dimanche 2 novembre 2025
CLUB5A - EPHEMERIDE - Aujourd'hui le 2 novembre - Ce jour-là en 1935 - La "Coffin Nose Cord" fait ses débuts....
Le Cord 810 a été présenté par la division Cord Automobile de la Auburn Automobile Company au National Automobile Show de New York ce jour-là en 1935. Le véhicule de luxe a été la première voiture américaine à traction avant produite en série avec une suspension avant indépendante. L'ancien Cord L-29 était également à traction avant, tout comme la Citroën Traction Avant de 1934. La 810, et plus tard la 812, ont été les premières voitures de série à être équipées de phares cachés . Ils ont été proposés tout au long de l'année modèle 1937 avec des versions suralimentées et non suralimentées.
L'avant intéressant du véhicule lui a valu le surnom de cordon de nez de cercueil.
Gordon Buehrig a initialement conçu le Cord 810 comme un Duesenberg, mais s'est finalement retrouvé avec un badge Cord. À l'époque, EL Cord possédait Auburn, Cord et Duesenberg, et la société s'est empressée de construire 100 unités pour se qualifier pour le Salon de l'auto de New York. Dès ses débuts, il a fait sensation auprès du public. Des centaines de personnes ont envahi l'exposition, les clients se tenant debout sur les pare-chocs des voitures à proximité pour mieux voir. La société Cord a promis une production de 1 000 unités par mois et une livraison à Noël pour toute commande prise lors du salon.
Le 25 décembre est venu et est reparti et plus aucune voiture n'avait été construite. La transmission assistée par dépression semi-automatique du véhicule s'est avérée gênante, bien que son Lycoming V8 ait fourni une puissance suffisante dans les modèles suralimentés et non SC. La puissance était de 170 chevaux avec et 125 sans compresseur.
La première production Cords a quitté la chaîne de montage en février 1936.
Malgré les rêves d'en construire des milliers, à la fin de l'année, Cord n'a produit que 1 174 unités. Les ventes fraîches ont poussé Cord à réémettre les VIN pour les véhicules invendus en tant que modèles Cord 812 de 1937. Au moment où toute la production de Cord a pris fin en 1937, un total de 2 971 coupés, berlines et cabriolets Cord 810 et Cord 812 de 1936 avaient été construits. Un seul prototype de 1938 a également quitté l'usine. Il est resté caché dans un garage invisible pendant des décennies jusqu'à ce qu'un acheteur le trouve en 1989. Il a rapidement subi une restauration complète, ajoutant un autre chapitre à l'histoire de l'automobile Cord 812.
Source : automotivehistory.org/
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Cette aide méconnue de la CAF permet de prendre en charge les réparations de sa voiture
Une panne automobile peut vite engendrer des frais importants, parfois à quatre chiffres. Pour soutenir les familles en difficulté, la CAF propose une aide à la réparation des véhicules. Une voiture qui tombe en panne est toujours un coup dur. Une boîte de vitesses, un système d’échappement ou encore un embrayage à changer et c’est vite une facture à quatre chiffres qui tombe entre les mains du propriétaire.
Consciente de ces pannes couperets, la Caisse d’Allocations Familiales (CAF) met à disposition des familles en situation financière précaire un dispositif méconnu : l’aide à la réparation des véhicules.
Cette aide vise à permettre la prise en charge partielle des frais de réparation imprévus indispensables pour garantir la mobilité nécessaire à la vie familiale et professionnelle. Elle ne concerne donc pas l’entretien courant (vidange, filtres, plaques d’immatriculation, etc.), mais bien les réparations mécaniques, électriques ou de carrosserie urgentes et vitales pour le maintien d’un véhicule fonctionnel.
Quelles sont les conditions d’octroi de cette aide ?
Pour bénéficier de cette aide, vous devez impérativement satisfaire certaines conditions, mais celles-ci sont différentes en fonction des départements.
Dans l’Orne par exemple, il faut être allocataire CAF et percevoir au moins une prestation familiale. Avoir au moins un enfant de moins de 20 ans à charge et un quotient familial inférieur ou égal à 900 euros. Ce qui correspond par exemple à un couple avec un enfant et un salaire mensuel brut de 2.200 euros brut.
