mardi 26 mars 2024

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - NOUBLIEZ PAS ......SUR VOS PNEUS IL EXISTE UN TEMOIN D'USURE QU'IL FAUT OBSERVER DE TEMPS A AUTRE !!


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR LA SORTIE AUTOS FANJEAUX DANS LA REGION DE LA MALEPERE DU 10 MARS 2024....


Source : lindependant.fr - J-G - Merci David SARDA pour le suivi de l'info

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES - LES MOTO-B.S.A.......ANGLAISE JUSQU'AU BOUT DES POIGNÉES...

BSA bat tous les records , car la marque remonte à 1689 . C'est la Birmingham Small Arms . 
En 1689 Guillaume II , à la recherche d'armes pour défendre l'Angleterre contre l'offensive Française , décida de s'adresser aux armuriers de Birmingham 

Pendant 150 ans les armuriers de Birmingham fournirent des armes à l'armée Anglaise et fondèrent une société anonyme en 1861 : La Birmingham Small Arms Company Ltd . La société connut des fortunes diverses . En 1878 ses ateliers fermèrent , faute de travail . Le gouvernement passa une commande supplémentaire d'armes ce qui permit aux ateliers de tourner , tandis que l'équipe dirigeante se mettait en quête de nouvelles fabrications . 

En 1880 commença la fabrication de la bicyclette Otto EFC ; un an plus tard , BSA concevait des bicyclettes et surtout des vélocipèdes . La société ne tarda pas à introduire la première bicyclette " sécurité ", avec transmission par chaîne vers la roue arrière .

Blog de club5a : Association Audoise des Amateurs d'Automobiles Anciennes, LA SAGA DES MARQUES - LE COMMENCEMENT DES MOTO-B.S.A....ANGLAISE JUSQU'AU BOUT DES POIGNÉES....A la fin du siècle , BSA avait acquis une bonne réputation de fabricant de cycles et de pièces détachées . Le premier cycle fabriqué entièrement par BSA apparut en 1908 et un an plus tard , BSA lançait sa première moto . De par les relations qu'elle entretenait avec le gouvernement pour la fabrication d'armes , la société BSA était en bonne position pour remporter des marchés dans le domaine de l'équipement de l'armée .

Durant la Première Guerre , la société s'agrandit , employant plus de 20000 ouvriers ; en 1918 les deux groupes ( cycles et motos ) constituèrent la BSA cycles Ltd .

 Désormais ses fabrications n'étaient plus conçues comme les à-côtés d'une fabrication d'armes . Pendant la crise économique des années 20 , environ la moitié du personnel de BSA fut licencié . La vente de motos pourtant se maintint . Étant donné l'importance de la société , BSA fut à même de présenter une importante gamme de modèles , allant des petites 150 cc monocylindres à quatre temps à l'impressionnante bicylindre de 1000 cc . Cette dernière s'établit une réputation de moto avec side-car des plus fiables et fut souvent utilisée comme moto-taxi ou moto de livraison .

Deux slogans publicitaires illustrent le succès de BSA : " une moto sur quatre est une BSA " et " BSA est la gamme la plus complète jamais offerte par une firme ". En 1923 , BSA se lança dans la grande série avec le modèle à réservoir rond de 250 cc . Comme publicité , la société envoya quatre pilotes à l'ascension du mont Snowdon . En 1926 deux BSA firent le tour du monde , parcourant 32 000 km dans 24 pays  différents en 18 mois .

