mercredi 3 janvier 2024
mardi 2 janvier 2024
CLUB5A - REPORTAGE MOTO - Gilet airbag filaire......un nouvel équipement plus protecteur !!
Spécialiste du gilet airbag, la société Hit-Air lance un modèle doté de performances accrues. Les motards et scootéristes sont parmi les usagers de la route les plus vulnérables. L’an dernier, ils ont encore payé un lourd tribut à la sécurité routière. 577 motards, y compris 36 cyclomotoristes, ont perdu la vie sur les routes de France cela représente certes une diminution de 172 tués mais de nombreux usagers de deux-roues motorisés restent aussi marqués toute leur vie par de graves séquelles d’accidents. Depuis deux décennies, la société japonaise Hit-Air commercialise des gilets airbag qui permettent de renforcer la sécurité des motards.
Cette entreprise équipe l’ensemble des brigades motorisées de la Gendarmerie nationale, des Douanes françaises et de la Police nationale. Sa gamme composée de plusieurs modèles vient de s’enrichir d’une nouvelle version plus accessible et dotée de performances renforcées. Appartenant à la catégorie des gilets gonflables filaires, le nouveau modèle est une évolution du gilet MLV-RC rétro réfléchissant. Répondant à la nouvelle réglementation européenne concernant les équipements de protection individuelle, la dernière génération de ce gilet se signale par l’adoption d’un boîtier plus performant assurant un déploiement plus rapide de l’airbag.
Source : lefigaro.fr - Sylvain Reisser
lundi 1 janvier 2024
dimanche 31 décembre 2023
samedi 30 décembre 2023
vendredi 29 décembre 2023
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - PEKIN - PARIS 1907 -L'EPOPEE IMPROBABLE ....
LES RALLYES LES PLUS FOUS
- Véritable voyage dans l'inconnu, cette expédition de 16.000 km, qui fête ses 110 ans, n'a jamais été rééditée.
Le XXe siècle a à peine sept ans.
C'est encore le temps de la grande Russie du tsar Nicolas II. La France, sous le régime de la IIIe République, vient de voter la séparation de l'Église et de l'État.
En Asie, la Chine panse ses plaies. À peine sortis de la guerre sino-japonaise, les Chinois subissent la férule européenne. Durant cette période, l'homme commence à apprivoiser l'automobile à pétrole.
Cette invention, qui ne laisse aucun pays indifférent, va permettre de rapprocher les peuples. Dans cette course de vitesse, la France dispose d'une nette prééminence. Plus de six cents constructeurs sont répartis sur le territoire en 1900.
En ces temps héroïques, les épreuves sportives représentent un excellent moyen de promouvoir les progrès d'une industrie balbutiante, mais aussi d'afficher sa supériorité.
Inventée par Eugène Lelouvier, un aventurier Normand, et organisée par le journal français Le Matin, son départ fut donné de Pékin le 10 juin 1907.
Georges Cormier en 1904 (raid en solitaire France-Italie-Serbie-Russie, sur De Dion-Bouton ).
Il y avait quarante pré-inscriptions pour cette compétition, mais seulement cinq équipes firent livrer leur véhicules à Pékin. Devant le faible nombre de participants le Comité d'organisation de course décida d'annuler purement et simplement l'épreuve, mais les cinq "téméraires" décidèrent malgré tout de se disputer le challenge, sans règles clairement bien établies au départ, ni aucune assistance, ni carnets de route, ni même de cartes routières le plus souvent.
Le seul prix prévu à l'arrivée parisienne étant un simple magnum de champagne Mumm. Cinq concurrents prirent ainsi part aux réjouissances. Quatre arrivèrent à Paris (abandon du tricycle guidé Contal (cyclecar français) d'Auguste Pons), après avoir parcouru plus de 16 000 km, en 44 jours pour le premier:
Source : Sylvain Reisser - le figaro.fr - Vidéos :Nicholas
- Véritable voyage dans l'inconnu, cette expédition de 16.000 km, qui fête ses 110 ans, n'a jamais été rééditée.
Le XXe siècle a à peine sept ans.
