.
Mais la magie opère et le spectacle est superbe. Au niveau conduite c’est physique et toute l’attention est retenue. Mais les nombreux arrêts photos et les pauses permettent de profiter des vues magnifiques . Quelques glissades de certains agrémentent aussi le parcours, tout cela dans de grandes rigolades qui forgent bien l’union du groupe. Et le soir à l’étape malgré la fatigue, nous rigolons encore de ces incidents sans gravités. Malgré un kilométrage réduit la journée promet d’être rude, car nous devons atteindre un plateau à plus de 4000m et nous allons rester à cette altitude pour de nombreux jours. Les pistes sont là et le paysage devient de plus en plus minéral et la végétation de plus en plus maigre.
Ça y est nous sommes sur le plateau , l’immensité s’étend devant nous entourée de sommets enneigés à plus de 6000m. Logements chez l’habitant ce soir. Ce qui fait un des attrait de ce voyage c’est aussi ce contact avec la population et les quelques échanges possible avec un peu d’anglais des gestes et beaucoup de rires.
Fin du 1er épisode...à suivre !!
Amicalement
Jean COUMES
LADAK (INDE) :
La Transhimalayenne. Septembre 2019.
Certains d’entre vous qui me connaissent bien savent que je voyage beaucoup en moto depuis plusieurs années . J’ai parcouru l’Europe du Nord au Sud et le Magreb aussi, mais cette année j’ai décidé de découvrir d’autres horizons. L’Himalaya m’attire depuis longtemps. Je vais donc réaliser ce rêve grâce à un organisme spécialisé car cette aventure ne peux s’envisager seul sans connaissance de la région. Départ le 25 Août : Marseille, Delhi, Dharamsala pour rejoindre le groupe de motard avec lequel je vais partager cette belle aventure : 16 jours de moto, 1830 kms, altitude moyenne 4000m, plusieurs cols à 5000m et le col routier le plus haut du monde à 6200m.
Tout ça au LADAK province la plus au nord de l’Inde au cœur de l’Himalaya entre la Chine et le Pakistan. Voilà en résumé le programme!
Nous sommes donc 8 motards d’horizons différents qui nous retrouvons pour le premiers briefing de notre guide et faire connaissance. Romain nôtre guide Français nous détaille le programme et les consignes sécurités , en particulier face à l’altitude et au MAM ( mal altitude montagne). En plus du guide, un 4/4 nous accompagne avec un chauffeur et un mécanicien, transportant des pièces, de l’essence, de l’oxygène et nos bagages.
Le groupe sympathise très vite surtout après la prise en main de nos motos : des ROYAL ENFIELD bien sur, des 500 mono dernière génération en parfait état . Départ pour Mc LEOD GANJ « le petit Lhassa, résidence actuelle du Daïli Lama. Journée touristique pour se mettre en jambes et progresser vers les premières pentes montagneuses. Paysages très vert et colorés avec des routes revêtues de goudrons mais pleines de trous et surtout avec une circulation incroyable ou tout peu arriver !
Les vaches évidemment, les vélos, les chars tirés par des ânes, les piétons et surtout les camions fonçant droit devant eux Klaxons bloqués; ou votre seul salut c’est de se jeter sur le bas côté à droite ou à gauche suivant le moment car en principe la conduite se fait à gauche, en principe !
Mais on s’y fait très vite et la bas le klaxon est aussi utile que les freins. Les choses sérieuses commencent .
Aujourd’hui les pistes sont là et l’altitude augmente, col Kadjira 2400m .
Le paysage se transforme peu à peu et devient plus aride et la circulation plus parsemée. Après le repas de midi pris dans un resto de bord de piste ( GOULA ici), nous attaquons le sommet de la journée le SACHS PASS 4700m, par une piste délicate, ou notre guide nous recommande la prudence.