Dans la Vienne les conditions sont toutes autres : l’aide concerne les familles monoparentales, les familles ayant 3 enfants ou plus, les familles ayant un enfant porteur de handicap ou parents victimes de violences conjugales. Il est donc essentiel de se renseigner sur les conditions fixées par le département duquel on dépend.
Il est important de préciser que l’aide à la réparation de véhicule proposée par la CAF n’est pas un don financier gratuit, mais un prêt à taux zéro. Son montant, plafonné varie en fonction des départements entre 500 et 2000 euros, il est versé directement au garage et sera remboursé par retenues mensuelles sur vos prestations familiales.
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
CLUB5A - PREPAREZ VOS MECANIQUES - SORTIE MOTOS LESPINASSIERE LE 23 NOVEMBRE 2025 - INSCRIVEZ-VOUS !
Amis motards ! voici l’automne… la saison de la vaccination contre la grippe… et l’arrivée du froid qui se profile à l’horizon du pic de Nore … les 2 dernières balades motocyclettes anciennes de l’année ( novembre et décembre) sont dédiées à notre gastronomie locale… à savoir, entre autres , les tripes et le cassoulet ..!
Aussi, nous vous invitons à participer à la balade du 23 novembre ou vous pourrez déguster des tripes, pour les amateurs, ou du fréginat,
une autre spécialité locale, pour ceux qui n’aiment pas les tripes.
Notre passion première , c’est bien entendu…de rouler sur nos anciennes …
à travers les contreforts de notre montagne noire, attention aux feuilles mortes qui joncheront le circuit … et, attention également à ne pas prendre une châtaigne au détour d’un virage….
des choses simples… de la vie en forêt..
amitiés
régis .
Inscriptions avant le 15 Novembre 2025 - Attention places limitées.
Réservations et renseignements : 06.23.87.60.32 -
| regis.perich@wanadoo.fr |
CLUB5A – 02/11 – ALORS,…C’EST QUI LA VEDETTE ?
La chanteuse DALIDA en cyclomoteur...
Iolanda Cristina Gigliotti, dite Dalida, née le 17 janvier 1933 au Caire et morte le 3 mai 1987 à Paris 18ᵉ, est une chanteuse et actrice italienne naturalisée française.
CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - LA FIAT MULTIPLA DE 1956 ÉTAIT DÉJÀ UN OVNI !!
Le Garage du cœur, la rubrique auto rétro de “M”, jette cette semaine un regard attendri sur la première génération de Fiat Multipla. Monospace avant l’heure, ce modèle possédait, comme la version née en 1998, des lignes particulièrement étonnantes.
ans que l’on sache toujours très bien quelle est la part de l’ironie et quelle est celle de l’affect dans cette dénomination, les voitures destinées aux familles nombreuses sont volontiers qualifiées de « bétaillère » ... La faute à des souvenirs de départs en vacances entassés sur la banquette, entre la petite sœur, malade depuis le premier virage, et le panier du chat (malade, lui aussi, les miaulements en plus). S’agissant de la première génération de la Fiat Multipla, née en il y a tout juste soixante ans, le terme ne convient guère. Question de gabarit, sans doute.
Six personnes entassées dans une voiture longue de 3,50 mètres (à titre de comparaison, l’actuelle Fiat 500 mesure 3,57 m) évoque davantage la boîte de sardines que l’engin agricole.
Pas de capot, le moteur à la place du coffre
Basée sur la Fiat 600 née un an avant elle, la Multipla est lancée au salon de Bruxelles 1956. La marque de Turin la présente comme « la seule voiture particulière avec cabine avancée ». En l’absence de capot, le poste de conduite se trouve en première ligne, alors que le compartiment moteur est relégué dans ce qui pourrait être le coffre mais n’en est pas un. D’où ce profil assez étonnant induit par une proue plate et une poupe allongée. De prime abord, on se demande où se trouve l’avant. En fait, il se trouve à l’arrière, et réciproquement.