Pendant la Deuxième Guerre mondiale , BSA connut une nouvelle phase d'expansion en fournissant des véhicules de reconnaissance , des mitrailleuses et des motos aux forces Britanniques . La firme était le plus grand fournisseur de motos à l'armée Anglaise avec 126 344 exemplaires entre 1939 et 1945 .
 Il s'agissait pour la plupart de M20 ( 500 cc ) qui n'étaient pas très rapides ( 80 km/h ) mais très solides . Des M20 et M21 de 600 cc furent vendues jusqu'en 1960 . Vers la fin de la guerre , New Hudson , Sunbeam et les cycles Ariel furent repris par BSA qui fit encore l'acquisition de Triumph en 1951 ; BSA devint le plus grand fabricarit Européen de motos . Vers 1955 , en plus de quelques filiales comprenant les cycles BSA , le groupe comptait plus de 30 usines . Les motos BSA étaient utilisées par le Royal Automobile Club , l'Association Automobile , l'armée Britannique et les forces de police du monde entier . La bicylindre de 500 cc A7 et sa grande soeur de 750 cc l'AL0 Golden Flash furent les modèles de la nouvelle génération des bicylindres verticaux ayant le plus de succès ; la mono Gold Star , dans ses versions de 350 et 500 cc , devenait classique , aussi bien pour les pilotes de courses que pour les passionnés de la route .

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En 1967 , BSA remporta le Prix Royal pour l'industrie destiné à récompenser ses exportations de motos BSA et de Triumph , et le reçut également l'année suivante , totalisant 80% des exportations Britanniques de motos .


1971 fut un tournant ; la société fit de lourdes pertes ; un emprunt bancaire fut négocié et on introduisit sur le marché la Fury bicylindre de 350 cc ; mais ce fut l'échec . Le nouveau modèle fut abandonné .

L'année suivante , la société fut réachetée par le groupe NVT . Le dernier modèle BSA , la Rocket Three à trois cylindres de 750 cc fut laissée de côté dans la série des modèles de 1973 .Blog de club5a : Association Audoise des Amateurs d'Automobiles Anciennes, LA SAGA DES MARQUES - LE COMMENCEMENT DES MOTO-B.S.A....ANGLAISE JUSQU'AU BOUT DES POIGNÉES....

Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0 - Source vidéo : production LTD /appeldephare.com

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lundi 25 mars 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - UNE DES MEILLEURS MOTO BMW "R80R BOXER" DES ANNEES 90' .....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - UN VERITABLE TABLEAU DE CHASSE ...MAIS PAS SANS DANGERS !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTOS - L'AUTO TRAIN ...DORMEZ TRANQUILLE !!

Un service auto-train est un service ferroviaire de transport d'automobiles accompagnées permettant au voyageur de transporter son automobile, généralement de nuit et dans le même train. De tels services sont offerts dans divers pays d'Europe ainsi qu'aux États-Unis. 
En France, ce type de service était connu dans le passé sous le nom de « train auto-couchettes » ou TAC. Le service auto-train dessert, à partir de la gare de Paris-Bercy, les gares d'Avignon-Sud, de Marseille-Saint-Charles, de Toulon, de Fréjus-Saint-Raphaël et de Nice-Ville, mais également de Perpignan-Saint-Charles. D'autres dessertes (Biarritz, Bordeaux-Saint-Jean, Briançon, Brive-la-Gaillarde, Lyon-Perrache, Narbonne et Toulouse) ont été supprimées à cette date. 

 Le voyageur emprunte le mode de transport de son choix, tandis que son véhicule (voiture, moto, scooter ou quad) est acheminé par un train composé uniquement de wagons spécialisés. Le voyageur a la possibilité de faire récupérer son véhicule par la personne de son choix à l'arrivée, sous condition que le propriétaire ait fait une procuration. 
le service Auto/Train de SNCF fête ses 60 ans. Ce service permet aux clients de faire voyager leur véhicule de nuit en train. Celui-ci est disponible le lendemain à destination. Chaque année 60 000 véhicules ont voyagé avec Auto/Train. 
Une voiture-lits, appelée aussi wagon-lits, est une voiture de chemin de fer conçue pour transporter des voyageurs couchés dans de vrais lits, comprenant matelas et literie, ainsi qu'un coin-lavabo-toilette (voire une douche) contrairement aux voiture-couchettes, avec un service à bord très attentionné assuré par le « conducteur » des wagons-lits, qui propose du petit-déjeuner à la collation au champagne, servis en cabine. 
Ce type de voiture permet de voyager de nuit et de jour dans des conditions optimales de repos. Elles sont équipées de cabines privées, préservant l'intimité des voyageurs, particulièrement adaptées aux grands voyages. En position « de jour », un canapé ou des fauteuils permettent de se reposer. 