C'est encore le temps de la grande Russie du tsar Nicolas II. La France, sous le régime de la IIIe République, vient de voter la séparation de l'Église et de l'État.
Cette invention, qui ne laisse aucun pays indifférent, va permettre de rapprocher les peuples. Dans cette course de vitesse, la France dispose d'une nette prééminence. Plus de six cents constructeurs sont répartis sur le territoire en 1900.
En ces temps héroïques, les épreuves sportives représentent un excellent moyen de promouvoir les progrès d'une industrie balbutiante, mais aussi d'afficher sa supériorité.
Inventée par Eugène Lelouvier, un aventurier Normand, et organisée par le journal français Le Matin, son départ fut donné de Pékin le 10 juin 1907.
Georges Cormier en 1904 (raid en solitaire France-Italie-Serbie-Russie, sur De Dion-Bouton ).
Il y avait quarante pré-inscriptions pour cette compétition, mais seulement cinq équipes firent livrer leur véhicules à Pékin. Devant le faible nombre de participants le Comité d'organisation de course décida d'annuler purement et simplement l'épreuve, mais les cinq "téméraires" décidèrent malgré tout de se disputer le challenge, sans règles clairement bien établies au départ, ni aucune assistance, ni carnets de route, ni même de cartes routières le plus souvent.
Le seul prix prévu à l'arrivée parisienne étant un simple magnum de champagne Mumm. Cinq concurrents prirent ainsi part aux réjouissances. Quatre arrivèrent à Paris (abandon du tricycle guidé Contal (cyclecar français) d'Auguste Pons), après avoir parcouru plus de 16 000 km, en 44 jours pour le premier:
Source : Sylvain Reisser - le figaro.fr - Vidéos :Nicholas
jeudi 28 décembre 2023
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Automobile: le choc frontal, ce tueur-né !!
Malgré les progrès accomplis par les constructeurs ces dernières décennies, 47 % des tués en voitures particulières le sont lors de ce type d’accident.
Exactement 47 % des tués en voitures particulières le sont lors de chocs frontaux. La collision se déroule en 100 millisecondes: un battement de cils. «Le choc frontal reste le plus courant. Notre objectif est de réduire les conséquences des accidents en connaissant les mécanismes des lésions», dit Maxime Labrousse, accidentologue au LAB. «Pendant l’accident, vous ne pouvez rien faire: c’est la voiture qui doit vous sauver.
Dans les années 1980, les véhicules étaient relativement “mous”, ce qui occasionnait de nombreuses intrusions et lésions», précise ce spécialiste. Lors d’un choc frontal à 65 km/h, le conducteur d’une 206, en 1998, subissait une fracture de six côtes, une fracture ouverte du fémur gauche, une de l’avant-bras droit et une du bras gauche. Pendant le même choc, le conducteur d’une 207, en 2005, s’en tirait avec une fracture du sternum et de deux vertèbres. Sur une 208, en 2012, plus de fractures, mais une «simple» abrasion de l’épaule gauche, et quelques contusions abdominales et au genou droit. Coque plus rigide, nouveaux systèmes de protection (aux places arrière, notamment), la mortalité a été divisée par trois sur les véhicules récents.
Cela montre que les constructeurs sont les principaux artisans des progrès accomplis ces dernières décennies. Des moyens d’évaluation perfectionnés Les moyens d’évaluation se sont aussi énormément perfectionnés. Lors des tests d’impact, aux rustiques mannequins d’hier ont succédé des modèles bourrés de capteurs numériques, capables de délivrer plus de 200 mesures. En parallèle, l’augmentation considérable de la puissance des ordinateurs a permis d’affiner énormément les modèles numériques de l’être humain. Les scientifiques arrivent même aujourd’hui à les personnaliser en fonction du sexe et de la morphologie. Les aides récentes à la conduite constituent un autre progrès.
Présentes même sur nombre de petites voitures, elles permettent d’éviter le choc frontal en maintenant le véhicule dans la voie, tout spécialement si le conducteur s’assoupit ou s’il regarde ou tape un message sur son smartphone. Ce qui est hélas de plus en plus fréquent. Dans ce dernier cas, le risque d’accident est vingt-trois fois plus élevé.
