Même si les différents pays ont en commun de voir enfin l'automobile comme un secteur clé de l'économie et de la puissance militaire, si tous veulent imposer leurs directives, notamment privilégier le collectif et l'équipement à la consommation, s'ils souhaitent gérer la pénurie et répartir les productions, de réelles différences subsistent pourtant. La France, probablement plus que tout autre, montre des particularités qui sont à la fois les reflets d'une situation présente et d'un héritage difficile à assumer.
Source : Giacomo ROWLAND / cinéma pathé
Affichage des articles dont le libellé est T.Archives Autos. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est T.Archives Autos. Afficher tous les articles
jeudi 3 juillet 2025
CLUB5A - IMAGES D'ARCHIVES - RÉTROSPECTIVE DE L'AUTOMOBILE EN FRANCE EN 1934..
L'automobile reste plus que jamais un indicateur majeur de l'activité économique d'un pays. Industrie phare au point d'être érigée en modèle, parfois même en symbole, l'automobile est un des reflets les plus précis d'une situation industrielle. Ainsi, l'analyse des différentes industries automobiles européennes au cours des années d'avant guerre, permet de mieux mesurer les choix stratégiques.
samedi 11 janvier 2025
CLUB5A - IMAGE D'ARCHIVE - UN DODGE DANS LES ANNÉES 20 ....MÊME PAS PEUR !
Dodge est une marque américaine d'automobiles et de poids lourds. Fondé par les frères Dodge en 1914, le constructeur est absorbé par le groupe Chrysler en 1928. Haut de gamme, Dodge a peu à peu évolué vers la conception de voitures à tendance sportive, à l'instar de Pontiac au sein du groupe General Motors.
Son logo représentait jusqu'à mai 2010 une tête de bélier avec le slogan « Grab life by the horns ». Depuis le rachat de Chrysler par Fiat le 1er juin 2011, la marque Dodge n'est plus vendue en Europe.Commençant leur carrière professionnelle à la Murphy Engine Company, en 1886, les frères John et Horace Dodge font ensuite fortune dans la production de bicyclettes, à la tête de leur compagnie Evans & Dodge Bicycle Company.
En 1901, les deux frères déplacent leur usine de bicyclettes et de machines à Détroit dans le Michigan. Ils y fabriquent des roulements et d'autres pièces pour les premières industries automobiles. Ils aident à la mise au point des moteurs des premières Oldsmobile. En 1902, les frères Dodge sont approchés par Henry Ford qui cherche de l'aide pour financer sa propre société de fabrication d'automobiles. Les frères Dodge aident donc Ford à financer son entreprise. Ils deviennent les premiers actionnaires et constructeurs des moteurs de la Ford Motor Company.
Au moment de la fondation de la Ford Motor Company, Henry Ford donne cinquante actions à chacun des deux frères Dodge. Lorsqu’en 1919, les frères vendent les parts Ford, ils récupérèrent la somme de 25 millions de dollars En 1914, les frères Dodge décident de créer leur propre marque à leur nom. La firme est ainsi fondée à Hamtramck (Michigan)5. Les premiers modèles ressemblent à la Ford T décapotable, mais avec quelques innovations comme un démarreur électrique. Fort de leur excellente réputation de motoristes, les commandes affluent et leur première voiture se pose pendant un temps en véritable rivale de la Ford T3.
Leur slogan est « Fiable ! ». À la fin de 1914, 249 voitures sont construites par la Dodge Brothers Motor Company. Ils en écouleront par la suite des centaines de milliers. Les automobiles Dodge acquièrent une réputation d'automobiles fiables et robustes. Tout naturellement, l'armée de terre américaine s'y intéresse. Le général Pershing les utilise pour la première fois lors de l'expédition punitive à l'encontre des bandits mexicains, sous les ordres de Pancho Villa, ordonné par le président Wilson au début de l'année 1916.