En effet après une belle partie de tout terrain nous arrivons dans le brouillard au SACHS PASS. La température est descendue à 8° et le TCHAÏ servi dans le Goula du sommet est bienvenu. (TCHAÏ c’est un thé noir au lait avec beaucoup d’épices servi bouillant, c’est le breuvage national)
Descente prudente vers CHAMBA pour loger dans un petit hôtel familial accueillant et reposant suite aux efforts. Journée de pistes variées qui à travers le versant de la première barrière himalayenne nous conduit vers KILAR. C’est une succession de virages, de grimpettes, de surplomb au-dessus de nos têtes, de précipices, de gués et de cascades passant en fracas assourdissant au moment le plus inattendu.
Mais la magie opère et le spectacle est superbe. Au niveau conduite c’est physique et toute l’attention est retenue. Mais les nombreux arrêts photos et les pauses permettent de profiter des vues magnifiques . Quelques glissades de certains agrémentent aussi le parcours, tout cela dans de grandes rigolades qui forgent bien l’union du groupe. Et le soir à l’étape malgré la fatigue, nous rigolons encore de ces incidents sans gravités. Malgré un kilométrage réduit la journée promet d’être rude, car nous devons atteindre un plateau à plus de 4000m et nous allons rester à cette altitude pour de nombreux jours. Les pistes sont là et le paysage devient de plus en plus minéral et la végétation de plus en plus maigre.
Ça y est nous sommes sur le plateau , l’immensité s’étend devant nous entourée de sommets enneigés à plus de 6000m. Logements chez l’habitant ce soir. Ce qui fait un des attrait de ce voyage c’est aussi ce contact avec la population et les quelques échanges possible avec un peu d’anglais des gestes et beaucoup de rires.
Fin du 1er épisode...à suivre !!
Amicalement
Jean COUMES
vendredi 13 septembre 2024
CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION MOTO - RESTAURATION D'UNE 125 HONDA CBS !!
Restauration125 CBS de 1972
Ce n’était pas gagné : la mécanicienne n’avait jamais mécaniqué (son amour pour les deux roues était né d’une sortie en 50cc un an auparavant, au cours de laquelle elle avait appris à démarrer, à rigoler, et à faire la course !!!)
Achat de la « bête » le 7 janvier 2016, il a fallu obtenir la carte grise… Avec un vendeur peu coopératif, elle n’est arrivée que le 23 février. Ça m’a encouragée à suivre la « formation 125 » : papier en poche le 27, des fois que j’arriverais à la faire rouler en une semaine !!!
Entre-temps j’avais listé les défauts esthétiques :
- état général : très rouillée ; moteur non bloqué ; 14000km affichés non garantis
- absence de clé de contact, cache latéral gauche, pare-chaîne inférieur, bavettes, rétroviseurs, catadioptres
- garde-boue avant recoupé
- échappement troué
- joint de bouchon d’essence en liège tout desséché
- levier de frein cassé - intérieur de réservoir tout rouillé...
Jean-Marc m’a fourni La Bible : RMT, manuel d’atelier, et parts-list. Ensuite c’est devenu un travail d’équipe : tous les membres du Forum Honda 70s
m’ont accompagnée jour après jour dans cette restauration. Ça a commencé par « comment on fait pour enlever la selle et le réservoir, et accéder dessous à ce mélange de fils et de pièces métalliques mystérieuses ? »
Et ça a fini par un dépeçage total, vis après vis, timidement, me disant chaque fois « celle-ci seulement hein, tu la sors tu l’astiques et tu la remets en place aussitôt sinon tu ne sauras plus où elle va » Je me suis mise aussi en quête de pièces sur Internet, découvrant que parfois il est préférable de modifier (réalésage, soudures) voire remplacer par du neuf (piston, pignons). J’ai appris à souder, ou plutôt braser, et ainsi réparé mon contacteur HS J’ai appris à rétamer pour redonner sa forme au garde-boue Refusé catégoriquement de démonter les rayons des roues, je ne veux pas la remettre à neuf, je veux rouleeeeeeeeeer !
Gratter, poncer, peindre c’est devenu des automatismes Pas osé m’attaquer au réservoir : décidé de conserver l’état extérieur, et fait résiner l’intérieur Demander où on rebranche les câbles dont je ne sais même pas à quoi ils servent Nettoyer les commodos et courir après les billes baladeuses !!!
