mercredi 22 mai 2024
CLUB5A- REPORTAGE AUTO - Automobile: les modèles anciens préférés des Français !!
Top des voitures qui font rêver les collectionneurs sur la base des demandes de carte grise de collection.
Citroën 2 CV
Développée avant la guerre sous le nom de code TPV (pour très petite voiture) mais lancée au Salon de Paris de 1948, la «Deuche» incarne le génie français. Voiture populaire par excellence, elle a été produite à plus de 5 millions d’unités en quarante-deux ans.
Ford Mustang
Portant l’emblème d’un cheval des Apaches reconnu pour sa puissance et sa rapidité, cette icône de l’Amérique est devenue la voiture de sport la plus vendue au monde. Le modèle préféré des collectionneurs est celui de la première génération, de 1964 à la fin des années 1960, et décliné en version sportive Shelby.
VW Coccinelle
Conçue par l’ingénieur Ferdinand Porsche, la Coccinelle est à l’origine de la naissance de la marque Volkswagen (la «voiture du peuple»). Popularisée par Walt Disney qui en fit l’héroïne principale d’une série de films, la Cox fut produite à plus de 21 millions d’unités. Le cabriolet reste le modèle le plus prisé.
Source : lefigaro.fr - .Auto Plus Magazine
Développée avant la guerre sous le nom de code TPV (pour très petite voiture) mais lancée au Salon de Paris de 1948, la «Deuche» incarne le génie français. Voiture populaire par excellence, elle a été produite à plus de 5 millions d’unités en quarante-deux ans.
Ford Mustang
Portant l’emblème d’un cheval des Apaches reconnu pour sa puissance et sa rapidité, cette icône de l’Amérique est devenue la voiture de sport la plus vendue au monde. Le modèle préféré des collectionneurs est celui de la première génération, de 1964 à la fin des années 1960, et décliné en version sportive Shelby.
VW Coccinelle
Conçue par l’ingénieur Ferdinand Porsche, la Coccinelle est à l’origine de la naissance de la marque Volkswagen (la «voiture du peuple»). Popularisée par Walt Disney qui en fit l’héroïne principale d’une série de films, la Cox fut produite à plus de 21 millions d’unités. Le cabriolet reste le modèle le plus prisé.
Source : lefigaro.fr - .Auto Plus Magazine
mardi 21 mai 2024
lundi 20 mai 2024
dimanche 19 mai 2024
samedi 18 mai 2024
vendredi 17 mai 2024
jeudi 16 mai 2024
CLUB5A - REPORTAGE AUTOS - Des lunettes pour ne pas s'endormir au volant....
La start-up Ellcie-Healthy a mis au point des lunettes qui préviennent l'endormissement au volant.
Co-développées avec Optic 2000, elles seront disponibles dans le réseau de l'opticien en avril 2018, à l'occasion du départ du Tour Auto. Selon l'association des sociétés françaises d'autoroutes (ASFA), la somnolence demeure la première cause d'accidents sur les autoroutes en cumul depuis 2006.
Si l'on prend les cinq dernières années, elle est à l'origine d'un quart des tués sur nos voies rapides.
Passagers pouvant être prévenus de la somnolence du conducteur
Comment se prémunir de ce fléau? Tout d'abord, en s'arrêtant dès que les yeux commencent à se fermer, ou même à «piquer». Hélas, seulement 62% des Français interrogés déclarent faire des pauses régulièrement lorsqu'ils ressentent de la fatigue. Une alerte extérieure est beaucoup plus efficace.
Les constructeurs ont mis au point des détecteurs de somnolence, mais tous les véhicules sont loin d'en être équipé , car il s'agit encore d'un dispositif réservé plutôt au haut de gamme. Partant du constat que 40 millions de Français sont titulaires d'un permis voiture, que 8 d'entre eux sur 10 portent des lunettes, et que la somnolence au volant est la première cause d'accident sur autoroute, la start-up française Ellcie-Healthy et l'opticien Optic 2ooo ont co-développé une monture «intelligente». Elle alerte dès les premiers signes d'endormissement le conducteur d'un véhicule ou ses passagers soit par le clignotement de LED rouge ou par un buzzer sonore intégré à la monture, soit, lorsque celle-ci est reliée à un smartphone, par la sonnerie du téléphone des passagers.
Imparable!