C'est le 14 mai 1916 que le lieutenant George Patton, à la tête d'un groupe de dix hommes accompagné de deux guides mexicains dans trois voitures Dodge, ramène au poste de commandement du général Pershing, créant ainsi la sensation en faisant la une des journaux américains, les dépouilles des bras droits de Villa dont le général Bob Cardena, ficelées au garde-boue. En 1917, les deux frères se lancent dans la construction de poids lourds, au départ pour l'armée des États-Unis pendant la Première Guerre mondiale, puis pour les usages civils après la fin des hostilités. Ils appellent leur premier modèle Commercial Car : il s'agit d'un pick-up construit sur un châssis standard avec de larges ouvertures entre les côtés et le toit, qui seront remplacées par des côtés pleins par la suite Cependant.
En 1920, alors que Dodge occupe la deuxième place des ventes de voitures aux États-Unis, l'avenir de Dodge bascule du tout au tout. Terrassé par une pneumonie, John décède le 14 janvier, tandis que Horace, inconsolable et dépressif, meurt à son tour en décembre des suites de la grippe et d’une cirrhose. Le troisième constructeur américain de l'époque passe alors sous le contrôle d'un groupe bancaire, en 1925. Cette même année, la société des frères Dodge est rachetée par Dillon, Read & Co. pour 146 millions de dollars, la plus importante transaction financière jamais vue à l'époque. Dillon Read revend ensuite la société à Walter Chrysler le 31 juillet 1928. Dodge fait à présent partie du groupe Chrysler qui passera sous la houlette du groupe italien Fiat à partir du 30 avril 2009 avant d'être entièrement racheté par Fiat le 1er juin 2011.
Le groupe Chrysler a été incorporé dans le groupe Fiat le 1er janvier 2014 pour former FCA Automobiles. Les modèles automobiles de la marque Dodge ne sont plus commercialisés en Europe.
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0
Son logo représentait jusqu'à mai 2010 une tête de bélier avec le slogan « Grab life by the horns ». Depuis le rachat de Chrysler par Fiat le 1er juin 2011, la marque Dodge n'est plus vendue en Europe.Commençant leur carrière professionnelle à la Murphy Engine Company, en 1886, les frères John et Horace Dodge font ensuite fortune dans la production de bicyclettes, à la tête de leur compagnie Evans & Dodge Bicycle Company.
En 1901, les deux frères déplacent leur usine de bicyclettes et de machines à Détroit dans le Michigan. Ils y fabriquent des roulements et d'autres pièces pour les premières industries automobiles. Ils aident à la mise au point des moteurs des premières Oldsmobile. En 1902, les frères Dodge sont approchés par Henry Ford qui cherche de l'aide pour financer sa propre société de fabrication d'automobiles. Les frères Dodge aident donc Ford à financer son entreprise. Ils deviennent les premiers actionnaires et constructeurs des moteurs de la Ford Motor Company.
Au moment de la fondation de la Ford Motor Company, Henry Ford donne cinquante actions à chacun des deux frères Dodge. Lorsqu’en 1919, les frères vendent les parts Ford, ils récupérèrent la somme de 25 millions de dollars En 1914, les frères Dodge décident de créer leur propre marque à leur nom. La firme est ainsi fondée à Hamtramck (Michigan)5. Les premiers modèles ressemblent à la Ford T décapotable, mais avec quelques innovations comme un démarreur électrique. Fort de leur excellente réputation de motoristes, les commandes affluent et leur première voiture se pose pendant un temps en véritable rivale de la Ford T3.
Leur slogan est « Fiable ! ». À la fin de 1914, 249 voitures sont construites par la Dodge Brothers Motor Company. Ils en écouleront par la suite des centaines de milliers. Les automobiles Dodge acquièrent une réputation d'automobiles fiables et robustes. Tout naturellement, l'armée de terre américaine s'y intéresse. Le général Pershing les utilise pour la première fois lors de l'expédition punitive à l'encontre des bandits mexicains, sous les ordres de Pancho Villa, ordonné par le président Wilson au début de l'année 1916.
