mardi 12 août 2025

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LE TOURISME EN AUTOMOBILE EN 1914...

 

Un touriste admire le paysage grandiose du  Grand Canyon en Arizona, USA en 1914.

CLUB5A - SPORT AUTOMOBILE - LES 24 H DU MANS DE 1949....LA RÉSURRECTION !!

En 1920, l'Automobile Club de l'Ouest œuvre à la réalisation d'une compétition dont le caractère devait contribuer à l'évolution du progrès technique et favoriser l'essor de l'automobile. En 1922, le club annonce la création d'un nouveau type de compétition dans la Sarthe, une épreuve d'endurance. Pendant l'épreuve, des équipages de deux pilotes par voiture se relaieraient jour et nuit. 
 
La première édition, avec trente-trois équipages, se déroule les 26 et 27 mai 1923 sur un circuit près de la ville du Mans. Elle fut remportée par André Lagache et René Léonard sur une Chenard & Walcker. Ils couvrirent 128 tours à la moyenne de 92,064 km/h. Aujourd'hui, les « 24 Heures du Mans » ont lieu chaque année en juin. C'est la plus ancienne et la plus prestigieuse des courses d'endurance pour automobile de sport et Sport-Prototypes.
Les 24 Heures du Mans 1949 sont la 17e édition de l'épreuve et se déroulent les samedi 25 et dimanche 26 juin 1949 sur le circuit de la Sarthe (départ donné à seize heures le samedi). 
1949. Il y a 70 ans, l’épreuve mythique reprenait la piste après avoir été mise en sommeil pendant une décennie. 949. Une année particulière pour les 24 Heures du Mans. Celle de la première victoire de Ferrari en terre sarthoise. Celle aussi, où, pour la première fois (et bien avant Audi), un moteur diesel s’époumonera sur une piste de course.
Mais 1949, c’est surtout l’année de la renaissance pour la, déjà, célèbre course d’endurance. De longs mois ont passé depuis la fin de la seconde conflagration mondiale. Pourtant, cela fait une décennie qu’aucun bolide n’a plus tourné sur le circuit. Après guerre, la piste « était un champ de ruines  » , explique Fabrice Bourrigault, responsable du Musée des 24 Heures. Les stands ? « Pillés. » Les tribunes ? « Démontées. » La piste ? « Bombardée. » 
À l’entrée du musée, une grande scénographie et un petit film incarnent cette désolation. Planté devant, un panneau matérialise le point kilométrique zéro des 24 H. Unique et solitaire reliquat de l’épreuve née en 1923. « Mais, dès 1946, les dirigeants de l’ACO se remettent à penser course  » , explique Fabrice Bourrigault. Nouveau règlement, nouveau plateau, ne reste que le financement à trouver. « 40 millions de francs de l’époque, une grosse somme. » Pas encore prêt pour 1947, trop juste pour 1948, l’Automobile club de l’Ouest (ACO) voit la ligne d’arrivée en 1949. PUBLICITÉ 1949. Une année particulière pour les 24 Heures du Mans. Celle de la première victoire de Ferrari en terre sarthoise. Celle aussi, où, pour la première fois (et bien avant Audi), un moteur diesel s’époumonera sur une piste de course. 
 Dix ans après Mais 1949, c’est surtout l’année de la renaissance pour la, déjà, célèbre course d’endurance. De longs mois ont passé depuis la fin de la seconde conflagration mondiale. Pourtant, cela fait une décennie qu’aucun bolide n’a plus tourné sur le circuit. Après guerre, la piste « était un champ de ruines  » , explique Fabrice Bourrigault, responsable du Musée des 24 Heures. Les stands ? « Pillés. » Les tribunes ? « Démontées. » La piste ? « Bombardée. » À l’entrée du musée, une grande scénographie et un petit film incarnent cette désolation. Planté devant, un panneau matérialise le point kilométrique zéro des 24 H. Unique et solitaire reliquat de l’épreuve née en 1923. « Mais, dès 1946, les dirigeants de l’ACO se remettent à penser course  » , explique Fabrice Bourrigault.
Nouveau règlement, nouveau plateau, ne reste que le financement à trouver. « 40 millions de francs de l’époque, une grosse somme. » Pas encore prêt pour 1947, trop juste pour 1948, l’Automobile club de l’Ouest (ACO) voit la ligne d’arrivée en 1949. Un plateau hétérogène Au printemps, « stands, tribunes, tout a été reconstruit. On a même installé un club house. » Éparpillées sur les murs du musée, des photos d’époque figure ce renouveau. Sur les murs, aussi, des panneaux racontant les pilotes de l’édition. Des chiffres, avec le nombre d’engagés, les vitesses moyennes, de pointe, les kilomètres parcourus… Le 25 juin 1949, 49 voitures étaient alignées sur la piste toute neuve du circuit manceau. « Un plateau assez hétérogène. Avec des véhicules d’avant-guerre. Et d’autres, modernes, dotés des nouvelles technologies sur l’aérodynamisme, les moteurs… »
Source : F5JFS-ouest-france.fr/