En position « de nuit », les lits, rabattus auparavant contre la cloison, sont préparés par le conducteur des wagons-lits. 
C'est à George Mortimer Pullman que l'ont doit l'apparition des premières voitures-lits en 1863 aux États-Unis. Mais le « wagon-lit » à l'européenne a été conçu par le belge Georges Nagelmackers, fondateur de la fameuse Compagnie des wagons-lits, aujourd'hui française.
Source : SNCF-leparisien.fr-motor-infos-BFMTV


CLUB5A - PHOTO INSOLITE - PAR-CYLINDRE ? OU PROTECTION EN CAS DE CHUTE ?


 

CLUB5A - SILENCE ON TOURNE A CONQUES S/ ORBIEL...

Tournage - Sylvie et Gérard RAYNAUD participaient ce weekend à un court métrage sur le massacre de Baudrigues en 1944 dans le village de Conques sur Orbiel... 
Bientôt visibles sur youtube... à suivre !
 Conques-sur-Orbiel a été témoin ce dimanche du tournage d’une reconstitution historique des événements d’août 1944, ou le fermier Edmond Agnel a été exécuté par les nazis avec le concours de la Milice de Pétain pour avoir refusé de donner le maquis de Trassanel.
Ce tournage réalisé par Louis Pedrola et Gilles Matheron sera monté pour le 80e anniversaire de la Libération. 
La traction a été prêtée par Gérard Raynaud pour figurer l’arrivée de la Gestapo dans le village.
Source : LaVieàCarcassonne-Merci Sylvie Raynaud et Corinne Cilia pour le partage de l'info...

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES AUTOMOBILES - BOND CREATEUR DE MICRO-CARS......

 