C'est le 14 mai 1916 que le lieutenant George Patton, à la tête d'un groupe de dix hommes accompagné de deux guides mexicains dans trois voitures Dodge, ramène au poste de commandement du général Pershing, créant ainsi la sensation en faisant la une des journaux américains, les dépouilles des bras droits de Villa dont le général Bob Cardena, ficelées au garde-boue. En 1917, les deux frères se lancent dans la construction de poids lourds, au départ pour l'armée des États-Unis pendant la Première Guerre mondiale, puis pour les usages civils après la fin des hostilités. Ils appellent leur premier modèle Commercial Car : il s'agit d'un pick-up construit sur un châssis standard avec de larges ouvertures entre les côtés et le toit, qui seront remplacées par des côtés pleins par la suite Cependant.
En 1920, alors que Dodge occupe la deuxième place des ventes de voitures aux États-Unis, l'avenir de Dodge bascule du tout au tout. Terrassé par une pneumonie, John décède le 14 janvier, tandis que Horace, inconsolable et dépressif, meurt à son tour en décembre des suites de la grippe et d’une cirrhose. Le troisième constructeur américain de l'époque passe alors sous le contrôle d'un groupe bancaire, en 1925. Cette même année, la société des frères Dodge est rachetée par Dillon, Read & Co. pour 146 millions de dollars, la plus importante transaction financière jamais vue à l'époque. Dillon Read revend ensuite la société à Walter Chrysler le 31 juillet 1928. Dodge fait à présent partie du groupe Chrysler qui passera sous la houlette du groupe italien Fiat à partir du 30 avril 2009 avant d'être entièrement racheté par Fiat le 1er juin 2011.
Le groupe Chrysler a été incorporé dans le groupe Fiat le 1er janvier 2014 pour former FCA Automobiles. Les modèles automobiles de la marque Dodge ne sont plus commercialisés en Europe.
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0
mercredi 8 janvier 2025
CLUB5A - IMAGE D'ARCHIVE AUTO - LES PREMIÈRES COMPÉTITIONS AUTOMOBILES...C’ÉTAIT EN 1919...
Les premières courses automobiles filmée en 1919. Ceci et un film rare de Louis Chevrolet (le co-fondateur d'Entreprise Chevrolet) faisant une compétition à l'Île Coney, NEW YORK en septembre 1919. Louis conduit la voiture numéro 7 "Frontenac".
Les images montrent les courses automobiles dans le sens des aiguilles d'une montre autour de la piste. Louis est assis sur le côté en "fonds de terre" dans sa voiture, avec son mécanicien assis sur l'extérieur de la voiture. Ceci était une des dernières courses dans lesquelles il a jamais rivalisé. Il est parti quand sa voiture a pris feu.
Source : SportingHistory/ film PATHE
mercredi 25 décembre 2024
CLUB5A - IMAGES D'ARCHIVES - 1935 Grand Prix de France à Montlhéry........
Le Grand Prix automobile de France en 1935 est un Grand Prix hors-championnat qui s'est tenu sur l'autodrome de Linas-Montlhéry le 23 juin 1935.
Rudolf Caracciola le vainqueur de l'épreuve au milieu de la foule…
…rentrant aux stand pour son arrêt ravitaillement.
Otto Wilhelm Rudolf Caracciola1, dit Rudolf Caracciola, né le 30 janvier 1901 à Remagen dans le royaume de Prusse (aujourd'hui en Rhénanie-Palatinat), sous l'Empire allemand et mort le 28 septembre 1959 à Cassel dans la Hesse, en Allemagne de l'Ouest, est un coureur automobile et moto allemand puis Suisse.
Il est considéré comme l'un des plus grands pilotes de Grands Prix d'avant-guerre et reconnu pour son perfectionnisme. Son record de victoires au Grand Prix d'Allemagne est toujours inégalé en 2019.
Rudolf Caracciola remporte le Championnat d'Europe des pilotes d'avant-guerre (l'équivalent du Championnat du monde de Formule 1 actuel) à trois reprises et le Championnat d'Europe de la montagne trois fois, dont deux avec Mercedes-Benz (à l'époque des Flèches d'Argent, signant là plusieurs records de vitesse pour l'écurie) et une avec Alfa Corse. Surnommé Karratsch par le public allemand, il est surtout connu sous le surnom de Regenmeister (ou Maître de la pluie) pour ses performances sous la pluie, notamment au Grand Prix d'Allemagne 1926.
