mercredi 17 septembre 2025

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - GÉO HAM - UN ARTISTE ILLUSTRATEUR QUI A FAIT VIVRE SON EPOQUE..BRAVO L'ARTISTE..

Ses premières couvertures
Son plus grand plaisir était toujours de tracer les lignes des automobiles. C'est dans cet-te activité qu'il commença à se faire une réputation. Depuis le décès d'Ernest Montaut, les artistes capables de faire l'apologie de la vitesse et des héros étaient rares. Géo Ham était de plus en plus sollicité. La demande était forte, avec le développement de titres comme L'Auto, La Vie Aérienne, L'Air, Automobilia, Omnia, Elite Française ... 
A 21 ans, il signait sa première couverture pour Omnia, le luxueux magazine automobile de l'époque, sous son nouveau pseudonyme, Géo Ham.
A Paris, il retrouvait son ami Jean Adrien Mercier qui habitait près de chez lui. Celui ci continuait à le guider dans la faune parisienne, et l'aidait à défendre ses intérêts (droit d'auteur ...). Mercier apportait aussi à Géo Ham un appui technique et lui apprenait à parfaire son travail.
Le style Géo Ham
Géo Ham a baigné tout jeune dans la photographie. Il était donc familiarisé avec la technique des appareils, avec les prises de vues et les cadrages. Son habileté consistait à immortaliser une scène par une photo, puis à la reproduire succinctement sous forme d'un croquis, qu'il terminait et peaufinait une fois rentré dans son atelier parisien. 
Géo Ham se trouvait à la croisée de plusieurs tendances. L'art nouveau et ses arabesques de la Belle Epoque (fin 19ème, début 20ème) étaient désormais d'un autre âge. D'autres tendances voyaient le jour. Le cubisme favorisait les formes géométriques, le fauvisme était caractérisé par la nouveauté de ses recherches chromatiques, le futurisme exaltait le monde moderne, en particulier la civilisation urbaine, les machines et la vitesse. C'est de ces différents mouvements, associés au Deutscher Werkbund et au style de l'Ecole de Chicago qu'allait naître au début des années 20 le style art déco, qui tenait son nom de la grande Exposition des Arts Décoratifs qui eut lieu à Paris en 1925.
L'art Déco se définissait par l'utilisation de lignes droites, de surfaces planes, de volumes simples et structurés. Dans le monde de la publicité automobile, René Vincent fut le premier à s'inspirer des lignes simplifiées du style Art Déco. Géo Ham le suivit dans ce nouveau courant. Petit à petit, le style de Géo Ham s'affirmait. Il prenait ses distances par rapport à ses aînés Montaut et Vincent. En quelques années, il était devenu un illustrateur incontournable de la scène parisienne.
L'Illustration
A partir de 1928, l'artiste collabora de manière permanente avec l'hebdomadaire L'Illustration . Pour ce dernier, il réalisa des très belles pages de couvertures pour l'édition spéciale " Automobile et Tourisme " éditée tous les ans en octobre lors du salon de l'Automobile. Pour ce numéro, il rédigeait aussi des articles de fond qu'il illustrait. Il fit le même type de travail entre 1930 et 1941, mais une fois tous les deux ans, pour l'édition spéciale de L'Illustration consacrée au Salon de l'Aéronautique.
Les grandes marques se disputaient les talents de Géo Ham. Il signait ainsi de nombreux catalogues et publicités de presse pour Delahaye, Amilcar, Hispano Suiza, Bugatti, Talbot, Amilcar, Chenard & Walker ... Géo Ham concevait aussi des réclames pour des marques d'accessoires automobiles comme Michelin, Dunlop, Shell, Bosch, etc ... Ses affai-res étaient prospères. A 27 ans, il s'offrait une Bugatti Type 40 pour ses déplacements personnels, ou pour rejoindre les circuits.
L'automobile et la moto
Géo Ham connaissait la course automobile de l'intérieur, pour avoir participé à différentes compétitions, et démontrait ainsi si cela s'avérait encore nécessaire que sa passion était bien réelle. En 1932, il prenait part au Rallye de Monte Carlo. Sur cette compétition, il fut le navigateur de pilotes chevronnés jusque dans les années cinquante. En 1934, il pilotait une Derby lors de la mythique épreuve des 24 Heures du Mans aux côtés de l'ancien boxeur Louis Villeneuve.
Le monde de la moto ne le laissait pas indifférent, bien au contraire. On lui doit plusieurs couvertures pour Moto Revue. Là aussi, il s'imprégnait de l'ambiance des courses, allait à la rencontre des pilotes, sympathisait avec eux. A de nombreuses reprises, il travailla pour le Moto Club de France. Il savait dans ses œuvres reproduire l'art du pilotage, mais aussi toutes les facettes d'une épreuve, qu'elle soit de vitesse ou d'endurance. On devinait sur ses compositions tous les détails qu'aucun autre n'aurait relevé. Aucun écrou de faisait défaut ! Comme Ernest Montaut au début du siècle,  il savait par l'omission ou l'accentuation de détails simuler la vitesse des automobiles.

