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jeudi 17 août 2023

CLUB5A-TECHNIQUE AUTO - LA ZUZU DE JÉRÔME....RESTAURATION D'UNE 2 CV CAMIONNETTE...

Restauration complète d'une 2cv Azu 1961 La 2cv Fourgonnette ayant un moteur trop peu puissant, en septembre 1954 Citroën réagit et lance la 2cv AZU. Dotée du moteur 425 cm3 de la 2cv AZ de l'époque, elle développe 12 ch et se montre enfin capable d'emmener correctement 250 kilos de charge utile. Le type AZU est apparu en septembre 1954 et restera au catalogue jusqu'au milieu de l'année 1978, profitant entre temps de nombreux changements. Lancée le moteur 425 cm3 de 12 ch, la fourgonnette AZU gagnera 6 ch en mars 1963 pour atteindre les 21 ch SAE en août 1967 .
La carrosserie reçoit d'emblée les nouveaux feux arrière et latéraux. Pour 1960, les roues deviennent plus petites et ne sont plus de la même couleur que la carrosserie, elles sont désormais blanches. En juillet 1961 la fourgonnette profite enfin du restylage opéré sur la 2cv Berline. Elle gagne un nouveau capot à 5 nervures, des joues d'aile redessinées et une calandre plus petite dont les chevrons prennent des dimensions plus imposantes. En mars 1963, les hublots ovales des portes arrière sont remplacés par des vitres carrées et les panneaux latéraux perdent leurs nervures dans la partie supérieure.
 Fin 1964, l'ouverture des portières avant change de sens pour se conformer aux nouvelles normes de sécurité. En 1971, les pare-chocs sont désormais uniformément gris. En septembre 1973, la 2CV fourgonnette type AZU série B reçoit le moteur 435 cm3 de la 2CV 4. La carrosserie est enfin modernisée (la berline l'avait été début 1970) grâce à des nervures plates et à des feux clignotants à l'avant et à l'arrière. Pour 1975, les phares deviennent rectangulaires. C'est en juin 1978 que la 2cv AZU disparaît du catalogue Citroën. Elle laisse alors sa place à la nouvelle Citroen Acadiane, dernière représentante de la lignée des utilitaires de la petite Citroën. 
Les fourgonnettes AZU et AZU-B ont longtemps été utilisées par La poste et EDF. Pour rouler dans les mauvais chemins, ces versions Administration étaient équipées d'un pare-chocs avant tubulaire, d'une plaque de protection sous le moteur et d'un pare-chocs arrière imposant des feux rehaussés 
Source : jescarroserie

samedi 12 août 2023

CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION - RESTAURATION D'UNE ALCYON DE 1928 !!

Restauration d'une moto de marque Alcyon de 1928 deux temps 250cc .. moteur zurcher... 
Alcyon est une entreprise française de construction de bicyclettes, de motocyclettes et d'automobiles créée en 1903, boulevard Bourdon à Neuilly-sur-Seine, par Edmond Gentil (1874-1946) La production des bicyclettes Alcyon commence en 1902, celle des motocyclettes en 1904 avec la fabrication d'un modèle à moteur ZL. Alessandro Anzani est champion du Monde de moto en 1905, sur un modèle à moteur Buchet. 
La même année l'équipe cycliste Alcyon est créée. La marque équipe de plus nombre d'autres coureurs cyclistes. Les bicyclettes Alcyon ont gagné 14 tours de France, 12 Paris-Roubaix et 13 Bordeaux-Paris. Petit fabricant de la banlieue ouest de Paris, Alcyon est l'un des plus titrés. Les succès enregistrés chaque année lors du tour de France lui valent le surnom d'"intrépide Alcyon". 
 Par la suite, Alcyon acquiert différentes marques comme « Cycles A. Thomann » (1911),« Armor », « Labor », « Olympique Cycles » et « La Française Diamant » (1923). 
 Avant la Première Guerre mondiale, Alcyon construira également quelques automobiles. Alcyon sera racheté par Peugeot en 1954 et la marque disparaîtra du marché du fait de son intégration.  
Source : Armaguedon Yoda

mercredi 19 juillet 2023

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - « Elle m’a coûté 250 € mais c’était une épave » : A 23 ans ce Morbihannais retape de vieilles 4L