Caracciola commence à courir sur moto, puis sur auto alors qu'il travaille en tant qu'apprenti pour les automobiles Fafnir à Aix-la-Chapelle au début des années 1920. Il pilote ensuite pour Mercedes-Benz avec qui il remporte le Championnat d'Europe de la montagne à deux reprises (1930 et 1931) puis signe chez Alfa Romeo qui lui permet de remporter ce même championnat en 1932. L'année suivante, il fonde, avec le Monégasque Louis Chiron, la Scuderia CC (pour Caracciola et Chiron) ; à la suite des séquelles d'un accident aux essais du Grand Prix de Monaco 1933 qui lui occasionne de multiples fractures à la jambe droite, il est obligé de se retirer de toute compétition pendant plus d'un an. De retour à la compétition en 1934 avec l'écurie Mercedes-Benz, récemment reformée, il remporte trois championnats d'Europe des pilotes, en 1935, 1937 et 1938.
Comme de nombreux pilotes allemands des années 1930, Rudolf Caracciola appartient au groupe paramilitaire nazi Nationalsozialistisches Kraftfahrkorps (NSKK) même s'il n'a jamais été membre du parti nazi. Après la Seconde Guerre mondiale, Caracciola reprend la compétition automobile mais un nouvel accident aux 500 miles d'Indianapolis 1946 le plonge plusieurs jours dans le coma. Rappelé par Mercedes-Benz en 1952 pour courir le Championnat du monde des voitures de sport sur les 300 SL W194, il est victime d'une triple fracture à la jambe gauche lors d'un accident à Bremgarten en Suisse et arrête sa carrière de pilote.
Après avoir pris sa retraite sportive, Rudolf Caracciola travaille pour Mercedes-Benz en tant que vendeur, avec pour mission de cibler les troupes de l'OTAN stationnées en Europe.
Il meurt en 1959 à Cassel en Allemagne de l'Ouest des suites d'une insuffisance hépato-cellulaire et est enterré en Suisse où il vivait depuis le début des années 1930.
Source :sagitt76-WKPDIA
samedi 14 décembre 2024
CLUB5A - PRESENTATION DE LA NOUVELLE RENAULT 4L...C'ETAIT EN 1961 !!
La Renault 4 (couramment appelée 4L) est une petite voiture populaire de grande diffusion de conception simple et pratique. Ce fut aussi la première application de la traction sur une voiture automobile de tourisme de la marque Renault après que cette technique a été adoptée sur l'Estafette en 1958.
Elle est construite d'août 1961 à la fin 1992 dans 28 pays, initialement avec la Dauphine sur l'île Seguin à Boulogne-Billancourt ainsi qu'à l'usine Renault de Flins, en Espagne (par Fasa-Renault), en Argentine par IKA-Renault, en Italie par Alfa Romeo (sous licence), au Maroc, à Madagascar, en Afrique du Sud, puis en Slovénie pour les dernières années de sa production.
La Renault 4 connut un grand succès auprès des PME, des artisans, de la gendarmerie (c'était l'une des voitures françaises de l'époque qui permettait de conduire avec le képi sur la tête), mais également auprès des PTT, de France Télécom ou EdF dans sa version fourgonnette F4 ; ces contrats lui donnèrent une très grande visibilité.
En France, la Renault 4 fut en tête des ventes de 1962 à 1965 (succédant à la Renault Dauphine), puis de 1967 à 1968. Elle reste aujourd'hui.
Quand ?
la deuxième voiture française la plus vendue avec 8 135 424 exemplaires derrière la Peugeot 206 et juste devant le duo Renault 9 et 11.
À côté de la R3 et de la R4 de base — sensiblement équivalente à la R3 dans sa présentation — il existait une déclinaison « Luxe » dite R4 L, elle se caractérisait par sa troisième vitre latérale et différents accessoires et baguettes inox, qui la rendait plus luxueuse.
Cette version, qui s'appela bientôt R4 L Export, fut la plus vendue. À tel point que l'appellation générique de la Renault 4 deviendra progressivement 4L.