Source : lefigaro.fr
Dans les années 1980, les véhicules étaient relativement “mous”, ce qui occasionnait de nombreuses intrusions et lésions», précise ce spécialiste. Lors d’un choc frontal à 65 km/h, le conducteur d’une 206, en 1998, subissait une fracture de six côtes, une fracture ouverte du fémur gauche, une de l’avant-bras droit et une du bras gauche. Pendant le même choc, le conducteur d’une 207, en 2005, s’en tirait avec une fracture du sternum et de deux vertèbres. Sur une 208, en 2012, plus de fractures, mais une «simple» abrasion de l’épaule gauche, et quelques contusions abdominales et au genou droit. Coque plus rigide, nouveaux systèmes de protection (aux places arrière, notamment), la mortalité a été divisée par trois sur les véhicules récents.
Cela montre que les constructeurs sont les principaux artisans des progrès accomplis ces dernières décennies. Des moyens d’évaluation perfectionnés Les moyens d’évaluation se sont aussi énormément perfectionnés. Lors des tests d’impact, aux rustiques mannequins d’hier ont succédé des modèles bourrés de capteurs numériques, capables de délivrer plus de 200 mesures. En parallèle, l’augmentation considérable de la puissance des ordinateurs a permis d’affiner énormément les modèles numériques de l’être humain. Les scientifiques arrivent même aujourd’hui à les personnaliser en fonction du sexe et de la morphologie. Les aides récentes à la conduite constituent un autre progrès.
Présentes même sur nombre de petites voitures, elles permettent d’éviter le choc frontal en maintenant le véhicule dans la voie, tout spécialement si le conducteur s’assoupit ou s’il regarde ou tape un message sur son smartphone. Ce qui est hélas de plus en plus fréquent. Dans ce dernier cas, le risque d’accident est vingt-trois fois plus élevé.
Source : lefigaro.fr
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - BRISSONNEAU ET LOTZ ROSIER LA 4CV QUI A UN AIR DE CABRIOLET !!
Lorsque mon ami Cédric Faiche, grand amateur d’automobile officiant sur BFM TV, m’envoie hier un petit message doublé d’une photo me disant « tu en as parlé de celle-là », mon sang n’a fait qu’un tour !
Me connaît-il si bien pour savoir que je travaille depuis quelques jours sur la Brissonneau et Lotz « Louis Rosier » ? Faut croire que les grands esprits se rencontrent. Car aujourd’hui donc, voici un petit article sur ce roadster séduisant sur la base d’une Renault 4CV.
Le premier sketch du cabriolet imaginé par Louis Rosier
Pour être franc, j’ai découvert ce modèle en fin d’année dernière seulement, en écrivant l’article sur la Marquis de Jean Rédélé (lire aussi : The Marquis).
La première voiture de Jean Rédélé, destinée aux Etats-Unis, partageait ses éléments avec la Rogue, réalisée sur la base d’une barquette Rosier. C’est ainsi que j’ai appris que Louis Rosier, pilote émérite, s’était aussi essayé à la construction automobile. Et que l’une de ses créations sera construite en série à titre posthume par Brissonneau et Lotz sous le nom en forme d’hommage de « Louis Rosier ».
Catalogue Brissonneau et Lotz Rosier (image André Leroux)
Rembobinons le film. La « Louis Rosier » est née de la volonté de Louis Rosier de fabriquer ses propres voitures au début des années 50, et à Brissonneau et Lotz, sous la houlette du jeune Yves Brissonneau, de se diversifier dans l’automobile. Car pour ceux qui, comme moi, se passionnent pour la chose industrielle, le nom de Brissonneau et Lotz ne vous est pas inconnu. Née au 19ème siècle, l’entreprise nantaise est devenue, au cours du 20ème, un grand constructeur de matériel ferroviaire, aujourd’hui filiale d’ALSTOM.
Ses anciennes usines Rochelaises (à Aytré pour être précis) assemblent encore aujourd’hui nos bons vieux TGV (et en assurent la maintenance ou la remise à niveau).