Source :  leroux.andree.free.fr 

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mardi 16 septembre 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - PHOTO ENTRE AMIS A QUELQUES MINUTES AVANT LE DEPART....


CLUB5A - PHOTO INSOLITE - CAMIONETTE PUBLICITAIRE TRES EXPLICITE !


 

CLUB5A - SPORT AUTO - A-t-on vraiment le droit de conduire une Formule 1 sur les routes françaises ? Oui à quelques conditions...

 

Ce dimanche 7 septembre, les autorités tchèques ont mis fin à une traque de plusieurs années. Un homme de 51 ans circulait depuis six ans sur l’autoroute D4 au volant d’une Ferrari Dallara GPF1 de 2006, un prototype rarissime dont seuls deux exemplaires existeraient, selon les médias locaux. La monoplace, dépourvue de plaques d’immatriculation et de clignotants, équipée de pneus lisses, atteignait plus de 200 km/h sur l’autoroute. 
Les images capturées sur les réseaux sociaux à chaque occurrence, faisaient allègrement le buzz. Au point que le quinquagénaire gagne son surnom : le pilote fantôme. Bref, l’arrestation spectaculaire qui a mobilisé pas moins d’une quinzaine de voitures ainsi qu’un hélicoptère, indique le journal tchèque Blesk, relance la question : peut-on légalement conduire une Formule 1 sur les routes françaises ? Des homologations indispensables Considérant que la Formule 1 est en droit français une monoplace, pour qu’elle puisse légalement rouler sur les routes françaises, elle doit subir une procédure d’homologation drastique auprès de l’UTAC (Union Technique de l’Automobile, du Motocycle et du Cycle) et de la DREAL (Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement). La liste des modifications requises par rapport à un véritable modèle de course est conséquente. La monoplace doit être équipée d’un éclairage complet conforme au Code de la route : feux de croisement et de route, feux de position avant et arrière, clignotants, feux stop, signal de détresse et éclairage de plaque d’immatriculation. 
S’ajoutent les équipements de sécurité indispensables : frein à main, rétroviseurs aux normes françaises, garde-boue, échappement réglementaire... Certains éléments aérodynamiques jugés dangereux doivent être supprimés ou modifiés. S’il est donc impossible de rouler légalement sur les routes françaises avec une véritable Formule 1 : un projet français a démontré la possibilité de rouler avec une monoplace sportive largement remaniée. C’est celui de la Delage D12, développée par Laurent Tapie depuis 2019. Cette Hypercar revendique être «la voiture homologuée pour la route la plus proche jamais construite d’une Formule 1». Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - REPONSE AU JEU : DU QUI EST QUI ...MERCI DE VOTRE PARTICIPATION !

 

Merci à tous d'avoir pris part à ce jeu et félicitations à notre vainqueur : Sylvie RAYNAUD 
 C'est elle qui a répondu le plus rapidement et a deviné qui était derrière cette image. 
Bien joué ! 
Toutefois, il reste encore des questions à résoudre avant la prochaine assemblée générale. 
Nous vous remercions tous d'avoir été si nombreux à jouer... 
 Restez branchés, car le 15 Octobre, une autre énigme sera publiée sur notre blog et notre page Facebook. 
Restez connectés !

CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA VOITURE SOCEMA-GREGOIRE ...LA VOITURE EXPÉRIMENTALE A TURBINE !!

Elle fut la première automobile française à turbine, la SOCEMA Grégoire était à l’origine une voiture expérimentale conçue pour battre le record du monde de vitesse d’une voiture à turbine. 
Mais la concurrence fut telle que la voiture fut technologiquement dépassée avant de faire son premier tour de roue. Néanmoins, de part ses formes futuristes à l’époque, cette voiture fut remarquée lors de sa présentation au Salon de l’automobile 1952. Retour sur ce prototype méconnu. Au salon de l’automobile de Paris de 1952, la SOCEMA-Grégoire fait partie des voitures ayant fait sensations, car celle-ci proposait une carrosserie en aluminium aux traits futuristes, mais surtout, un moteur à turbine, une première sur une voiture française, un événement souligné par la presse automobile.
 Pour expliquer le bien fondé de cette voiture, il faut se remettre dans le contexte de l’époque : l’Europe, et le monde, sortent tout juste de la seconde guerre mondiale et la reconstruction commence à effacer les affres de la guerre, les grands chantiers sortent de terre, l’industrie repart de plus belle et tout les secteurs commencent à innover. Des nouveaux produits, des nouveaux matériaux, de nouvelles techniques apparaissent. Durant cette période, l’aéronautique française commence à troquer les moteurs à pistons face aux turboréacteurs et turbopropulseurs crées par SOCEMA (Société de Construction et d’équipement mécanique pour l’aviation). 
Naît alors une nouvelle industrie, et déjà la SOCEMA recherche de nouvelles débouchés pour ses produits. S’inspirant de ce qu’il se fait outre Manche avec la Rover Whizzer, laquelle ayant atteint 138km/h en 1950, c’est vers l’automobile que la société française va s’intéresser. Et pour montrer son sérieux, la firme française veut aller ravir le record du monde de vitesse pour une voiture à turbine. 
 Dans cette optique, les ingénieurs de la société conçoivent une petite turbine pesant 130kg et développant 100Cv, baptisée « TGV 1 Cema Turbo » , qui se compose de trois éléments : un turbocompresseur avec une turbine haute pression (45.0000Trs/min) qui entraine un compresseur centrifuge, une turbine motrice basse pression tournant moitié moins vite que la dernière, et d’un réducteur.
 En revanche, pour la réalisation de l’automobile, la SOCEMA n’ayant aucune compétence en la matière, elle se tourne vers l’ingénieur Jean-Albert Grégoire dont la réputation n‘était plus à faire, puisque ayant déjà travaillé pour le compte de constructeurs tels Amilcar, Hotchkiss, Panhard, et ayant contribué aux études de la Traction avant, de la carrosserie en aluminium … Pour ce projet, Grégoire reprend la base d’une Hotchkiss-Grégoire, notamment sa carcasse composée d’Alpax (un alliage d’aluminium et de silicium), matériaux qu’il avait utilisé sur l’Amilcar Compound.
 Autre reprise, la suspension à quatre roues indépendantes à flexibilité variable. Lors de la conception de l’auto, plusieurs problèmes se posèrent, notamment le fait qu’une turbine à gaz n’était pas compatible avec une traction avant. La turbine est donc placé en porte à faux avant, et la transmission est faite par une boite électromagnétique Cotal. Cependant, un moteur turbine n’avait pas de frein moteur, ainsi, un ralentisseur Telma est intégré à la transmission, juste devant le différentiel, et se met en action dès lors que le conducteur, ou plutôt pilote lève le pied, ce qui permet de seconder les freins à tambours. A noter que la voiture était équipée de deux batteries 12 volts nécessaires pour lancer la turbine ! 
 Mais là ou Grégoire a œuvré, c’est surtout sur la carrosserie, la ligne de ce coupé, toute en rondeur, est extrêmement travaillé sur le plan aérodynamique, puisque lors des premiers essais en soufflerie de la maquette, le Cx de la voiture affiche un fabuleux 0.19 ! Une fois ces tests validés, la carrosserie part en construction dans les ateliers Hotchkiss et sera faite en aluminium. La ligne de la voiture n’en était pas moins désirable, un aspect futuriste certes, mais avec les codes stylistiques des années 1950, preuve en est des passage de roues arrière masqués, des optiques se logeant dans des trappes, une face avant avec une calandre rappelant la Panhard Dyna, laquelle il faut le rappeler, fut dessinée par … Grégoire !
 Et la voiture est montée sur des pneus Dunlop Racing à flancs blancs et arbore une teinte bleue métallisée. Bien évidement, en avance sur son temps, la voiture arrive un peu trop tôt vis-à-vis de quelques techniques comme le vitrage, la lunette arrière est divisée trois partie car aucun fabriquant ne savait encore faire un verre avec un arrondi suffisant. Malheureusement, le projet fut stoppé par un énorme coup de massue, puisque en Juin 1952, Rover bat son propre record avec 244km/h ! Hors, la SOCEMA-Grégoire, prévue pour 200km/h, était déjà dépassée sans que le moindre tour de roue ne soit effectué ! 
La SOCEMA avait la possibilité d’améliorer sa turbine, mais le rendement de la TGV 1 Cema Turbo était insuffisant et demandait une mise au point coûteuse, ce qui décida la marque d’abandonner son projet. 
Cependant, comme la voiture était déjà construite, la SOCEMA décida de « rentabiliser » ce projet en le présentant au salon de l’automobile de Paris à des fins publicitaires. Et aussitôt les portes du salon de paris refermée, le modèle est rapidement retourné dans l’ombre, tout comme l’aventure automobile de la SOCEMA. 
Source : lautomobileancienne.com-HSG Automotive