Par rapport à la version de base, qui possédait des sièges du type « strapontins suspendus » de même type que la 2 CV, la R4 L Export possédait des sièges plus élaborés et plus confortables (séparés à l'avant) et une banquette arrière rabattable.
Source : INA.fr-WKPDIA/CC-BY-SA-3.0
Elle est construite d'août 1961 à la fin 1992 dans 28 pays, initialement avec la Dauphine sur l'île Seguin à Boulogne-Billancourt ainsi qu'à l'usine Renault de Flins, en Espagne (par Fasa-Renault), en Argentine par IKA-Renault, en Italie par Alfa Romeo (sous licence), au Maroc, à Madagascar, en Afrique du Sud, puis en Slovénie pour les dernières années de sa production.
La Renault 4 connut un grand succès auprès des PME, des artisans, de la gendarmerie (c'était l'une des voitures françaises de l'époque qui permettait de conduire avec le képi sur la tête), mais également auprès des PTT, de France Télécom ou EdF dans sa version fourgonnette F4 ; ces contrats lui donnèrent une très grande visibilité.
En France, la Renault 4 fut en tête des ventes de 1962 à 1965 (succédant à la Renault Dauphine), puis de 1967 à 1968. Elle reste aujourd'hui.
Quand ?
la deuxième voiture française la plus vendue avec 8 135 424 exemplaires derrière la Peugeot 206 et juste devant le duo Renault 9 et 11.
Cette version, qui s'appela bientôt R4 L Export, fut la plus vendue. À tel point que l'appellation générique de la Renault 4 deviendra progressivement 4L.
Par rapport à la version de base, qui possédait des sièges du type « strapontins suspendus » de même type que la 2 CV, la R4 L Export possédait des sièges plus élaborés et plus confortables (séparés à l'avant) et une banquette arrière rabattable.
Source : INA.fr-WKPDIA/CC-BY-SA-3.0
vendredi 13 décembre 2024
CLUB5A - IMAGES D'ARCHIVES - LES VÉHICULES RENAULT EN DIRECTION DU CAP...C’ÉTAIT EN 1951 !!
Participation de six véhicules Renault au rallye Méditerranée-Le Cap, en février 1951. L'équipe Renault comprenait deux 4CV, une Savane série Coloral, un pick-up série Coloral, un break 1000 kilos Tropic et un camion 5 tonnes avec un moteur horizontal sous le chassis.
La randonnée Alger-Le Cap (16000 km en 32 étapes) est une épreuve sportive mais aussi un banc d'essai. Avant le départ, les pilotes présentent à Billancourt leurs véhicules et matériel à la direction de la Régie qui n'a pas craint d'engager dans l'épreuve les derniers nés de la série Coloral. Long résumé en images de l'épreuve Alger-Le Cap et des étapes à : Gao, Fort Lamy, Stanleyville, Elisabethville, Victoria Falls, Pretoria, Johannesburg, Port-Elizabeth .
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0. ina.fr
samedi 7 décembre 2024
CLUB5A - CITROËN AUTOCHENILLE - FILM ORIGINAL DE 1934 AU MONT ST MICHEL...
Citroën : l'Autochenille, vedette des années 30 - Voyage dans le temps à bord d'un véhicule mythique.
Comme la plupart des véhicules des convois conçus spécialement pour les expédition celui-ci sort de l’usine Citroën Kegresse de Courbevoie. La carrosserie, en duralumin, comprend deux parties.
D’abord la cabine avant, sans portes ni casquette, offre au moins deux places assises. Ensuite, le plateau arrière, en dessus des chenilles, est équipé de ridelles. Le tout est monté sur châssis AC4F.
Un moteur quatre cylindres assure la propulsion (1628 cm3, 30 CV, 3000 t/mn, « carburateur Solex modifié pour le réglage montagne, embrayage monodisque à sec »). À l’avant est fixé « un gros rouleau fou servant de point d’appui pour franchir les terrains accidentés ». Les vitesses se situent dans la fourchette de 8 à 45 km/h selon les terrains et la charge, la consommation variant énormément en fonction de l’effort demandé.
Source : CITROEN HISTORY - Photos and Films
Inscription à :
Articles (Atom)