Cette architecture apparemment incongrue – mais on ne peut plus logique pour obtenir un rapport habitabilité encombrement favorable – attirera les remarques plus ou moins sarcastiques de ceux qui n’avaient pas de famille nombreuse à transporter où disposaient des moyens de se payer un gros break (une bétaillère, donc), voire un Combi Volkswagen. La deuxième Multipla, apparue en 1998 et reconnaissable, elle, à son curieux « nez » évoquant celui d’un ornithorynque, inspirera davantage encore les moqueries.
En concevant une carrosserie monovolume accueillant trois banquettes, bref en privilégiant l’habitabilité sans sacrifier aux contraintes d’aérodynamique, Dante Giacosa jette les bases du monospace avec trente ans d’avance. Ce dont le père de la première Fiat 500 ne se soucie guère car il n’a jamais cherché à théoriser grand-chose autour de la Multipla, une voiture destinée aux familles nombreuses modestes. Fiat a fait du monospace comme Monsieur Jourdan faisait de la prose.
Hormis des trains avant et arrière renforcés, une suspension plus costaude, des tambours de freins élargis et des rapports de boîte étagés un peu différemment, c’est la mécanique de la petite Fiat 600 qui est à l’œuvre. Un quatre-cylindres de 633 cm3 développant péniblement 21 ch (selon la définition de l’époque). Il existe aussi une version 4-5 places et une variante taxi, avec ses petits strapontins, qui connaîtra un assez grand succès. Reste que la Multipla peut embarquer six personnes mais pas leurs bagages. Heureusement, Fiat propose en option une galerie de toit. Ainsi lestée, on n’ose imaginer quelle pouvait être la tenue de route d’une 600 Multipla… En 1960, la petite Fiat des grandes familles hérite d’un nouveau moulin, un 767 cm3 de 32 ch qui lui permet – pure folie ! – de légèrement dépasser les 100 km/h. Sa carrière prendra fin en 1965 après 240 000 unités produites et diffusées principalement en Italie, et en Espagne sous la marque Seat, alors filiale du groupe italien. La relève sera assurée par la Fiat 850 Familiale. Un petit utilitaire autrement plus spacieux mais qui arrivera comme les carabiniers : au milieu des années 1960, en effet, le baby-boom était déjà presque terminé.
Source : lemonde.fr / Par Jean-Michel Normand
CLUB5A - EPHEMERIDE - AUJOURD'HUI LE 2 NOVEMBRE C'EST LA FETE DE NOS MORTS .......
La fête des morts est un rituel pratiqué dans de nombreuses cultures et religions qui consacre souvent un ou plusieurs jours fériés à la commémoration des défunts.
Le Jour des morts est une fête nationale qui existe et subsiste depuis plus de 3 000 ans. Durant cette période, le culte des morts est mythifié dans l’allégresse.
En France, ce jour est le 2 novembre dans les faits, mais il n'est pas un jour férié, alors que le 1er novembre (jour de la Toussaint) en est un. C'est donc plutôt le 1er novembre que les citoyens consacrent à la visite des tombes de leurs proches, d'où une confusion fréquente entre la Toussaint et la Commémoration des fidèles défunts. Il est courant de fleurir la tombe avec un pot de chrysanthèmes, la fleur la plus achetée ce jour-là.
samedi 1 novembre 2025
CLUB5A - INFO - COMMUNICATION CLUB 5A - LES STATS DU BLOG D'OCTOBRE 2025..MERCI A TOUS POUR VOTRE FIDELITE !
Depuis la création de ce blog qui très modestement a pour mission de nous relier les uns aux autres et d’être un fil conducteur entre nous où chacun doit y trouver du plaisir et revivre les bons moments passés lors de nos « périples» et que ce soit en voitures ou en motos, ce support est le vôtre !
Depuis la création du blog, c'est-à-dire exactement le 27 FÉVRIER 2014, l'historique du nombre de pages vues est en totalité de :
1176468
Lors de ce mois écoulé nous avons constaté que le nombre de pages vues a été de :
10980
Merci à tous pour votre fidélité !