Concentré de haute-technologie
Cette paire de lunettes, d'allure plutôt classique et assez élégante, disponible en plusieurs couleurs, est un véritable concentré de haute-technologie.
Elle intègre des capteurs infrarouges, un accéléromètre et un gyroscope. Ces composants permettent d'identifier les signes précurseurs de l'endormissement, tels les clignements des paupières, les bâillements et les micro-chutes de tête. Si ces signes de baisse du niveau d'attention sont détectés, l'alerte est donnée.
La monture fonctionne de manière «autonome» mais peut également être reliée à l'application pour smartphone «Driver by Ellcie-Healthy», ce qui permet un stockage sur un «Cloud» des informations sur le conducteur (temps de pause, géolocalisation, durée de port de la monture, notamment). Le prix de ces lunettes anti-endormissement devrait se situer entre 210 et 250 €. Leur commercialisation dans les 1200 points de vente du réseau Optic 2000 est prévue le 23 avril 2018, au moment du départ du prochain Tour Auto, sponsorisé par le célèbre opticien.
Source : lefigaro.fr / Philippe Doucet
Co-développées avec Optic 2000, elles seront disponibles dans le réseau de l'opticien en avril 2018, à l'occasion du départ du Tour Auto. Selon l'association des sociétés françaises d'autoroutes (ASFA), la somnolence demeure la première cause d'accidents sur les autoroutes en cumul depuis 2006.
Si l'on prend les cinq dernières années, elle est à l'origine d'un quart des tués sur nos voies rapides.
Passagers pouvant être prévenus de la somnolence du conducteur
Comment se prémunir de ce fléau? Tout d'abord, en s'arrêtant dès que les yeux commencent à se fermer, ou même à «piquer». Hélas, seulement 62% des Français interrogés déclarent faire des pauses régulièrement lorsqu'ils ressentent de la fatigue. Une alerte extérieure est beaucoup plus efficace.
Les constructeurs ont mis au point des détecteurs de somnolence, mais tous les véhicules sont loin d'en être équipé , car il s'agit encore d'un dispositif réservé plutôt au haut de gamme. Partant du constat que 40 millions de Français sont titulaires d'un permis voiture, que 8 d'entre eux sur 10 portent des lunettes, et que la somnolence au volant est la première cause d'accident sur autoroute, la start-up française Ellcie-Healthy et l'opticien Optic 2ooo ont co-développé une monture «intelligente». Elle alerte dès les premiers signes d'endormissement le conducteur d'un véhicule ou ses passagers soit par le clignotement de LED rouge ou par un buzzer sonore intégré à la monture, soit, lorsque celle-ci est reliée à un smartphone, par la sonnerie du téléphone des passagers.
Concentré de haute-technologie
Cette paire de lunettes, d'allure plutôt classique et assez élégante, disponible en plusieurs couleurs, est un véritable concentré de haute-technologie.
Elle intègre des capteurs infrarouges, un accéléromètre et un gyroscope. Ces composants permettent d'identifier les signes précurseurs de l'endormissement, tels les clignements des paupières, les bâillements et les micro-chutes de tête. Si ces signes de baisse du niveau d'attention sont détectés, l'alerte est donnée.
La monture fonctionne de manière «autonome» mais peut également être reliée à l'application pour smartphone «Driver by Ellcie-Healthy», ce qui permet un stockage sur un «Cloud» des informations sur le conducteur (temps de pause, géolocalisation, durée de port de la monture, notamment). Le prix de ces lunettes anti-endormissement devrait se situer entre 210 et 250 €. Leur commercialisation dans les 1200 points de vente du réseau Optic 2000 est prévue le 23 avril 2018, au moment du départ du prochain Tour Auto, sponsorisé par le célèbre opticien.
Source : lefigaro.fr / Philippe Doucet
mercredi 15 mai 2024
CLUB5A - REPORTAGE AUTOS - POUR QUELLES VOITURES SONNE LE GLAS ?
La prime à la conversion va envoyer vers la
casse certains modèles emblématiques des années 1990. Au grand dam des esthètes.
Il a d’abord fallu dire adieu à de vénérables Renault 4, Renault Super 5 et autres Citroën 2CV ou Citroën AX, à cause des balladurettes et juppettes (de 1994 à 1996), puis de la prime à la casse. Car la prime à la conversion attendue l’an prochain, qui accordera de 1 000 à 2 000 euros d’aides à l’achat d’un véhicule neuf (ou d’occasion éligible à une vignette Crit’air de niveau 0,1 ou 2) en échange de la mise au rebut d’un ancien véhicule, va contribuer au renouvellement du parc automobile français qui frise les neuf ans d’âge moyen.