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samedi 9 août 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - JEAN-LUC ET ALAIN ...UN SOURIRE COMPLICE AVANT LE DEPART !


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO-MOTO - L’INSÉCURITÉ ROUTIÈRE !!


CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UN OURS QUI A LA PASSION DU SIDE-CAR !!..


CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - LA SM MAZERATI LE GRAND TOURISME PAR CITROËN..

La Citroën SM est une voiture de Grand tourisme lancée en mars 1970 par Citroën en utilisant la base de la DS. Malgré diverses avancées techniques, elle aura une carrière très courte, s'achevant en 1975. 
Elle reste pourtant un des modèles mythiques de la marque recherché par les collectionneurs. La SM (comme projet S Maserati) est un gros coupé 2+2 (en) ; les places de l'arrière sont plus mesurées mais encore utilisables par deux adultes. Si le coffre est muni d'un hayon, les sièges arrière sont fixes. À l'avant, la planche de bord au dessin admirablement épurée et futuriste, et aux cadrans et au volant ovoïdes, équipera également la Maserati Merak. 
La suspension est hydropneumatique comme sur toutes les grandes Citroën depuis 1954. 
Ce type de suspension, conçue par l'ingénieur Paul Magès et son équipe, fut tout d'abord inauguré sur les seules roues arrière de la Traction avant 15H la fameuse « 15 oléo » à moteur 6 cylindres, puis fut appliqué dès 1956, aux quatre roues cette fois-ci, sur la DS 19 dont le freinage, la direction assistée, l'embrayage et la boîte de vitesses semi-automatique utilisaient également l'hydraulique. 
(Les chuintements caractéristiques à ces autos proviennent d'ailleurs de la circulation du liquide à travers les différentes vannes et clapets composant le système) 
 La tenue de route est assurée grâce à l'excellente répartition des masses (moteur longitudinal central avant et positionné côté habitacle, la boite de vitesses l'étant côté pare-chocs) et à une innovante géométrie exclusive des suspensions : axe de roulis au niveau du sol et déport nul des roues avant (la ligne joignant les pivots inférieurs et supérieurs de moyeux croise le milieu du centre de l'aire d'appui du pneu avec le sol). 
Le déport nul rend la direction quasi insensible aux inégalités de la route ou par exemple à une crevaison.


Source : Petites Observations Automobiles

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vendredi 8 août 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - TOUR DE L'AUDE - L'ACCEUIL DES PARTICIPANTS RESTE UN MOMENT IMPORTANT DE CE RALLYE ...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - INCOMPREHENSION !!


CLUB5A - PHOTO INSOLITE - BATEAU ...MINI-CARAVANE ET SIDE-CAR...EQUIPES POUR PASSER DE BONNES VACANCES !!


CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION AUTO - RESTAURATION D'UNE CHEVROLET CAMARO Z28 DE 1969 !!

La Chevrolet Camaro est une automobile de type pony car construite par General Motors en quatre générations de 1967 à 2002. La production a repris en 2009 pour une cinquième version, suivi en 2016 pour une sixième. La Camaro fut construite pour concurrencer la Ford Mustang. Lorsque Ford présente sa Mustang en avril 1964, l'état major de GM ne se montre pas vraiment impressionné, persuadé qu'il n'existe pas de marché pour ce type de véhicule et qu'avec son « petit » coupé le rival de toujours foncerait vers de sinistres destinées.
 Leurs espoirs seront de courte durée ; quatre mois seulement après son lancement, 100 000 Mustang sont sorties des chaînes de fabrication. L'ambiance au directoire de General Motors se dégradera considérablement. Il leur faut faire mieux, et vite, pour retrouver leur première place sur le marché national. Dans l'urgence, Chevrolet crée le projet XP836 surnommé « Panther ». 
Ses lignes très pures, exemptes de toute fioritures, combinent harmonieusement volumes et rondeurs avec des éléments plus anguleux. À sa sortie, Chevrolet précise que le nom du nouveau modèle vient d'un mot français, « camaro », signifiant « camarade » en argot mais Ford rétorque ironiquement que c'est le nom d'un type de crevette (« Camarón » veut dire « crevette » en espagnol). 
Chevrolet dira alors sur le même ton qu'un Camaro était « un petit animal méchant mangeur de Mustang » 
Beaucoup de changement sur la carrosserie en 1969. Seuls le capot et le coffre restent identiques. Le nouveau style donne une meilleure impression d'aérodynamisme, avec ses traînées au-dessus des arcs de roues. Le package RS comprend des phares cachés sous une plaque striée. 
Il existe un grand débat entre les collectionneurs adeptes du style 1967-1968 et les adeptes de la Camaro 1969. Cette année, c'est une Camaro RS/SS cabriolet qui servira de « pace car » à Indianapolis. Les Z-28 pouvaient avoir un capot bombé en option.  
Le moteur V8 307 ci, un bloc de 283 ci avec un vilebrequin de 327, de 200 ch est développé pour les Camaro de base. Un nouveau V8 350 ci de 255 ch remplace le V8 327 ci de 275 ch. Quant au moteur de la SS350, il est « boosté » à 300 ch. 

 Pour une meilleure compétitivité en course Trans-Am, l'option RPO (pour « Regular production option ») JL8 sort en milieu d'année, il s'agit de quatre freins à disque. Le système est le même que celui utilisé sur les Corvette. Autre possibilité pour les amateurs de performance ultime, le package ZL1, spécialement conçu pour les courses de dragsters NHLA. Le moteur est alors un V8 de 427 ci, entièrement en aluminium, développant officiellement 425 ch mais officieusement près de 500 ch, ce qui en fait le moteur le plus puissant jamais proposé par Chevrolet. 
Cette voiture coûtera pratiquement le double du prix d'un Camaro SS396, soit 7 200 dollars de l'époque, le moteur seul coûtant 4 160 $. Pour les utiliser en course, Chevrolet devait en vendre cinquante, ils vendirent soixante-neuf Camaro et deux Corvette équipées de ce moteur. Au moins douze moteurs furent retirés de ces voitures, et trente d'entre elles revinrent chez Chevrolet. 
Source : Benoit CHERIGIER / regis gagne

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jeudi 7 août 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - LES SALONS SONT TOUJOURS UN MOMENT DE CONVIVIALITE....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - APRES LES CABANES DANS LES ARBRES VOICI L'AUTO DANS LES ARBRES...


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LA BIERE BIEN FRAICHE EST SERVIE ET LIVREE A DOMICILE ....


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - TRANSPORT D'ÉCHELLE !!


CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION AUTO - RESTAURATION D'UNE 4CV RENAULT !!