Vous êtes nombreux à le consulter…bravo et restez fidèle !!
N’hésitez pas à laisser des commentaires, pour permettre leurs validations, il faut que ceux-ci soient dans l’esprit de la passion commune qui nous anime..
Bonne route à tous et à bientôt lors des sorties organisées par le club, le Club des 5.A et les organisateurs compte sur votre participation !
Cet article est en partenariat avec tous nos sponsors qui nous soutiennent. Nous les remercions !
CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES - LES AUTOMOBILES CITROËN.....UNE SAGA DE PLUS DE PLUS DE 90 ANS !!
Citroën avait lancé un nouveau spot publicitaire pour célébrer ses 90 ans. Réalisée par Olivier Binet pour l'agence H, la publicité fait intervenir des personnages célèbres ou historiques qui ont marqué l'histoire de Citroën. On retrouve ainsi le Général De Gaulle, les bonnes sœurs de la saga des films "Le Gendarme à Saint Tropez" ou Sébastien Loeb. Tous assaillent un vendeur dans une concession pour récupérer leurs véhicules, de la DS à la 2CV en passant par la C4 WRC.
A l’image de la personnalité de son fondateur, le flamboyant André Citroën, né à Paris en 1878. Benjamin d’une riche famille de cinq e enfants, le futur ingénieur visionnaire porte, en effet, une fêlure d’enfant : le suicide de son père, courtier en diamants néerlandais, alors qu’il n’avait que 6 ans. Edifié par l’ingéniosité des héros de Jules Verne, fasciné par la construction de la Tour Eiffel pendant son adolescence, l’orphelin devenu polytechnicien, découvre lors d’un séjour en Pologne le mécanisme des engrenages à chevrons. Le vingtième siècle vient de débuter et Citroën se lance, une fois ses études terminées, dans l’aventure industrielle en fabriquant des chevrons en acier.
Mais la révélation lui viendra lors d’un voyage aux États-Unis : à la tête d’une petite marque automobile, Mors, qu’il a sauvée de la faillite, il tombe en arrêt devant les chaînes de fabrication d’Henry Ford, à Detroit. Conflit mondial oblige, il mettra d’abord le fordisme au service de la production de millions d’obus, dans une usine construite pour la circonstance, quai de Javel à Paris. A la fin de la guerre, Citroën peut revenir à ses premières amours. Dès 1919, sa première automobile, la Type A, sort des chaînes ultra modernes du quai de Javel. Révolution industrielle, elle marque aussi un tournant commercial : pour la première fois, le client achète un véhicule «complètement équipé et carrossé», comme l’annonce la réclame, et non un simple châssis à faire carrosser chez un artisan. Citroën a importé le «prêt-à-rouler». Expert en communication L’industriel, propulsé dans la jet-set parisienne par le succès immédiat de ses automobiles, comprend très vite la puissance de la communication. En 1921, il fait indiquer, sur des plaques de signalisation routière, la direction du revendeur Citroën le plus proche ! L’année suivante, un avion écrit en lettres de fumée son nom dans le ciel pendant le Salon de l’automobile.