Bond, créateur d’atypiques micro-cars...Bond… Elles s’appellent Bond… mais n’ont aucun lien avec leur homonyme, un célèbre agent secret britannique. Leur seul point en commun sont leurs origines : Bond est, en effet, une marque automobile d’outre-manche. L’aventure commence avec l’ingénieur Lawrence Bond qui imagina l’une des plus célèbres micro-cars anglaises ! S’associant avec Sharp’s Commercials Ltd, une société experte dans le reconditionnement des voitures utilisées par l’armée, il connaîtra un vif succès qui inscrira son nom dans la légende.
 Rachetant ses droits, Shap’s Commercials Ltd se lancera alors comme constructeur automobile, jusqu’à devenir en 1964 Bond Cars Limited, produisant quelques unes des plus étranges voitures anglaises ! La Bond Minicar, la « voiture la plus économique du monde » Pour comprendre l’histoire de la marque automobile Bond, il faut tout d’abord s’intéresser à Lawrence « Lawrie » Bond (1907-1974). Né à Preston, dans le Lancashire, Lawrence Bond travailla en tant qu’ingénieur dans plusieurs sociétés dont l’entreprise d’aéronautique Blackburn Aircraft Company durant la Seconde Guerre mondiale. Après la guerre, il créa une petite entreprise d’ingénierie à Blackpool et fabriqua des composants d’avions et de véhicules pour le gouvernement. En parallèle, il connut un succès modeste en tant que pilote de course amateur et concepteur de voitures de course, puisant son inspiration dans l’industrie aéronautique. 
En 1948, Lawrence Bond imagina une voiture à trois roues qui répondait au besoin de se déplacer économiquement et efficacement sur des petits trajets dans un rayon de 60km environ. Capable de monter une pente à 25% avec conducteur et passager, ce concept-car était équipé d’un bloc-moteur Villiers à deux temps de 125 cm3, accouplé à une boîte de vitesse 3 rapports. Il pouvait aller jusqu’à 50 km/h pour un poids de 129kg. Le projet connut un vif succès auprès de la presse, dévoilant ainsi un intérêt commercial. Engagée par le Ministère de l’Approvisionnement, Sharp’s Commercials Ltd voit, de son côté, son contrat avec le gouvernement arriver à terme. Lawrence Bond approcha alors le Lieutenant-Colonel Charles Reginald ‘Reg’ Gray, Directeur de la Sharp’s Commercials Ltd, pour louer son usine. Ce dernier refusa, proposant à la place de construire eux-mêmes la voiture. 
La Bond Microcar venait de voir le jour ! Tout comme le prototype, la Bond Microcar était dotée d’un châssis et d’une carrosserie en aluminium, à mi-chemin du monocoque et du cadre rigide. Equipée de trois roues, deux à l’arrière et une seule à l’avant, la voiture a été soigneusement étudiée pour éviter de se retourner à chaque virage. En effet, le conducteur et ses deux passagers sont assis sur une banquette au-dessus de l’essieu arrière, face à un habitacle épuré et austère. Sous la banquette, se trouve un petit coffre. 
Côté mécanique, la voiture de série garde le même moteur que le prototype, soit un mono-cylindre refroidi par air de 6ch, toujours accouplé à une boîte manuelle 3 rapports. La transmission se fait uniquement sur la roue avant et les freins à tambours ne sont présents que sur les roues arrières. Particularité : la Bond Microcar n’a pas de marche arrière à cause de son moteur de moto ! 
Mais que nenni, ce qui fait la force de cette micro-car, c’est sa consommation ! Pour prouver qu’elle était la « voiture la plus économique du monde », elle rallia Preston à Londres à une vitesse moyenne de 36,7 km/h, consommant que 2,9L/100 ! En décembre 1949, la Bond Microcar Deluxe voit le jour, équipée d’une roue de secours, d’un seul rétroviseur et d’un essuie-glace électrique. Avec cette version, elle se voit également équipée d’un dispositif d’inversion mécanique (en option) afin de pouvoir enfin la faire reculer. Comme attendu, la belle connut un succès instantané et s’écoulera en 28 mois de carrière à près de 1 973 unités ! Il faut dire que, sa conformation aidant, elle était globalement moins taxée que le reste du parc automobile britannique grâce à ses trois roues. 
De plus, un simple permis moto était suffisant pour la conduire ! Un succès que ne verra pas Lawrence Bond puisqu’il quitte le projet en cours de route, vendant ses droits de conception et de fabrication à Sharp’s Commercials Ltd. En avril 1951, la Bond Microcar évolue, passant de la Bond Mark A à la Bond Mark B. Cette deuxième série voit sa technique évoluer : l’essieu arrière reçoit une nouvelle suspension, la capacité du coffre est augmentée, la vitre en plexiglas est remplacée par un pare-brise Triplex, la mécanique est légèrement boostée en termes de cylindrée (197cm3) et de puissance (10ch). Toutefois, ces évolutions techniques ne sont pas accompagnées par un restylage. De ce fait, les deux générations se ressemblent énormément. La Bond Mark B ne sera commercialisée qu’un an et demi, à 1 414 unités dont 240 minitrucks et 84 minivans. 