Nettoyer un robinet d’essence vieux de 40 ans et découvrir des joints, tamis, mini-tuyaux de laiton bien amochés Tester l’étincelle à la bougie, démonter-remonter l’anti-parasites, nettoyer-poncer les grains du rupteur, et le 5 juin 2016 direction le garage moto de Castelnaudary pour la décorer d’une plaque d’immatriculation !!!
Elle posait toujours quelques problèmes : remplacement du joint spi de sortie de boîte qui fuyait, rectification du conduit de boisseau du carburateur : déformé il coinçait le boisseau en position accélération et je freinais des pieds !!! Remplacement du flotteur percé, qui coulait rempli de carburant (après moult tentatives de brasure…)
Pendant l’été j’ai « trouvé » la clé pour les bouchons des culbuteurs, et atténué le claquement des soupapes. Restait le bruit de la chaîne de distribution : j’avais décidé d’ouvrir le moteur pendant l’hiver…
En septembre le ressort de kick s’est cassé, m’obligeant à précipiter mon programme !
Depuis septembre l’an dernier j’ai donc pénétré dans le Saint des Saints : l’intérieur d’un moteur ! Quel bonheur ! J’étais aux commandes ! C’est moi qui ai tout démonté et remonté… Remplacement de la chaîne de distribution et ses deux pignons, du piston après réalésage de la chemise ; rectification des queues des deux soupapes ; remontage de la boîte de vitesses en plusieurs fois avant de ne plus oublier de rondelle et de mettre tous les pignons dans le bon sens ; réglages de l’avance à l’allumage, de l’avance centrifuge, du jeu aux soupapes et aux grains du rupteur…
Le lève-soupapes, la pince à circlips et la clé dynamométrique déposés au pied du sapin par le Père Noël ont été appréciés comme les plus beaux jouets de la création !!! Le ressort en se cassant avait cassé les nervures du carter : rendez-vous chez le spécialiste des soudures moto Toulousaing : Momo Une fois remonté le moteur en juillet je me suis crue au bout de mes peines mais non : impossible de la démarrer toute seule… Révision du circuit électrique de façon à ce qu’elle ne cale plus lorsque je mets les phares, remplacement de l’anti-parasites, de la bobine d’allumage…
Première sortie sur Ma Belle avec le Club des 5A en octobre : elle roule bien !!! Le problème subsiste : difficulté au démarrage, à froid… Et aussi j’entends un grésillement ou plutôt un claquement régulier en 3ème vitesse quand j'arrive à 40km/h, ça recommence en 4ème à 50km/h, et encore en 5ème à 60km/h... A peaufiner donc, car l’objectif est qu’elle m’amène aux 1000vaches 2017 à Meymac le WE du 10 décembre, retrouver une belle brochette de motards de mon forum !!! Pour répondre à quelques membres du Club des 5A, OUI c’est possible de ressusciter une moto…
Même pour un débutant, même pour une fille, même dépourvue de patience !!! Pour certains en solitaire à l’aide de lectures comme la RMT, pour d’autres en communiquant sur un forum avec des passionnés (professionnels pour certains)…
Merci ISE de nous avoir relaté tes aventures sur la restauration de ta 125 HONDA CBS et chapeau bas pour le travail accompli !!!!
Vous aussi membres des 5.A vous avez surement une restauration ou une histoire à nous raconter...alors n'hésitez pas !!!
Ce n’était pas gagné : la mécanicienne n’avait jamais mécaniqué (son amour pour les deux roues était né d’une sortie en 50cc un an auparavant, au cours de laquelle elle avait appris à démarrer, à rigoler, et à faire la course !!!)
Entre-temps j’avais listé les défauts esthétiques :
- état général : très rouillée ; moteur non bloqué ; 14000km affichés non garantis
- absence de clé de contact, cache latéral gauche, pare-chaîne inférieur, bavettes, rétroviseurs, catadioptres
- garde-boue avant recoupé
- échappement troué
- joint de bouchon d’essence en liège tout desséché
- levier de frein cassé - intérieur de réservoir tout rouillé...