Déclenché par la mise à la casse d’un modèle essence d’avant-1997 ou diesel d’avant-2001, ce processus vertueux pour l’environnement va donc éliminer nombre de vieux véhicules parmi lesquels certains inspirent une certaine tendresse teintée de nostalgie.
A priori, il n’y a pas trop d’inquiétude à nourrir à l’égard de quelques valeurs sûres (les Peugeot 406 Coupé ou Renault Avantime, par exemple) déjà considérées comme des voitures « nobles » avant même d’atteindre le statut de véhicules de collection, au bout de trente ans d’existence. La rétromania qui a saisi les amateurs d’automobiles ces dernières années devrait les mettre à l’abri de toute décision sacrilège.
Source : lemonde.fr / Jean-Michel Normand /
vidéo : Petites Observations Automobiles
CLUB5A - REPORTAGE AUTOS - LE FESTIVAL DE CANNES ET L'IMPLICATION DES PLUS GRANDS CONSTRUCTEURS AUTOMOBILES POUR LA FÊTE DU CINÉMA ....
Le Festival de Cannes refait son apparition. Lors de cette nouvelle édition, les plus grands films et les plus grandes stars seront présentes pour faire rêver le monde entier......
Ce grand rendez-vous du cinéma est également l'occasion pour les partenaires de l'événement de démontrer leur passion pour le septième art.
Les marques automobiles sont aujourd'hui des partenaires privilégiés du Festival de Cannes et si nous savons que les stars arrivent dans les belles voitures des constructeurs de la planète pour gravir les marches du Palais du festival, nous ne connaissons pas tout de l'implication des marques pour cette grande fête du cinéma....
Source Vidéo : L'Oréal Paris France -
mardi 14 mai 2024
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Porsche revient sur l'histoire de ses modèles "transaxle"
Moteur avant et transmission à l'arrière pour une répartition des masses parfaites ?
Porsche vient de nous dévoiler une nouvelle vidéo de ses fameux "Top 5", et cette fois-ci la marque revient sur son histoire avec les moteurs "transaxle", la contraction entre "transmission" et "axle" (essieu), une architecture bien spécifique avec le moteur à l'avant et la transmission à l'arrière. Cette architecture favorise le dynamisme mais aussi les coûts de développement, c'est d'ailleurs en partie pour ça que Porsche a conçu en 1972 le prototype EA 425, en collaboration avec Volkswagen, pour remplacer la 914. Suite au choc pétrolier de 1973, Volkswagen se retire du projet, mais Porsche continue et les travaux aboutissent au lancement de la 924 en 1976, avec pas mal d'équipements tirés de chez Audi.
L'année d'après, Porsche adapte cette architecture sur un modèle plus haut de gamme, à savoir la 928 et son moteur V8. Une voiture qui était destinée notamment à remplacer une certaine 911, mais heureusement ce ne fut jamais le cas. En 1982, la 924 et ses pièces Audi laissent place à la 944, une voiture 100 % d'origine Porsche. Dix ans plus tard, c'est la 968 qui remplace la 944 avec cette fois-ci un "gros" quatre cylindres de 3,0 litres de cylindrée. Après seulement trois ans de carrière, la 968 disparaît du catalogue et reste boudée encore aujourd'hui par les aficionados de la marque. Le regain d'aujourd'hui pour les voitures anciennes en fait une voiture recherchée, mais elle n'atteindra jamais la cote d'amour d'une
911...
Source : lefigaro.fr
lundi 13 mai 2024
CLUB5A - REPORTAGE AUTOS - Une école de pilotage à l'ancienne...
C'est en Auvergne, sur le mythique circuit de Charade, que deux ingénieurs lyonnais viennent de lancer une école dédiée au pilotage «vintage», au volant de monoplaces historiques revisitées.
Tous les passionnés se le sont, un jour, demandés. Ce que pouvaient ressentir les pilotes des plus riches heures de la compétition automobile, les Stirling Moss, Maurice Trintignant, Jackie Stewart, Jean-Pierre Beltoise...