 

Lucas Boisbras est un passionné d’automobiles depuis son adolescence. Membre de l’association les Vieilles T’Autos de Ploërmel (Morbihan), il a rénové une 4L en 2020 et se lance dans la restauration d’une seconde. Le jeune homme de 23 ans a notamment pu bénéficier des conseils de l’association dont il fait partie. La passion de l’automobile, Lucas Boisbras, l’a depuis bien longtemps. C’est dès l’adolescence que le jeune homme de 23 ans est baigné dans ce milieu, via notamment, son cercle familial. 

 C’est grâce à mon grand frère Thomas. Il a commencé à retaper des mobylettes il y a sept, huit ans. Rapidement, celui qui travaille aujourd’hui dans le secteur du terrassement met la main à la pâte et commence à se salir les mains. On a commencé à bricoler ensemble », explique-t-il. Les vestiges de cette époque sont toujours présents et conservés précieusement. Solex, mobylettes, motos anciennes, on en a une trentaine en tout »,énumère Lucas Boisbras face aux reliques de sa jeunesse. Mais ce n’est pas assez pour le jeune homme qui souhaite se lancer dans l’aventure des voitures... 
Source : ouest-france.fr/Reiguen

samedi 15 juillet 2023

CLUB5A - TECHNIQUE AUTO - RESTAURATION D'UNE ROSENGART SUPERTRACTION LR 539 ....

Lucien Rosengart avait négocié avec André Citroën la fourniture du moteur de la traction pour équiper sa LR539. C'est ainsi que ce véhicule bénéficiera du moteur, de la boite, du tableau de bord, enfin de beaucoup d'éléments de la Traction 11 Citroën. Par contre, il conserve les éléments Adler pour le train arrière. 
La version précédente n'avait pas beaucoup de personalité, c'est pourquoi Lucien Rosengart décide de revoir complètement sa copie, et la nouvelle version est présentée le 16 mars 1939 au pavillon d'Amenonville. Sa ligne séduit et elle est considérée comme l'une des plus belles voitures françaises de l'année.


Restaurée par le Garage Maldonado à Wittisheim, en Alsace 
 Source : justasmile67 /retraumobileclub74.org

mardi 11 juillet 2023

CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION - RESTAURATION D'UNE RENAULT 5 GT TURBO DES ANNÉES 80..

Gerry et Aurélien retournent dans les années 1980 en faisant l'acquisition d'une Super 5 GT Turbo. Ils ne cachent pas leur enthousiasme mais sont loin de se douter que la majorité des pièces du turbo sont à changer. Une opération qui devrait leur coûter beaucoup d'argent. Mais si tout se déroule comme prévu, ils pourraient bien parvenir à en tirer ensuite un très bon prix.