Jean-Marc m’a fourni La Bible : RMT, manuel d’atelier, et parts-list. Ensuite c’est devenu un travail d’équipe : tous les membres du Forum Honda 70s
m’ont accompagnée jour après jour dans cette restauration. Ça a commencé par « comment on fait pour enlever la selle et le réservoir, et accéder dessous à ce mélange de fils et de pièces métalliques mystérieuses ? »
Et ça a fini par un dépeçage total, vis après vis, timidement, me disant chaque fois « celle-ci seulement hein, tu la sors tu l’astiques et tu la remets en place aussitôt sinon tu ne sauras plus où elle va » Je me suis mise aussi en quête de pièces sur Internet, découvrant que parfois il est préférable de modifier (réalésage, soudures) voire remplacer par du neuf (piston, pignons). J’ai appris à souder, ou plutôt braser, et ainsi réparé mon contacteur HS J’ai appris à rétamer pour redonner sa forme au garde-boue Refusé catégoriquement de démonter les rayons des roues, je ne veux pas la remettre à neuf, je veux rouleeeeeeeeeer !
Gratter, poncer, peindre c’est devenu des automatismes Pas osé m’attaquer au réservoir : décidé de conserver l’état extérieur, et fait résiner l’intérieur Demander où on rebranche les câbles dont je ne sais même pas à quoi ils servent Nettoyer les commodos et courir après les billes baladeuses !!!
Nettoyer un robinet d’essence vieux de 40 ans et découvrir des joints, tamis, mini-tuyaux de laiton bien amochés Tester l’étincelle à la bougie, démonter-remonter l’anti-parasites, nettoyer-poncer les grains du rupteur, et le 5 juin 2016 direction le garage moto de Castelnaudary pour la décorer d’une plaque d’immatriculation !!!
Elle posait toujours quelques problèmes : remplacement du joint spi de sortie de boîte qui fuyait, rectification du conduit de boisseau du carburateur : déformé il coinçait le boisseau en position accélération et je freinais des pieds !!! Remplacement du flotteur percé, qui coulait rempli de carburant (après moult tentatives de brasure…)
Pendant l’été j’ai « trouvé » la clé pour les bouchons des culbuteurs, et atténué le claquement des soupapes. Restait le bruit de la chaîne de distribution : j’avais décidé d’ouvrir le moteur pendant l’hiver…
En septembre le ressort de kick s’est cassé, m’obligeant à précipiter mon programme !
Depuis septembre l’an dernier j’ai donc pénétré dans le Saint des Saints : l’intérieur d’un moteur ! Quel bonheur ! J’étais aux commandes ! C’est moi qui ai tout démonté et remonté… Remplacement de la chaîne de distribution et ses deux pignons, du piston après réalésage de la chemise ; rectification des queues des deux soupapes ; remontage de la boîte de vitesses en plusieurs fois avant de ne plus oublier de rondelle et de mettre tous les pignons dans le bon sens ; réglages de l’avance à l’allumage, de l’avance centrifuge, du jeu aux soupapes et aux grains du rupteur…
Le lève-soupapes, la pince à circlips et la clé dynamométrique déposés au pied du sapin par le Père Noël ont été appréciés comme les plus beaux jouets de la création !!! Le ressort en se cassant avait cassé les nervures du carter : rendez-vous chez le spécialiste des soudures moto Toulousaing : Momo Une fois remonté le moteur en juillet je me suis crue au bout de mes peines mais non : impossible de la démarrer toute seule… Révision du circuit électrique de façon à ce qu’elle ne cale plus lorsque je mets les phares, remplacement de l’anti-parasites, de la bobine d’allumage…
Première sortie sur Ma Belle avec le Club des 5A en octobre : elle roule bien !!! Le problème subsiste : difficulté au démarrage, à froid… Et aussi j’entends un grésillement ou plutôt un claquement régulier en 3ème vitesse quand j'arrive à 40km/h, ça recommence en 4ème à 50km/h, et encore en 5ème à 60km/h... A peaufiner donc, car l’objectif est qu’elle m’amène aux 1000vaches 2017 à Meymac le WE du 10 décembre, retrouver une belle brochette de motards de mon forum !!! Pour répondre à quelques membres du Club des 5A, OUI c’est possible de ressusciter une moto…
Même pour un débutant, même pour une fille, même dépourvue de patience !!! Pour certains en solitaire à l’aide de lectures comme la RMT, pour d’autres en communiquant sur un forum avec des passionnés (professionnels pour certains)…
Merci ISE de nous avoir relaté tes aventures sur la restauration de ta 125 HONDA CBS et chapeau bas pour le travail accompli !!!!