Jolie restauration d'une Renault 4 CV RENAULT ....
La Renault 4CV, du constructeur français Renault, est une voiture conçue par Fernand Picard et Charles-Edmond Serre, deux ingénieurs de Renault, qui est présentée en octobre 1946, suite au développement de trois prototypes, dont deux secrètement pendant l'Occupation. 
C'est une petite voiture, mais elle est particulièrement spacieuse pour son époque et ses dimensions extérieures. La Renault 4CV – surnommée la « 4 pattes » mais aussi « la motte de beurre » à cause de sa forme et de la couleur jaune de ses premiers exemplaires.
– symbolise le retour de la paix et de la prospérité car elle est la première voiture française accessible au plus grand nombre comme l'indique le slogan publicitaire diffusé à l'époque : « 4 chevaux, 4 portes, 444 000 francs ! ».
 La 4CV est la voiture la plus vendue en France jusqu'en 1955. C'est la première française à atteindre une production d'un million d'exemplaires.
 La production débute et sera essentiellement réalisée à Billancourt, mais une partie se fera également à l'usine de Flins (Seine et Oise). 
Elle durera de 1947 à 1961, année de sortie du 1 105 547e et dernier exemplaire. 
Avec la Dauphine, la 4CV sera, pendant près de quinze ans, le principal modèle commercialisé par Renault. 
 Source : vincenzo correnti-WKPDIA/CC-BY-SA-3.0

CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA ZUNDAP JANUS ...LA MINI-VOITURE ECONOMIQUE !!

En 1954, Zündapp, fabricant allemand de motocyclettes, décide de se lancer pour la première fois dans un modèle plus imperméable, la minivoiture économique à l’achat, à l’entretien et à l’usage, une mode qui s’installe fortement dans l’Allemagne du milieu des années 50 avec la BMW Isetta, la Glas Goggomobil ou encore la Messerschmitt KR175.  
La seule microcar, que produira la marque, est disponible dès juin 1957. Inspiré d’un dessin du constructeur aéronautique allemand Dornier, le petit véhicule prend le nom de Janus, d’après le dieu romain à deux faces, ce qui ne surprend personne puisque les sièges sont dos à dos. Le siège avant fait face à l'avant; le siège arrière fait face à l'arrière avec une porte à chaque extrémité pour s’y loger. 

Très modulable pour l’époque, en dépliant chaque siège, on peut en faire un lit double. Mais où est donc le moteur ? Au milieu, en position centrale ! 
Un deux temps monocylindre de 248 cm3 de 14 chevaux promettant une vitesse de pointe à 80 km/h. Toutefois, il fallait être vigilant, avec le poids du moteur plus léger que les passagers arrière, des variations du centre de gravité se faisaient ressentir. Six mois après le début de leur production, seulement 1 731 voiturettes sont écoulées. A la fin du premier semestre 1958, la production s'arrête définitivement avec un total de 6 902 unités fabriquées. 
L’usine est alors rachetée par Bosch. Zündapp continue sa production de motos de moyennes cylindrées dans une nouvelle usine située à Munich jusqu’en 1963. La société continuera à produire des cyclomoteurs et des motos légères de 50 cm3 à 175 cm3 de cylindrée jusqu’à sa faillite le 13 août 1984. En 2011, La Zündapp Janus fait son apparition dans le film d’animation Cars 2. 
Elle est la monture de l’antipathique Professeur Z, en réalité le Professeur Zündapp, un scientifique qui fait partie d’un complot visant à discréditer l’allinol, un biocarburant. Pour cela, il a mis au point un rayon magnétique qui surchauffe l’essence et fait exploser les moteurs des coureurs du Grand Prix Mondial. 
Pour que son arme passe inaperçue pendant l’épreuve, il l’a camouflée en caméra de télévision….


Source : Dominik Klein-http://stubs-auto.fr/Philippe Baron

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mercredi 6 août 2025