La Super 5 GT Turbo est le modèle sportif de la Super 5, commercialisée par Renault à partir de mars 1985 pour répondre à la concurrence de l'époque sur ce segment : la Golf GTI et la Peugeot 205 GTi. 
Ce modèle remplace la Renault 5 Alpine turbo, dans la tradition sportive du constructeur. Il sera décliné en quatre modèles principaux : la phase 1, la phase 2, la version « Coupe » et la version limitée baptisée « Alain Oreille ». La Super 5 GT Turbo est animée par le mythique « moteur Cléon-Fonte » greffé d'un turbo Garrett. le modèle phase 1 est vendu en France en mars 1985 à 72000 francs. 
La voiture est équipée de pare-chocs enveloppants, d'extensions d'ailes, d'un habillage de bas de caisse, de pneus montés sur jantes alu en taille 175-60-R13 (la monte en Michelin MXV 195-55-R13 était proposée à cette époque en option). 
 En juillet 1987, elle est restylée et légèrement modifiée techniquement, le moteur gagnant cinq chevaux supplémentaires pour atteindre 120 ch, essentiellement par l'amélioration de l'allumage électronique intégral (AEI). La monte de pneus passe alors de série en 195-55-R13. 
Cette version restylée sera connue sous le terme générique de phase 2. Sa production s'arrête courant 1991, Renault préparant déjà la sortie imminente de sa remplaçante sportive : la nouvelle Clio 16S à moteur de 1,8 L 16 soupapes et injection multipoints, mais atmosphérique cette fois. 
 Une série limitée à 2 000 exemplaires « Alain Oreille » est sortie en 1989 pour célébrer la victoire d'Alain Oreille et Gilles Thimonier dans la coupe FIA des pilotes de voitures de production. Avec la victoire en Groupe N à Monte Carlo et à San Remo, Alain Oreille a été vainqueur de la Coupe FIA des pilotes des voitures de production ! C'est ainsi que la GT Turbo fut la première et la seule à ce jour Groupe N à avoir remporté une victoire de rallye au championnat du monde, il s'agissait du rallye de Côte d'Ivoire, en 1989. 
Cette série est caractérisée par la couleur « bleu sport métallisé 449 et sa plaque d'identification 2W » jantes incluses (dont seul le rebord reste en alu), un petit monogramme présent sur les montants de portes et une sellerie à triangles bleus. 
Quelques équipements intérieurs lui sont aussi apportés : nouvelle moquette noire, éclairage dans la boite à gants et habillage latéral dans le coffre arrière. Toutes les A. Oreille ont été assemblées à l'usine de Haaren (en Belgique avec le code H).
Source : WHEELR DEALERS FRANCE/
DP-Performance

dimanche 2 juillet 2023

CLUB5A - TECHNIQUE AUTO - RESTAURATION D'UNE 2 CV CITROËN !!

Restauration d'une 2CV Citroen !! 
Arrivée du véhicule. On pourrait croire : "Ça va, pas trop de boulot…" Mais je sais bien ce que cela cache ! 
 À l'attaque, on commence par découper le soubassement bon pour la poubelle !  

On ajuste, puis pose des bas de caisse. Chantier un peu exceptionnel pour une deuch. 
 Voilà c'est la fin d'une renaissance… Finitions, réglages et essais............. 
 On lui souhaite une nouvelle et longue carrière !

Source : Marc Bonachera

dimanche 18 juin 2023

CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION - Rénovation d'une vieille Motobécane....