Vous aussi membres des 5.A vous avez surement une restauration ou une histoire à nous raconter...alors n'hésitez pas !!!
jeudi 12 septembre 2024
CLUB5A - Le Salon Auto-Moto Classic au MEETT de Toulouse un rendez-vous incontournable pour les passionnés de véhicules anciens...
Le Salon Auto-Moto Classic au MEETT de Toulouse : un rendez-vous incontournable pour les passionnés de véhicules anciens Du 6 au 8 septembre 2024, le Parc des Expositions de Toulouse à accueillit la 7ème édition du Salon Auto-Moto Classic, le plus grand événement du genre dans le Grand Sud.
Un programme riche et varié :
• Exposition exceptionnelle sur les liens entre l’automobile et l’aéronautique : à la découverte des avions vintage et des photos retraçant l’histoire commune de ces deux industries.
•
American Day : une ambiance festive avec 700 véhicules américains, show danse, DJ, groupes rockabilly, food trucks et la présence de Gerry Blyenberg et Aurélien Letheux de l’émission Wheeler Dealers France.
• Anniversaires de prestige : le public a pu admirer des plateaux exceptionnels célébrant les 100 ans de MG, les 90 ans de la Traction Avant, les 70 ans de Facel Vega, les 60 ans de Mustang et les 50 ans de la Citroën CX.
• Hommage à Panhard & Levassor : 20 véhicules d’exception de la « doyenne des marques » ont été exposés, dont le plus ancien bateau à moteur de 1904.
• Vente de véhicules d’avant 1994 entre particuliers : c’était une occasion unique de trouver la perle rare.
• Plateaux motos : les belles Italiennes ont été à l’honneur avec Maserati et Ducati.
• Traversée historique de Toulouse : près de 200 voitures et motos d’exception ont défilé dans la ville le dimanche 8 septembre.
• Nombreuses animations : simulateur de conduite, circuit radiocommandé, visite d’un camp militaire, grande roue et grand jeu gratuit avec de nombreux lots à gagner étaient à la disposition des visiteurs…
C’était un rendez-vous à ne pas manquer pour tous les amoureux de belles mécaniques !
Merci à Jean Guilhaumon pour les photos...
CLUB5A - Salon des Associations du 7 septembre 2024 à Carcassonne....Le club 5A faisait salon !
Ce samedi matin, quelques membres des 5A se sont retrouvés au square André Chénier à Carcassonne pour installer un stand afin de participer au Forum des associations.
Pendant ce temps, notre Président et quelques amis étaient à Toulouse pour un salon régional.
Les familles Raynaud, Serra, Corinne et moi-même avons accueilli toute la journée les visiteurs intéressés par les activités de notre club.
Marlène Foli nous a rejoints dans l'après-midi et tous ont été heureux de la voir de retour…
Jean-Pierre Limousis et Jean-Luc Arpin sont venus gentiment avec une moto et un Solex compléter la petite exposition de voitures représentatives de la vie du club.
Le temps était incertain et venteux, mais heureusement, jusqu’au bout, pas de pluie et nous a permis de remplir la mission agréablement.
Beaucoup de visiteurs se sont arrêtés au stand des 5 A pour avoir des renseignements.