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - CAMILLE ET GILLES UN EQUIPAGE EN OSMOSE ....


 

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lundi 15 septembre 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - PETITE HALTE POUR ATTENDRE LES RETARDATAIRES ....

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - C'EST UNE BONNE IDEE ...MAIS JE NE SUIS PAS CERTAIN QU'ELLE FERA CONSENSUS AU SEIN DE MON COUPLE ...

CLUB5A – 15/09 - PARTICIPEZ AU JEU DU "QUI EST QUI" - QUELLE EST LA PERSONNE DERRIERE CETTE IMAGE ?

 

L’intelligence artificielle utilise des techniques pour imiter le fonctionnement du cerveau. Tandis que l’IA occupe une place croissante dans nos vies, elle ouvre aujourd’hui autant de possibilités, par exemple transformer une photo… 
Voici un nouveau jeu où vous devrez deviner de quelle personne il s’agit. 
Cette personne, vous la connaissez, car elle participe à nos sorties et fait partie du club ou en est un sympathisant. Une devinette vous sera proposée tous les mois et vous avez quelques jours pour y répondre…. 
 Le premier qui devine ce personnage aura gagné et accumulera un nombre de points et sera peut-être le gagnant. 
 Nous attendons vos réponses soit à travers le blog, dans : laisser un commentaire en bas du menu du blog clubdes5a.blogspot.com dans le formulaire de contact ou sur facebook.com/club5des5A/ La personne qui aura le plus de réponses exactes aura gagnée et sera récompensée à la prochaine A-G. 
 Rendez-vous le 15 Octobre pour une nouvelle énigme. 
 À vous de jouer !

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dimanche 14 septembre 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - BONNETS OBLIGATOIRES POUR CETTE SORTIE HIVERNALE....


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - MOTARDS ATTENTION ...MEME SI VOUS CIRCULEZ EN CHOPPER IL FAUT MARQUER LE STOP SUIVANT LES REGLES DU CODE DE LA ROUTE !


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LA MOTO ASSORTIE A LA VOITURE ...C'EST PEUT ETRE CELA LE SOUCI DU DETAIL ...


 

CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - BMW E21 : la compacte qui fait le lien entre générations...