Voici le moment de faire de la mécanique et de se faire plaisir en  rénovant une Motobécane !
De la fin des années 50 à nos jours, sur les routes de France et d’ailleurs régna un destrier à la légende unique, une monture infatigable qui emporta de preux chevaliers vers leur glorieux destin et embarqua à l’arrière tant et tant de princesses qui le montaient en amazone : la Bleue. Classifiée par une administration tatillonne et obtuse bien peu encline à la poésie des couleurs comme Motobécane AV 88, la Bleue nous arriva de Pantin (où se trouvaient ses ateliers de fabrication) par la Nationale 3 vers la fin des années 50 (c’est bon, c’est suranné) et à partir de là s’en alla conquérir le royaume de France par toutes les routes départementales que la DDE voulu bien prêter à ses deux roues. 
 Avec les 49,93 cm³ de son monocylindre deux temps refroidi par air, son carburateur Gurtner 12mm lui octroyant 2 cv à 5000 tr/mn, la Bleue pouvait atteindre la vitesse officielle de 45 km/h ce qui nous met la Porte de Pantin à quinze minutes de la Porte d’Italie, soit un bon début pour qui veut s’enquiller la Nationale 7 et rejoindre la mer. Quand on partait sur les chemins, à mobylette… 
 Eh oui les amis on était fous on était jeunes et on partait sur les chemins à mobylette (le mélange Aznavour Montand a du bon, trouvais-je). Bien entendu le réservoir de cinq litres ne conférait pas une bien grande autonomie mais qu’importe, on avait tout le temps et qui plus est l’important c’est le voyage pas la destination comme dit le Dalaï Lama.
 Pour bien des générations, la Bleue fut l’instrument premier de la mobilité (ou le deuxième après la bicyclette qui ne permettait cependant pas d’aller aussi loin aussi vite), un petit air de liberté dans la France du Général qui appréciait la Bleue à la condition qu’elle s’acoquine de blanc et de rouge et qu’elle se munisse de son antiparasite agréé par l’ORTF afin de ne pas brouiller les messages officiels. 
 Le délai de prescription trentenaire étant aujourd’hui dépassé, je peux désormais avouer que bien avant l’âge légal de quatorze ans j’avais enfourché une Bleue (discrètement empruntée à ma grande tante) avec un complice familial que je ne dénoncerai pas ici et c’est ainsi que tous deux nous connûmes la grisante sensation de la vitesse cheveux aux vents. Les ressorts stratégiques de l’opération d’exfiltration de l’engin reposaient sur la concordance d’un repas familial arrosé, d’un bon soleil d’été et d’une sieste obligatoire dont nous nous échappions par la fenêtre de la chambre. 
Il fallait alors guider discrètement la machine, ouvrir le portail qui grinçait et démarrer la Bleue un peu plus loin. Notre sens inné de la débrouille et une certaine bienveillante complicité de notre grand-père nous permirent en deux temps trois mouvements d’acquérir l’art du pilotage en chemin vicinaux le temps d’un bel été. On ne croise plus de Bleue ou si peu sur les chemins de tous les jours. 
Aujourd’hui les facteurs roulent à vélo électrique et l’ouvrier qui crèche en grande banlieue attrape le premier train au p’tit matin. La Bleue est devenue africaine. Elle a rejoint la 504 sur les pistes poussiéreuses de l’immense continent noir. Je l’ai vue à Douala, à Kinshasa, à Ouarzazate, à Dakar. Et même si les Sanya, les Senke, les Skygo chinoises viennent lui chercher des noises aucune n’a la classe et le maintien d’une Bleue (je tiens ça d’un sapeur de Brazza, parole d’expert).
Source : TheChickenRiders-mots-surannes.fr/

vendredi 16 juin 2023

CLUB5A - TECHNIQUE AUTO - Le Moteur Citroën 2Cv ....En toute simplicité ...

Avec cette petite vidéo, vous pourrez voir l'"écorché" d'un moteur de 2cv en fonctionnement. Totalement modélisé en 3D par les étudiants de l'IUT Mantes de l'université de Versailles, vous pourrez le voir sous toutes ses coutures.
Le moteur de Citroën 2CV est un moteur thermique automobile à combustion interne, essence quatre temps, avec 2 cylindres à plat de type flat twin alésés directement dans le bloc en fonte, refroidi par air, doté d’un vilebrequin à 2 paliers, avec arbre à cames en bas moteur (avec culbuteurs et tiges de culbuteurs), commandé par une distribution par pignons, avec 2 culasses en aluminium, 4 soupapes en tête, développé et produit par Citroen à la fin des années 1940 pour équiper la Citroën 2CV. 
Particulièrement robuste et fiable, il a disparu avec les dernières 2CV en 1990, l'investissement nécessaire pour le mettre aux normes anti pollution ayant été jugé excessif. Cependant quelques bricoleurs y sont parvenus sans difficulté en y adaptant une injection électronique en kit (Megaskirt) et un catalyseur. Ainsi, près de dix millions de voitures ont été tractées par ce petit moteur.

 Source : citroen2cv / VIDEO / Thierry Chevrot / alcyrinho

jeudi 15 juin 2023

CLUB5A - Technique auto -Panhard 24 CT 1967 proto motorisation DS

Prototype vu au Conservatoire Citroën à Aulnay sous Bois (93). Équipée d'un moteur prototype de DS (4 cylindres, double arbre).
   