Alors que Sharp’s Commercials Ltd vient à peine de lancer la Bond Mark B, le constructeur britannique pense déjà à l’avenir avec la Bond Mark C. Outre un châssis monocoque, cette nouvelle génération se voit offrir une ligne générale inédite, à la fois esthétique et fonctionnelle. Elle arbore alors des fausses ailes avant, une porte côté passager et une cantonnière sous sa calandre ovale. Bref, c’est une Bond Microcar complètement relookée qui est présentée au Earl’s Court Cycle and Motor Cycle Show en 1951. Ce nouveau style est bien accueilli et déjà les premiers exemplaires sont commandés ! Cette 3ème génération voit aussi sa gamme s’élargir avec le break, le van et le cabriolet. En janvier 1953, certains exemplaires se voient équipés d’ailes arrière en fibre de verre, avant que cela devienne standard en décembre 1954. En juin 1953, son moteur évolue également.
 Elle connaîtra d’autres changements mineurs tout au long de sa longue carrière qui dura 3 ans et demi. Elle sera écoulée à 6 593 unités écoulées avant d’être remplacée par la Bond Mark D. En mai 1956, arrive la Bond Mark D. Rien de révolutionnaire au niveau de l’esthétique, puisqu’elle est très similaire à sa devancière. C’est du côté mécanique que la voiture évolue : le moteur est amélioré et monte à 9ch, lui permettant une vitesse de pointe de 82 km/h. Mais surtout, la boîte de vitesse se dote d’une marche arrière ! L’arrivée de la Bond Mark E en décembre 1957 écoute sa carrière, puis que cette 4ème génération s’arrête au bout de deux ans, en 1958, après 3 760 exemplaires. L’arrivée de la Bond Mark E dépoussière le concept de la Bond Microcar ! En effet, cette cinquième génération se veut radicalement différentes dans la « ligne de voitures modernes ».
 Dotée d’un châssis semi-monocoque, elle voit son empattement s’allonger de 30cm. Elle possède la particularité d’être constituée de deux cadres en acier : le premier supporte le planché, la suspension arrière et les portes ; le second, qualifié de « semi-flottant » supporte le bloc-moteur et la direction. Hélas, ces changements structurels et dimensionnels affecte la stabilité de la voiture, devenant plus facilement renversable. Côté équipement, la Bond Mk E se voit dotée de phares plus grands, de clignotants, de fenêtres coulissantes, de deux essuie-glaces, d’un réservoir plus important, d’un dossier divisé en deux pouvant s’ajuster pour la partie conducteur… La forme du tableau de bord est modifiée. La mécanique évolue : elle se voit équipée d’un bloc-moteur Villiers 9E/4S accouplé à une boîte 4 rapports, lui permettant d’aller jusqu’à 80 km/h.
 Maître en communication, Sharp’s Commercials Ltd fait en sorte que ce soit trois Bond Mark E qui inaugurent la première autoroute du Royaume-Uni, le 5 décembre 1958, sous le regard de la presse ! Une manière parfaite pour préparer la suite, car la Bond Mark E laissa place à la Bond Mark F, en novembre 1958. Si le design ne change guère, décliné en Tourer, Saloon Coupé et 4-Seater Family Saloon, cette nouvelle génération voit sa motorisation évoluée avec un bloc-moteur Villiers 31A de 12ch pour une pointe de vitesse maximum de 89 km/h. Le fourgon est introduit en mars 1960. Le modèle sera produit à 8 595 exemplaires jusqu’en 1961, avant d’être remplacé par la Bond Mark G. L’ultime série, la Bond Mark G, sort en août 1961 avec un dernier lifting avec un nouveau toit en fibre de verre, de nouvelles portes, un nouveau pare-brise plus incliné et de plus grandes roues. 
L’avancée de la cabine permet d’y installer une banquette arrière pouvant accueillir deux adultes à l’arrière tandis que les sièges avant réglables en position, peut être rabattu beaucoup plus vers l’avant que sur les modèles précédents pour permettre un accès plus facile à l’arrière. A noter que les portes quelques petites demandent quelques dons de contorsionniste pour y avoir accès. Sous le capot, nous retrouvons un bloc-moteur Villiers Mk 35A de 12ch, spécialement développé pour ce modèle. Le freinage passe par un système semi-hydraulique agissant sur les trois roues. En 1962, la gamme inclue le Ranger et l’Estate. Hélas, le changement de réglementation et de taxes réduit la différence de tarifs avec les autres micros-cars à quatre roues. Le constructeur Bond réagit et propose, en mars 1963, la possibilité de l’équiper d’un moteur de 15ch, lui permettant une pointe de vitesse à 97 km/h et une consommation de 4,9L/100 km. 
Pour endiguer la baisse des ventes, il sorte, en avril 1964, la berline avec son coffre ouvrant, puis en octobre 1964, une version économique 2 places dénommée Bond Mark G Tourer. La Bond Microcar Mark G sera produite jusqu’en novembre 1966, à 4 298 exemplaires. Au total, la marque Bond a vendu à plus de 24 880 exemplaires en 17 ans de carrière. 
Source : absolutelycars.fr/-idriveaclassic