 

Nous sommes au milieu des années 70. L’Europe traverse une crise pétrolière, le design automobile se simplifie et se tend, la technologie se rationnalise. Dans ce contexte, BMW décide de réinventer sa compacte sportive et lance la BMW E21, en 1975. Ainsi nait celle également connue sous le nom de Série 3, un modèle capable de séduire les puristes et d’attirer une nouvelle génération. La BMW E21 / Série 3 n’est pas juste une voiture. Elle représente aujourd’hui la passerelle entre l’univers oldtimer, élégant et classique, et l’ère des youngtimers, sportifs, accessibles et modernes. On retrouve dans son ADN le raffinement des BMW des années 60 (comme la 2002), mais avec une dynamique, une agressivité et une praticité qui préfigurent les icônes des années 80. La genèse de la BMW E21 BMW ne part pas d’une feuille blanche. La E21 est un concentré de leçons tirées de la BMW 02 Series (1966‑1977), elle-même héritière des BMW 1500/1600 Neue Klasse. 
Mais cette fois, la marque vise le marché international, élargit les variantes et soigne le design extérieur. Le design de la BMW E21 porte la signature du célèbre designer français Paul Bracq, qui a dirigé le design de BMW de 1970 à 1974. Lancement : 1975 Carrosserie : coupé deux portes seulement à l’origine (la version quatre portes arrivera avec la E30), lignes tendues mais élégantes, vitres plongeantes, silhouette compacte et sportive. Dimensions : longueur 4,31 m, largeur 1,61 m, hauteur 1,39 m – parfait équilibre entre présence sur route et agilité urbaine. L’E21 porte en elle l’ADN BMW : propulsion arrière, moteurs 4 ou 6 cylindres en ligne, équilibre parfait, mais en format compact. Elle devient rapidement une sportive civilisée, capable de séduire le jeune cadre dynamique mais aussi l’amateur nostalgique des 2002. Mais elle n’oublie pas d’apporter quelques innovations bien spécifiques qui contribueront à construire la légende, comme le museau en « nez de requin » ou la planche de bord explicitement tournée vers le conducteur ! 
 Entre 1977 et 1982, la BMW série 3 fut également déclinée en version cabriolet. Mais pour ce faire, BMW a sous-traité avec un partenaire de longue date: le carrossier Baur. Mécanique et fiabilité Ici, BMW fait un pari gagnant. Les E21 sont simples, solides et incroyablement plaisantes à piloter : Moteurs 4 cylindres (1.6, 1.8, 2.0) : fiables, couple suffisant, esprit sportif sans extravagance. 6 cylindres en ligne (2.3, 2.5) : sur les modèles 323i, ils offrent la sportivité qui fera rêver les amateurs, avec le charme sonore unique des BMW. Boîtes manuelles 4/5 rapports, transmissions robustes, direction précise, suspension MacPherson à l’avant : équilibre entre confort et pilotage incisif. Chaque kilomètre parcouru avec une E21 rappelle que la conduite est un dialogue. Pas de gadgets électroniques, juste le moteur, le châssis, les mains sur le volant. Comme pour les oldtimers, mais avec une précision et un tempérament déjà très “youngtimer”. 
 Les versions et points forts de la BMW E21 315 / 316 / 318 / 320 / 320i / 323i / 325e : de la berline au petit 1600 de 75cv au monstre teigneux de 143cv 323i (1977-1983) : la star de la gamme, 6 cylindres 2.3L, moteur nerveux, volant vif, équilibre parfait. 325e (late 70s, “eta”) : moteur à régime bas pour une consommation réduite, preuve que BMW savait combiner efficacité et plaisir. Les amateurs adorent la 323i pour ses performances, la 320i pour son équilibre, et même les modèles 4 cylindres restent recherchés pour leur accessibilité et simplicité mécanique. Anecdotes et culture La E21 a remplacé la 2002, qui était déjà un mythe : sur les circuits amateurs et les rallyes locaux, la E21 s’est rapidement fait une place, remportant des épreuves en Allemagne et en Scandinavie. Les amateurs racontent souvent que la première fois qu’ils ont essayé une 323i, ils ont senti immédiatement la filiation avec les 2002 classiques : direction directe, moteur vivant, sensation d’être en contrôle total. Les modèles importés en Amérique du Nord ont contribué à la légende BMW comme constructeur de sportives abordables mais sérieuses. Pourquoi c’est le pont entre oldtimer et youngtimer 
La BMW E21 est à la croisée des chemins : Elle conserve l’élégance et la mécanique simple des oldtimers : moteurs robustes, propulsions arrière, châssis équilibré. Elle introduit la sportivité et la rigueur du youngtimer : conduite incisive, versions 6 cylindres puissantes, préparation légère et moderne pour les années 80. Aujourd’hui, une BMW E21 bien conservée peut se retrouver en oldtimer pour certains puristes, ou en youngtimer pour ceux qui cherchent une compacte sportive des années 80. C’est cette dualité qui la rend unique : elle a traversé les époques et séduit deux générations de passionnés. Valeur et collection sur le marché Prix actuel : selon état et motorisation : 315/316/318 (4 cylindres) : 10‑15 000 € 320i/323i : 22‑33 000 € 323i préparée concours / rareté : 35‑45 000 € et plus Points de vigilance : corrosion (bas de caisse et passages de roues), joints moteur, trains roulants. Potentiel collection : très bon pour les modèles 6 cylindres, surtout 323i et 325e, car ils symbolisent le passage des oldtimers aux youngtimers. 
Anecdote : beaucoup de 315 ont été exportées vers des marchés plus sensibles aux prix (Espagne, Italie, Scandinavie), ce qui en fait aujourd’hui des exemplaires assez rares et recherchés pour leur authenticité et simplicité mécanique. Si on résumait la BMW E21… 
La BMW E21 n’est pas qu’une compacte des années 70. C’est une légende sur roues, un trait d’union entre deux mondes : la mécanique noble et simple des oldtimers, et la sportivité accessible et moderne des youngtimers. Elle parle autant au collectionneur classique qu’au passionné de voitures des années 80-90. C’est cette passerelle émotionnelle et mécanique qui fait de la E21 une voiture à part, un symbole de continuité dans l’histoire automobile, et surtout, une voiture qu’on ne peut pas oublier une fois qu’on l’a conduite. 
Source : autocollec.com