À tour de rôle, Dominique Garcia, Corinne CILIA et les familles SERNA et RAYNAUD les renseigneraient.
Une journée conviviale pour tous les bénévoles du club des 5A.
Maintenant, nous nous préparons à retrouver nos adhérents pour finir cette année avec encore une multitude de sorties.
Pensez à vous inscrire le plus tôt possible pour faciliter l'organisation.
Texte et photos : Dominique Garcia et Sylvie Raynaud
mercredi 11 septembre 2024
CLUB5A - SPORT AUTO - L'EVOLUTION DU RALLYE AUTOMOBILE .....
Le 21/01/1911 était signé l'acte de naissance du rallye automobile à Monte-Carlo. Venus de Berlin, Boulogne-sur-Mer, Bruxelles, Genève, Paris et Vienne, 20 concurrents sont présents sur la ligne de départ à Monaco.
Il n'est alors pas encore question de parcours prédéfinis et d'épreuves spéciales, les concurrents abordent ce parcours comme une course d'orientation et un divertissement.
Le rallye devient une discipline rapide et internationale
Les années 60.
Le rallye devient une discipline de sport automobile où la vitesse joue un rôle important. Désormais, les équipes s'élancent côte à côte sur le même parcours et sont confrontées aux mêmes défis. En plus du Championnat d'Europe des Rallyes pour les pilotes, la FIA organise un second championnat pour les constructeurs.
Cette compétition s'internationalise en 1970 : à l'occasion du Safari Rallye, encore aujourd'hui considéré comme l'un des plus exigeants, les pilotes s'aventurent pour la première fois en dehors du continent européen.
D'autres courses internationales suivront, comme le Rallye du Maroc.
Premier Championnat du Monde des Rallyes officiel
1973. Le départ du premier Championnat du Monde des Rallyes officiel est donné. « Le rallye retourne à ses sources » : la première manche se déroule à Monte-Carlo.
mardi 10 septembre 2024
CLUB5A - SORTIE AUTOS - SORTIE DES CAISSES CARREES ....C'ETAIT LE 1ER SEPTEMBRE 2024 !
Toujours aussi carrées ces caisses carrées et toutes venant d’une autre époque…Car il y a longtemps, les voitures avaient vraiment une âme…Mais ça, c’était avant !
Pour cette sortie des caisses carrées qui était la 10ème édition en ce dimanche matin du 1er septembre et qui était réservée aux véhicules d’avant 1945, nos organisateurs Patrick et Corinne Cilia avaient organisé le départ chez Renault Carcassonne.(Nous les remercions au passage pour les photocopies offertes gracieusement)
Au départ, 34 participants pour 16 voitures.
Bien sûr, le café et les gâteaux étaient eux aussi au rendez-vous de bon matin afin que nos pilotes et copilotes ne partent pas le ventre vide.
A 9H tous les participants étaient présents, après un petit « briefe » et quelques recommandations et il était l’heure de prendre le départ et cela sous une météo pluvieuse !
Direction pour une jolie boucle qui mena nos tacots à traverser les localités de Maquens, Lavalette, Montréal, Limoux, et Cazilhac.
Après un petit « brin de route », une pause-café était organisée afin de faire refroidir les moteurs et reposer les « chevaux » sous les capots.
Un itinéraire magnifique, bref…des petites routes tranquilles idéales pour ces vieilles automobiles.
Les habitants des localités ont vu passer ces drôles d’engins qui ont fait partie de l’histoire de l’automobile à ses débuts …que du bonheur !
Mais avant le déjeuner, une pause s’imposait pour tous les participants.
Et oui vous l’aviez deviné, la soif gagnait tous les gosiers (et oui c’est l’heure de l’apéro).
Côté météo, le temps n’était pas idéal pour ce type de balade avec ces véhicules …trop humide !
Mais l’ensemble des participants ont roulé sans trop de problèmes et dans une ambiance très conviviale, tous nos participants ont savouré l’apéritif et les amuse-gueules qui l’accompagnaient …avec modération bien sur !