Catalogue Brissonneau et Lotz Rosier (image André Leroux)
Dès 1951, Louis Rosier, dont l’activité automobile ne s’arrête pas à la course (et à son écurie) mais qui est aussi à Clermont-Ferrand l’un des plus gros concessionnaires Renault de France (il y vend aussi du matériel agricole), réalise un prototype sur la base de la 4CV. Mais c’est son deuxième coup d’essai réalisé en 1953 avec l’aide du carrossier italien Rocco Motto qui sera le bon : un superbe cabriolet sur la base (toujours) de la 4CV R1062, et dotée donc du 747 cm3 de 21 ch placé à l’arrière.
La rencontre avec Yves Brissoneau va-être déterminante. Décidée à rentrer dans le monde de la construction automobile, le jeune héritier offre à Louis Rosier les moyens industiels qui lui manquaient. Enfin, « moyens industriels » est un bien grand mot : Brissoneau et Lotz construira dans un premier temps les autos entre les trains, et l’utilisation d’une carrosserie en polyester permettra cette production en petite série (seules les portes sont en acier), dans son usine du nord de Paris, à Creil.
Qu’importe, Brissonneau est là pour apprendre.
Au Salon de Paris 1956, la voiture est présentée au public mais l’aventure prend un tour tragique : au même moment, à Montlhéry, Louis Rosier se tue et ne verra pas sa voiture entrer en production ! C’est donc en forme d’hommage qu’elle prendra le nom de Rosier, tout simplement. Il sera produit entre 1957 et 1959. Le chiffres de productions oscillent, selon les sources, entre 200 et 233 exemplaires. Autant dire que la Rosier ne sera pas un succès, malgré son prix compétitif. La faute sans doute à une fiabilité aléatoire, et à des performances peu en rapport avec le passé prestigieux en course de Louis Rosier.
Non la Rosier n’est pas une sportive, malgré son look avenant ! Enfin, il est toujours difficile de vendre sans vrai réseau commercial.
Mais pour Brissonneau et Lotz, l’aventure Rosier permettra de se faire la main, et d’apprendre le métier de constructeur automobile. Cette première aventure permettra de gagner le marché de l’assemblage de la Renault Floride (puis Caravelle) à partir de 1959 dans l’usine Brissoneau et Lotz de Creil. A partir de 1968, Brissonneau et Lotz assure la peinture, l’installation de l’électricité et des habillages intérieurs de l’Opel GT, dont les caisses étaient embouties (comme pour la Floride) chez Chausson, avant de réexpédier le tout à Bochum pour l’assemblage final.
La collaboration entre Opel et le constructeur français cessa en 1973. Brissonneau et Lotz réalisera aussi en cette fin des années 70 la carrosserie en résine époxy de la Matra 530 avant que la production ne soit rapatriée à Romorantin en avril 1969.
L’activité automobile aurait pourtant pu perdurer. Dès 1967, l’entreprise décide de créer un bureau de style, et recrute chez Mercedes un certain Paul Bracq. Il va réaliser une version coupé très dynamique de la BMW 1600ti. La voiture plaît à BMW qui envisage alors de la produire en petite série chez le constructeur français.
Mais la pression du gouvernement français (qui voit d’un mauvais œil la collaboration avec des constructeurs étrangers) fit capoter le projet, et Renault racheta l’entreprise pour ensuite la démanteler (la partie ferroviaire sera vendue, et tandis que la partie automobile sera intégrée à Chausson, rachetée elle aussi par Renault).
Paul Bracq en profita pour passer le Rhin et commença une fructueuse collaboration avec BMW.
La BMW 1600 TI dessinée par Bracq qui devait être fabriquée par Brissonneau et Lotz
L’aventure automobile s’arrêta donc en 1973 avec les dernières Opel GT. Enfin pas tout à fait puisque l’usine de Creil continuera de produire des véhicules utilitaires sous la marque Chausson, puis des Trafic pour Renault, (et même un temps des Peugeot 104 – à 6400 exemplaires seulement – , des 205 et des 504 Pick up). L’usine cessera toute activité en 1996 après d’âpres luttes sociales. Reste aujourd’hui le souvenir des petits cabriolets Louis Rosier, dont seuls 20 exemplaires ont survécu aujourd’hui (et seulement 7 roulants). Un exemplaire est visible au musée automobile de Lohéac.