De 1925 à 1934, Citroën sera aussi la seule marque à illuminer Tour Eiffel de son nom. L’homme au monocle veut marquer les esprits, jusque dans l’inconscient : «Je voudrais que les trois premiers mots que prononce un enfant fussent : papa, maman, Citroën», aurait-il dit un jour (1). Entre 1923 et 1933, il vend en tout cas 30.000 modèles réduits, les «Citroënnettes» à pédales. Mais son plus beau coup d’éclat fait surtout rêver les grands : en 1931, il lance, contre l’avis de ses administrateurs, la Croisière jaune, un raid de12.300 kilomètres pour rallier Pékin en passant par l’Himalaya et le désert de Gobi. Pendant dix mois, la progression laborieuse des autochenilles sur les reliefs himalayens ou dans le froid polaire du désert de Gobi va tenir la France en haleine. La Traction de Citroën. - ©Citroën. Mais la marque est rattrapée par les réalités : les ventes fléchissent, les dettes s’accumulent, la crise économique s’annonce…
L’homme, capable de flamber des millions au Casino de Deauville, fascine le public, mais pas les banquiers : en décembre 1934, la société est mise en liquidation judiciaire et reprise par son principal créancier, l’austère auvergnat Michelin. Le «ferblantier de Javel», comme l’appelle la presse satirique, mourra six mois plus tard. Non sans voir laissé en héritage un dernier coup de génie, la Traction Avant, née de la planche à dessin d’un ingénieur débauché in extremis chez Renault en 1933. Popularisée par le «Gang des Tractions», une bande de braqueurs qui sévit à Paris et sur la Côte d’Azur, la Traction (photo ci-dessus) va incarner toute la période précédant la Seconde guerre mondiale, puis la Résistance et la Libération. Traction, 2CV, DS... des modèles emblématiques L’esprit novateur du fondateur continuera d’animer longtemps encore les équipes de Citroën. Après la Traction, c’est la 2CV qui fait son apparition, sans conteste la voiture française la plus populaire du siècle.
Imaginée avant-guerre par l’ingénieur puis PDG du groupe Pierre Boulanger, développée dans le laboratoire secret du Perche - un immense domaine de plus de 11 km entièrement clos de murs - et dévoilée devant le président Vincent Auriol en 1948, sera le véhicule bon marché des pères de famille du baby-boom et des curés de campagne, celui des hippies de 1968 et même celle de James Bond, époque Roger Moore ! Au milieu des années cinquante, un troisième modèle entre dans l’histoire, qui peut prétendre aujourd'hui de statut de véritable mythe : la DS. Voiture des années De Gaulle, elle enregistre 12.000 commandes le jour même de sa présentation au Salon de l’automobile de 1955.
Ses lignes futuristes, signées du génial designer Bertoni, sillonneront les routes de France et d’Europe jusque dans les années 1980. Les années 1960 sont pourtant difficiles pour la marque aux chevrons, qui peine à étoffer son milieu de gamme entre la DS et la 2CV. Au tournant de la décennie 70, le groupe, qui a pris le contrôle de l’Italien Maserati, travaille à un modèle luxueux et sportif, la SM. Mais cette fois, il tombe cette fois à contretemps ne plein choc pétrolier ! Citroën n’en a pas fini non plus avec ses problèmes de gestion et d’endettement : Michelin préfère céder l’affaire au concurrent de toujours, Peugeot. Entre les deux marques, réunies au sein de PSA en 1976, commence une histoire de collaboration… et de rivalités. La BX par exemple, qui signe une renaissance pour Citroën dans les années 1980 - tout le monde a en tête le «J’aime, j’aime, j’aime…» chanté par Julien Clerc – devait devenir une voiture compétition.
Elle devra laisser la place à la Peugeot 205. La marque tente alors de défendre son identité à travers une communication originale, catapultant sa nouvelle «Visa» depuis un sous-marin de la marine nationale, ou de retrouver l’esprit pionnier des débuts pour attaquer, dès 1992, le marché chinois ! Le renouveau des années 2000 Relancée à partir des années 2000, grâce notamment avec ses modèles «Picasso», la marque a pourtant connu un nouveau coup dur en 2014. Cette année-là, le nouveau PDG du groupe PSA, Carlos Tavares a, en effet, décidé d’affranchir le label DS, ressuscité cinq ans plus tôt, du giron de Citroën pour en faire une marque à part entière. Un véritable coup de tonnerre pour les fans!
Pour Tavares, Citroën ne pouvait tout simplement plus faire le grand écart entre voitures populaires et modèles de luxe. Sa vocation dorénavant ? Se concentrer sur les fondamentaux. «Le design et le confort restent nos deux atouts. Nous avons les technologies, que nous modernisons», confirme Linda Jackson. Le nouveau SUV C5 Aircross (photo ci-dessous) est ainsi équipé d’amortisseurs à butées hydrauliques, qui rappellent le moteur flottant des années trente. Une avancée qui, à coup sûr, aurait séduit l’homme au monocle.
Source : Pedro Mendes- capital.fr/
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