À une époque où les machines étaient particulièrement délicates à maitriser, sans assistances électroniques ni réel appui aérodynamique. Ce pilotage authentique, riche de multiples artifices pour dompter la mécanique et l'amener à son plus haut niveau d'efficacité, revient aujourd'hui sur le devant de la scène grâce à la «Classic Racing School». Cette école de pilotage qui vient de voir le jour, se trouve -comme son nom ne l'indique pas- en France.
À l'origine du projet, Julien Chaffard et Morgan Pezzo, deux jeunes ingénieurs de l'INSA de Lyon, deux passionnés qui ont décidé de concevoir une monoplace reprenant les standards des années 1960, qui apporterait à son conducteur les sensations de l'époque.
Un projet d'ingénieurs.
Alors qu'il est encore étudiant, Julien effectue un stage au sein de l'école de pilotage AGS, et décèle rapidement une demande: «je me suis rendu compte que les clients s'intéressaient particulièrement aux vieilles monoplaces, rangées au fond de l'écurie», raconte-t-il. «Plusieurs d'entre eux me demandaient s'ils pouvaient les piloter». L'idée d'un projet d'école dédié au pilotage «historique» germe dans son esprit, et il invite bientôt Morgan à le rejoindre.
Ils prennent contact avec le constructeur nord-irlandais Crosslé, spécialiste du genre, et imaginent leur propre voiture à partir du modèle de course 16F, victorieux en formule Ford dans les années 1960. Le chassis est revu, le poids se limitant à 420 kilos. Le moteur d'origine, particulièrement pointu, est remplacé par un Ford Zetec de 2 litres avec un carburateur Weber double corps, développant 105 chevaux.
Sept exemplaires sont construits à partir de l'automne 2016, financés par des particuliers intéressés par le projet. La petite entreprise est bientôt repérée dans le milieu des pilotes professionnels et plus globalement au sein du sport automobile français.
Gage de crédibilité, Vincent Beltoise, pilote professionnel, rejoint d'ailleurs l'aventure et officie comme coach technique. Ambiance...
La nouvelle écurie signe une convention avec le circuit de Charade, géré par le conseil département du Puy de Dôme. Charade: un morceau du patrimoine automobile français, un circuit à la renommée internationale où se sont déroulés quatre Grands Prix de Formule 1 (1965, 1969, 1970, 1972) et de nombreux Grands Prix moto. Située en plein parc naturel régional des volcans d'Auvergne, au pied du Puy de Dôme, la piste actuelle de 4 kilomètres reprend des passages du tracé historique, avec tout le relief qui a fait la réputation de l'endroit. La Classic Racing School y a déposé ses bagages dans les stands, qu'elle occupe maintenant à l'année.
Entre monoplaces en exposition, canapés chesterfield, pompes à essence d'époque, et tenue de pilotage (combinaisons, gants...) d'apparence vintage, mais aux homologations de sécurité parfaitement modernes, l'ambiance recherchée se veut résolument sixties. ... et sensations d'époque?
Depuis son ouverture officielle en juillet, plusieurs options sont proposées par l'école: la demi-journée, avec 50 kilomètres garantis, et la journée entière, où le client profite de la monoplace pendant 100 kilomètres.
À chaque fois, la prise en main débute doucement, avec pour objectif d'enlever l'appréhension des conducteurs. Elle commence par des tests d'accélération et de freinage, puis des tours effectués à un rythme libre, la piste étant bordée de cônes pour indiquer les points de freinage, de braquage, etc. Les exercices sont commentés par un coach. Pour rester dans l'esprit, le safety-car est une Caterham.
D'après les fondateurs, dès cette première session, les conducteurs gagnent en fluidité et en sérénité.
Dans un second temps, le ballet recommence, axé sur la progression bien sûr, mais surtout sur le plaisir et les sensations.
Un dossier individuel est conservé afin que le client qui souhaite revenir puisse progresser, sans repartir de zéro. - Contact: site Classic Racing School - Pour se mettre dans l'ambiance: Grand Prix, de John Frankenheimer (1966) avec Yves Montand, Françoise Hardy, James Garner... Certaines scènes sont d'ailleurs tournées à Charade.