Source : PAR PAUL CLÉMENT-COLLIN-Les photos proviennent du site www.delcampe.net
mercredi 27 décembre 2023
CLUB5A - REPORTAGE AUTOS - EN PASSANT PAR LA FRANCHE-COMTE ...LES USINES PEUGEOT A SOCHAUX ...C’ÉTAIT EN 1954 !!
Découverte de l'usine Peugeot de Sochaux en 1954.....
L'usine PSA de Sochaux est le site industriel historique symbolique de Peugeot, implanté à Sochaux (Doubs). Son usine de pièces détachées et sous-traitants est l'Usine PSA de Vesoul.
C'est le plus important site industriel (toutes industries confondues) de France avec 12 527 salariés au 31 octobre 2008, 18 000 en l'an 2000.
Comme le site proche situé à Mulhouse, Sochaux est spécialisé dans les véhicules de taille moyenne, issus de la plate-forme TB (base roulante commune aux 308 I, 3008, 5008, DS5…) et EMP2 (308 II, ...).
En 2016, le site produit :
Peugeot 308 II berline et break « SW »,
Peugeot 3008 I puis II,
Peugeot 5008 I,
DS 5.
En décembre 2010, la 20 millionième Peugeot est sortie des chaînes.
En 2011, le site produit sa première Citroën (puis DS), la DS5.
En 2017, Sochaux aura produit 425 000 véhicules, en progression de 20 % par rapport à 2016 grâce au succès de la 308 et l'arrivée d'un premier modèle Opel et annonce une prévision de 425 000 exemplaires pour 2018.
À la fin des années 1990, sous l'impulsion de Jean-Martin Folz, le site entame une cure de jouvence et de nombreux métiers disparaissent du site. L'outillage central est le premier de liste, suivront les ateliers de câblerie (confection des faisceaux automobile), sellerie (confections des sièges) et la dernière en date est la fonderie.
Source : Amade Psa
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - DES CITROEN ABANDONNEES ...RASSUREZ-VOUS..C'EST LA RESERVE D'UN SPECIALISTE !!
Nos Anciennes Abandonnées des Citroën toujours utiles...
Un bicylindre et des carrosseries.
Ce n’est pas parce qu’on parle de bicylindre qu’on va parler de deuches. Pour autant elles sont nombreuses les populaires au chevron à résider ici.
La plupart sont encore sur leurs roues. Mais la plupart sont incomplètes.
Certaines ont eu un choc, d’autres ont été arrêtées, oubliées et abandonnées. Mais pas pour tout le monde. Au bout d’un moment elles ont finies dans ce champ.
Autour des deuches, quelques Méhari.
Ce n’est pas parce que leur carrosserie est en plastique qu’elles ont mieux résisté au temps.
Les éléments ont fait leur travail !
On remarque un nombre assez important de 2CV fourgonnettes dont une « 6 vitres » qui semble complète et, peut-être, promise à un bel avenir !
Les autres ne semblent pas si mal en point. Il reste peut-être un espoir de ce côté là également.
On retrouve aussi une Ami 6, et pas n’importe laquelle : une version Club. Dommage, ce qui fait toute sa particularité, c’est à dire ses phares et son pare-chocs, a plutôt mal résisté au temps !
Des épaves utiles !
Toutes ces autos font certainement rêver de nombreux passionnés. Mais rassurez-vous, elles ne sont pas réellement abandonnées et livrées aux éléments jusqu’à leur disparition !
En fait ces autos sont la réserve d’un spécialiste. Il s’agit de Méhari Cazals, un pro installé sur la commune du même nom et dont le boulot est de restaurer des Méhari, mais aussi des 2CV, des Dyane, Ami, etc.
La passion du bicylindre en fait ! Avec cette réserve, il a de quoi faire.
Les autos rentrées en bon état pourront espérer revoir un jour la route.
Pour les autres, elles sont condamnées à servir de donneuses de pièces, un phare, une aile, une portière, etc. En tout cas, ces anciennes ont été abandonnées… mais pas perdues !
Source : newsdanciennes.com/ED & ROKA EXPLORATION
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