La Panhard 24, voiture automobile de la marque Panhard produite de 1963 à 1967 ; elle marque également le dernier modèle et la fin de production de la « doyenne des marques » automobiles françaises. La Panhard 24 est la dernière voiture créée par la société Panhard et Levassor. 
Cette firme fut la première au monde à se lancer dans la construction en série d’automobiles en 1890. Après la Seconde Guerre mondiale, Panhard obtient de l'État français la possibilité de produire une voiture en aluminium (pour créer un débouché à ce matériau), ce sera la Dyna X suivie de la Dyna Z. Vers 1957, l’aluminium cédera la place à l’acier sur les Dyna Z puis sur les PL 17 leurs héritières. La branche automobile de Panhard se trouvait en difficulté financière à cause d’une gestion trop frileuse et paternaliste. 
Un rapprochement avec Citroën amorcé en 1955 scellera le destin de la marque. Citroën a des moyens colossaux mais articule sa production de berlines sur deux modèles diamétralement opposés, la 2CV et la DS/ID. Panhard n’a qu’un modèle la Dyna Z, modèle de milieu de gamme typée sportive dotée d’un bicylindre à plat refroidi par air de 848 cm3 faisant une quarantaine de chevaux. Les deux gammes se complètent parfaitement, et la Dyna Z vient à point nommé concurrencer l'Aronde de Simca comme la 403 de Peugeot. L'avenir semble souriant pour Panhard. En 1959, au moment du lancement de la PL 17, Panhard pense déjà à son avenir et au modèle qui succédera à la nouveauté. Citroën s’oppose formellement à l’étude d’une nouvelle berline qui risquerait de concurrencer les ID et la future Ami 6. 
Il est donc décidé de lancer un coupé. C'est une merveille de design et d’ingéniosité si l'on considère le peu de moyens de Panhard et l’impossibilité d’étudier un nouveau moteur, notamment un projet de moteur à 4 cylindres en X. 
Louis Bionier, dessinateur des Panhard depuis les années 1930, assisté de René Ducassou-Pehau et André Jouan, réalisera là son chef-d’œuvre. Les doubles optiques avant (non orientables) sont protégées par une vitre, principe qui sera repris par la DS à partir de 1967. Le toit est plat, la face avant est lisse, avec une fine entrée d'air intégrée au pare-chocs et un jonc chromé ceinture la carrosserie. La silhouette très basse et élancée est une réussite. Le modèle fut présenté à la presse le 24 juin 1963 : une 24 C bicolore quetsche / gris capelinos  
Source : Mister59Bean

CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION - RESTAURATION D'UNE 125cc DE CHEZ JEAN-CLAUDE GAUTHIER !!

 

A la fin des années soixante , Jean Claude Gauthier , cherche désespérément la moto idéale pour s imposer en rallye moto sur route, les bécanes de l époque ne freinent pas se " tortillent ", et touchent dans les virages, alors le jeune pilote décide de construire "sa moto ".
 Pour cela il va construire un cadre poutre en vulgaire tube serrurier que les spécialistes de l'époque qualifieront de " rustique " moi je le trouvais génial ce cadre , dans cette partie cycle , le Glaude va installer le nouveau moteur 125 que Sachs vient de commercialiser , c'est un bloc deux temps d n peu plus de 20cv , et boite 6 vitesses.
C'est une réussite , en course Gauthier s impose partout , mais il est loin de se douter qu'il vient de réaliser la 125 , peut être la plus intéressante des seventies.
 J'ai une pensée émue pour Peugeot et Motobécane qui n ont pas su réaliser une telle 125 . Quelle gueule ce moteur , l'ailettage du cylindre est énorme , on pense en le voyant à une cylindrée bien supérieure , ce moteur capable d emmener une moto à plus de 150, est souvent trahi par sa boite de vitesse à croisillons , il faut savoir que Sachs , na jamais su fabriquer une boite de vitesse digne de ce nom , et cela entrainera la fin de Gauthier et d'autres petits constructeurs utilisant ce moteur.
Sachs chercha bien à rectifier le tir en sortant un bloc à 7 vitesses mais avec fourchette cette fois ci , mais c'est pire , cette boite 7 est une merde ( y a 6 points mort ) , mais pourquoi chez Sachs.
 Personne n a pensé à démonter un moteur de DTMX ou YZ Yamaha pour voir pourquoi les boite 6 japonaise marchaient si bien .
Renaissance d'une Gauthier 125 GA2 de 1976 après 30 longues années d'errance à l'état d'épave dans diverses arrières boutiques ou autres dépôts.
Source : motoclassic.skyrock.com-thiblo