Source : peterwindsor / Luc Lenoir lefigaro.fr
À une époque où les machines étaient particulièrement délicates à maitriser, sans assistances électroniques ni réel appui aérodynamique. Ce pilotage authentique, riche de multiples artifices pour dompter la mécanique et l'amener à son plus haut niveau d'efficacité, revient aujourd'hui sur le devant de la scène grâce à la «Classic Racing School». Cette école de pilotage qui vient de voir le jour, se trouve -comme son nom ne l'indique pas- en France.
À l'origine du projet, Julien Chaffard et Morgan Pezzo, deux jeunes ingénieurs de l'INSA de Lyon, deux passionnés qui ont décidé de concevoir une monoplace reprenant les standards des années 1960, qui apporterait à son conducteur les sensations de l'époque.
Un projet d'ingénieurs.
Alors qu'il est encore étudiant, Julien effectue un stage au sein de l'école de pilotage AGS, et décèle rapidement une demande: «je me suis rendu compte que les clients s'intéressaient particulièrement aux vieilles monoplaces, rangées au fond de l'écurie», raconte-t-il. «Plusieurs d'entre eux me demandaient s'ils pouvaient les piloter». L'idée d'un projet d'école dédié au pilotage «historique» germe dans son esprit, et il invite bientôt Morgan à le rejoindre.
Ils prennent contact avec le constructeur nord-irlandais Crosslé, spécialiste du genre, et imaginent leur propre voiture à partir du modèle de course 16F, victorieux en formule Ford dans les années 1960. Le chassis est revu, le poids se limitant à 420 kilos. Le moteur d'origine, particulièrement pointu, est remplacé par un Ford Zetec de 2 litres avec un carburateur Weber double corps, développant 105 chevaux.
Sept exemplaires sont construits à partir de l'automne 2016, financés par des particuliers intéressés par le projet. La petite entreprise est bientôt repérée dans le milieu des pilotes professionnels et plus globalement au sein du sport automobile français.
Gage de crédibilité, Vincent Beltoise, pilote professionnel, rejoint d'ailleurs l'aventure et officie comme coach technique. Ambiance...
La nouvelle écurie signe une convention avec le circuit de Charade, géré par le conseil département du Puy de Dôme. Charade: un morceau du patrimoine automobile français, un circuit à la renommée internationale où se sont déroulés quatre Grands Prix de Formule 1 (1965, 1969, 1970, 1972) et de nombreux Grands Prix moto. Située en plein parc naturel régional des volcans d'Auvergne, au pied du Puy de Dôme, la piste actuelle de 4 kilomètres reprend des passages du tracé historique, avec tout le relief qui a fait la réputation de l'endroit. La Classic Racing School y a déposé ses bagages dans les stands, qu'elle occupe maintenant à l'année.
Entre monoplaces en exposition, canapés chesterfield, pompes à essence d'époque, et tenue de pilotage (combinaisons, gants...) d'apparence vintage, mais aux homologations de sécurité parfaitement modernes, l'ambiance recherchée se veut résolument sixties. ... et sensations d'époque?
Depuis son ouverture officielle en juillet, plusieurs options sont proposées par l'école: la demi-journée, avec 50 kilomètres garantis, et la journée entière, où le client profite de la monoplace pendant 100 kilomètres.
À chaque fois, la prise en main débute doucement, avec pour objectif d'enlever l'appréhension des conducteurs. Elle commence par des tests d'accélération et de freinage, puis des tours effectués à un rythme libre, la piste étant bordée de cônes pour indiquer les points de freinage, de braquage, etc. Les exercices sont commentés par un coach. Pour rester dans l'esprit, le safety-car est une Caterham.
D'après les fondateurs, dès cette première session, les conducteurs gagnent en fluidité et en sérénité.
Dans un second temps, le ballet recommence, axé sur la progression bien sûr, mais surtout sur le plaisir et les sensations.
Les clients doivent y redécouvrir l'art noble du pilotage.
Enfin, c'est le retour aux stands. Des photos et vidéos sont remises au pilote d'un jour, pour garder une trace de l'évènement. Un dossier individuel est conservé afin que le client qui souhaite revenir puisse progresser, sans repartir de zéro. - Contact: site Classic Racing School - Pour se mettre dans l'ambiance: Grand Prix, de John Frankenheimer (1966) avec Yves Montand, Françoise Hardy, James Garner... Certaines scènes sont d'ailleurs tournées à Charade.
Source : peterwindsor / Luc Lenoir lefigaro.fr
Inscription à :
Articles (Atom)