dimanche 24 mars 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - MAIS OU EST PASSE MARLENE ET FUFU ?


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - MON MEUBLE TELE ME FAIT DES APPELS DE PHARE ...EST-CE NORMAL DOCTEUR ??


 

LA SAGA DES MARQUES MOTO - L'HISTOIRE DE MV AGUSTA MOTOS...DEUXIEME PARTIE...



Dans les années 1970, la marque domine la compétition motocycliste 350 cm³ et 500 cm³ avec son pilote vedette Giacomo Agostini. Deux courants s'opposent alors au sein de la direction de l'usine. 
Le premier veut consacrer une grosse partie du budget à la compétition, au risque de mettre l'usine en faillite. L'autre entend réduire l'engagement en course pour retrouver une progression significative du chiffre d'affaires. Le compromis se solda par une baisse de la production des modèles de course et par l'amaigrissement de la gamme routière.
Les années Ago
Une des parties les plus remarquables dans la légende de MV Agusta a commencé dans les années '60. C'était la période où Giacomo Agostini roulait d'un titre mondial à l'autre. Au total  ‘Ago’ a remporté 15 titres de Champion du Monde, dont 13 au guidon d'une MV Agusta. Du coup le nom d'Agostini et celui de MV Agusta étaient des légendes.
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Agostini et MV Agusta ont cependant travaillé dûr pour remporter ces succès sportifs. Les duels d' Agostini avec ses rivaux (et parfois co-équipiers) comme Mike ‘The Bike’ Hailwood, Phil Read et Jarno Saarinen étaient inoubliables et appartiennent à la mémoire collective du monde du sport motorisé. Agostini roulait dans la catégorie 350 aussi bien que la catégorie 500 cc et il a gagné les deux en '68, '69, ’70, 71 et ’72. ‘Ago’ était le pilote qui a remporté le plus de victoires dans l'histoire de MV; il n'était cependant pas le seul grand pilote. Mike Hailwood (de ’62 à ’65) et Read (’73 et ’74) ont eux aussi fait le nécessaire pour que MV ait remporté pendant 13 années consécutives le titre de champion du monde de la catégorie reine. Aucune marque n'a fait mieux.


Des hauts et des bas
Après la mort du comte Domenico Agusta en 1972, la société a connu des difficultés économiques. 4 ans après, Agostini, qui avait rejoint MV après un passage chez Yamaha, a gagné son dernier Grand Prix au même endroit où il avait remporté sa première victoire: le Nurburgring. Le cercle était complet. Malheureusement c'était également le cas pour MV Agusta, car à cause de problèmes financiers la marque est tombée dans les mains d'un groupe financier qui a décidé d'arrêter la production de motos. Fin 1977 le stand réservé pour MV Agusta au Salon de Milan restait vide.
Bien que MV Agusta n'existait plus, le nom et les légendes restaient et l'espoir de pouvoir prendre un nouveau départ y était toujours. Et c'est ce qui s'est passé. Sous l'impulsion de Claudio Castiglioni une nouvelle vie a été insufflée à la marque en 1992. Tous les amateurs du sport motorisé étaient contents en apprenant la nouvelle que le groupe Castiglioni avait acheté le nom de la marque MV Agusta et que le groupe MV Agusta signifiait l'espoir d'une nouvelle production des fameuses motos.
Cinq ans plus tard, le 16 septembre 1996 Giacomo Agostini lui-même a levé le rideau au Salon de Milan pour présenter au grand public la nouvelle MV Agusta F4. Le monde était une fois de plus stupéfait. 
Grâce à son design unique la F4 est certainement une des plus belles motos jamais construites. Mais l'extérieur n'était pas tout. Puisque aucun constructeur européen construisait des moto quatre cylindres, Castiglioni et ses collaborateurs avaient le choix: ou bien ils achetaient un bloc japonais pour la F4, ou bien ils en fabriquaient un eux-mêmes. Ils ont choisi pour la deuxième option.


Avec la collaboration de Ferrari (d'où le F dans le nom du type) un moteur quatre cylindres a été développé avec – à nouveau – des idées techniques très avancées. Une boîte de vitesse démontable p.e. qu'ils sont allés chercher directement dans le monde de la vitesse. La F4 avait une grande avance sur ses contemporaines et son design était vraiment unique. Le grand maître Massimo Tamburini a dessiné la forme de la moto et il lui a donné un design intemporel. Jusqu'à présent elle est toujours utilisée pour tous les descendants de la F4 originale.