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR LA SORTIE CAISSES CARREES EDITION 2025 - UNE SORTIE REUSSIE !


 

CLUB5A - VOITURES DE LÉGENDE - LA PEUGEOT 402 ANDREAU DE 1936

La « 402 Andreau » est un prototype conçu par l’ingénieur aérodynamicien renommé Jean Andreau à qui la firme Peugeot demande d’appliquer ses théories sur une voiture de série de l’époque : la Peugeot 402. 
 Cinq exemplaires sont construits en 1936 comprenant le modèle présenté ici qui est maintenant conservé au Musée de l’Aventure Peugeot à Sochaux. C’est ce modèle qui a été présenté pour la première fois au Salon de l’Automobile de Paris en octobre 1936. 
 Lors de ce Salon de l’Automobile, la voiture était décrite en ces termes : « Peugeot conçoit les premières carrosseries de voitures optimisées. Pour l'automobile, il était nécessaire de créer un profil de carrosserie avec des lignes conformes aux lois de l’aérodynamique, tout en satisfaisant aux exigences de confort des passagers. » 
La carrosserie, conçue de manière scientifique permet de stabiliser la voiture à des vitesses élevées par déplacement du centre de poussée vers l’arrière. 
La Peugeot 402 Andreau a été construite sur la base d’un châssis de 402 standard équipé d’un moteur à 4 cylindres en ligne de 1 991 cc de cylindrée accouplé à une boite de vitesses à quatre rapports par l’intermédiaire d »un embrayage électromagnétique Cotal. Peugeot a pu démontrer, en remontant une carrosserie standard sur le châssis de la 402 Andrreau, et en effectuant des mesures sur pistes, que l’aérodynamisme de la carrosserie faisait économiser 30 % de la consommation de carburant.
Source : montesquieuvolvestre.com-CONCEPT CAR

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