Nous pouvons juste déplorer un incident avec la voiture de Jean-Luc Harpin (courroie cassée). Décidément ces caisses carrées deviennent de plus en plus fiables !
Dernier coup de sifflet en direction du restaurant « GEORGES la cuisine Epicurienne à Cazihac »…. (Là nous passons aux choses sérieuses !)
Repas excellent, l’équipe du restaurant très efficace…bravo à toute l’équipe!
Déjà la journée se terminait avec la sensation d’avoir passé une super journée dans une ambiance digne de l’époque de ces voitures !
Tout le monde a apprécié la balade concoctée par Corinne et Patrick, qui nous a amenées à travers les belles routes avec un joli itinéraire.
L'esprit de convivialité était au rendez-vous et chacun a pu repartir des souvenirs plein la tête.
Nous espérons vous retrouver tous en 2025 pour d’autres aventures lors d’une nouvelle édition…
Photos : Régis- Lorette - Corinne
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LE TRÉSOR AUTOMOBILE OUBLIE PENDANT 50 ANS !
Découverte d’une collection automobile... près de Niort dans le département des Deux sèvres .
Ce transporteur cachait une collection incroyable de voitures rarissimes dans son domaine des Deux-Sèvres. Ses trésors ont été vendus aux enchères.
Il s'agit d'un trésor automobile oublié près de Niort dans le département des Deux Sèvres.
Il s'agit d'un trésor automobile oublié près de Niort dans le département des Deux Sèvres.
Près d'une centaine d'automobiles prestigieuses des années 1920 à 1960 que l'on croyait perdues ont été dévoilées par les héritiers de deux collectionneurs.
"La découverte du siècle" Roger Baillon, un transporteur de Niort, avait accumulé des voitures souvent uniques jusqu’à sa mort. Mais pendant près de 50 ans cette collection était restée sous des hangars, plus ou moins étanches, où un revers de fortune l’avait reléguée. "La découverte du siècle", avait titré en septembre un magazine américain spécialisé, à la vue de ces tôles rouillées, capotes arrachées et moteurs figés. La vente elle-même a eu un "écho mondial", a souligné Me Poulain. Au total, la collection Baillon a été dispersée pour 25,15 millions d’euros frais de vente inclus, soit deux fois l’estimation initiale.
Source : Allain Guillemot / sudouest.fr/ AFP
"La découverte du siècle" Roger Baillon, un transporteur de Niort, avait accumulé des voitures souvent uniques jusqu’à sa mort. Mais pendant près de 50 ans cette collection était restée sous des hangars, plus ou moins étanches, où un revers de fortune l’avait reléguée. "La découverte du siècle", avait titré en septembre un magazine américain spécialisé, à la vue de ces tôles rouillées, capotes arrachées et moteurs figés. La vente elle-même a eu un "écho mondial", a souligné Me Poulain. Au total, la collection Baillon a été dispersée pour 25,15 millions d’euros frais de vente inclus, soit deux fois l’estimation initiale.
CLUB5A - SPORT AUTO - TRAGÉDIE SUR LE CIRCUIT DU MANS EN 1955 .......
Le 11 juin 1955, quelque 300 000 personnes sont venues assister à la plus célèbre de toutes les courses automobiles d'endurance : les 24 Heures du Mans.
Comme tous les ans, l'événement est très médiatisé. Pour cette 23e édition, les voitures de sport les plus performantes du monde sont en compétition. Tout à coup, à la 147e minute, une Mercedes explose et c'est la catastrophe. Quatre-vingts morts et plus de cent quarante blessés. C'est l'accident le plus meurtrier de toute l'histoire du sport automobile. Que s'est-il passé ? Pourquoi tant de victimes ? Et pourquoi les organisateurs n'ont-ils pas arrêté la course ?
Collection documentaire de Serge Viallet ~ Réalisation : Serge Viallet/par ARTE EDITIONS et l¿Ina-France 3 Pays de la Loire
France 3 Pays de la Loire
lundi 9 septembre 2024
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