Entretemps la F4 n'est plus une 750, mais elle est disponible en 1000 cc aussi bien qu'en version 1078 cc. Dans la gamme MV vous trouverez également depuis quelque temps déjà une moto nue: la Brutale. Celle-ci est également actionnée par le fameux bloc quatre en ligne et est disponible en plusieurs cylindrées. Aussi bien la Brutale que la F4 sont des motos très réussies. L'année dernière la MV Agusta F4 312R a gagné la prestigieuse compétition Master Bike. 
C'est un test, une comparaison entre toutes le motos de sport,  effectuée par 12 magazines internationaux, renommés. La MV Agusta F4 312 R a gagné ce test difficile et représentatif ce qui prouve qu'aujourd'hui MV réussit encore toujours à combiner la perfection du design avec des performances inégalées. Et ce n'est pas fini. De nouvelles possibilités se présentent pour plus de modèles et pour continuer la passion que les MV's respirent. 
Source : texte : mvagusta.nl / vidéo : -Johann Schröpfer

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - POUR NE PAS SE DEPLACER A CHAQUE CHANGEMENT DE CLES !!


 

CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - Il y a quelques temps la DS a fêté ses 60 ans !!

Les 60 ans de la DS!!
La DS reste populaire et concurrentielle durant toute sa carrière, le plus haut niveau de production est atteint en 1970. À la fin de sa vie, certains aspects comme l'habitacle assez étroit ou le levier de vitesse au tableau de bord commencent néanmoins à paraître vieillots. Finalement, après vingt ans de production, durant lesquels plus d'un million trois cent mille DS sortent des chaînes de production, du break au cabriolet, dont 493 724 breaks DS et 1 365 cabriolets, elle est remplacée par la Citroën CX au milieu des années 1970. 
C’est dans le cadre de la « DS WEEK », qui célèbre à la fois les 60 ans de la Citroën DS ...
 
La DS est l'un des symboles de la France des années 1960 et 1970, de la période des « Trente Glorieuses » connaissant le plein emploi dans l'industrie et le bâtiment.


La DS reste très prisée jusqu'au milieu des années 1980. Elle passe ensuite, comme le titrait un article des années 1990, « du Gotha au ghetto », avant de retrouver une belle cote d'amour auprès des collectionneurs à l'aube des années 2000. La valeur la plus élevée jusqu'ici enregistrée pour une DS est de 344 850 euros pour une DS 23 IE boîte de vitesses mécanique cabriolet (peinture extérieure blanc Meije, intérieur cuir noir, modèle restauré) d'Henri Chapron, vendue en France à Rétromobile par Bonhams en février 2009. 
Le précédent record pour une DS était de 176 250 euros, toujours pour une DS 23 IE cabriolet (peinture argentée, cuir rouge, seulement 100 000 km) d'Henri Chapron, vendue à Rétromobile chez Christie en février 2006.  Ces voitures carrossées par Chapron atteignent des cotes élevées en raison de leur rareté, mais les DS « courantes » s'échangent à des prix très inférieurs. 
Le marché de l'occasion offre des voitures dans tous les états imaginables : de la belle DS totalement rénovée, traitée contre la corrosion, jusqu'à la quasi-épave, en passant par la voiture « dans son jus », voire « sortie de grange », c'est-à-dire n'ayant plus roulé depuis longtemps. Le 9 octobre 2005, lors du cinquantième anniversaire de son lancement, un convoi de 1 600 DS venues de toute l'Europe a circulé dans Paris. De 2005 à 2008, le Français Manuel Boileau fait un voyage autour du monde dans une ambulance DS de 1971. C'est un voyage de 80 000 km à travers 38 pays. Alors dans la jungle laotienne, il découvre le triste DS Prestige qui appartenait au dernier Roi du Laos. La voiture a été restaurée. 
  Source : P.O.A.Découvrez Petites Observations Automobile/auto-moto.com