mercredi 16 juillet 2025

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Philippe, 60 ans, roule enfin avec la Mustang de ses rêves...

Achat à l’aveugle, galères d’immatriculation... Philippe, 60 ans, roule enfin avec la Mustang de ses rêves.. Philippe, habitant de Saint-Cloud, nous parle de sa Ford Mustang cabriolet de 1965 qu’il utilise au quotidien depuis 2018. 
Depuis son domicile à Saint-Cloud, Philippe nous raconte toutes les étapes de son rêve : celui de posséder une voiture de collection. «J’y ai pensé pendant au moins cinq années avant de sauter le pas», lance-t-il. L’homme de 60 ans est un passionné, quelqu’un qui a commencé à suivre le monde de l’automobile en se rendant régulièrement à des expositions pour en admirer les voitures. 
«J’ai fait le salon Rétromobile à plusieurs reprises, cet univers me fascinait», témoigne Philippe. En tête de ses désirs, les modèles des années 60, une époque où l’on fabriquait des voitures qui avaient «un charme unique». Son désir se transforme vite en objectif. «Dès que j’ai eu un peu de sous, je me suis lancé avec deux critères : je voulais une voiture d’utilisation - pas une voiture de garage qu’on regarde amoureusement trois fois par an - et je voulais surtout emmener mes gamins dedans, donc il me fallait 4-5 places». 
Nous sommes en 2018. Philippe fait le tour des garages et des propriétaires de voitures anciennes pour récolter les bons conseils. «Je ne sais rien faire de mes mains, donc il fallait une voiture robuste avec des pièces accessibles que l’on trouve facilement». Il réfléchit aux anglaises ou aux Mercedes, mais raté, les proprios de ce type de modèle lui font comprendre que les pièces coûtent un bras : à la moindre réparation, c’est un gouffre financier. 
 Sa quête de voitures américaines Ne trouvant pas son bonheur en France ou chez nos voisins proches, Philippe se tourne vers l’import. « J’ai cherché en France, rien trouvé qui correspondait à ce que je cherchais. J’ai pris contact avec une boîte qui s’était spécialisée dans l’import, le gars m’a rassuré, m’a donné confiance, m’a présenté une voiture quelques semaines après en m’expliquant qu’elle était magnifique, plus belle en vrai selon ses dires». 
 Voilà comment Philippe a rencontré la voiture de ses rêves : la Mustang. «Elle cochait toutes les cases : facile à entretenir, une “super gueule”... Cerise sur le gâteau, je voulais une voiture ayant exactement mon âge, et l’importateur m’a proposé un modèle de mon année de naissance : 1965 ». Pourtant, la petite opération n’est pas sans risque. Ses amis le préviennent : « tu es fou, il faut payer 100 % du prix avant l’import ! ». Malgré leurs inquiétudes, Philippe franchit le pas, effectuant un virement de 37.000 euros. 
L’attente est longue, ponctuée de doutes et d’excitation. Puis, un jour, le coup de fil tant attendu arrive. « Voilà votre voiture est arrivée, elle est au Havre ». Philippe sent son cœur s’emballer, l’adrénaline monte : le rêve est enfin à portée de main. Les mauvaises surprises La réception de la voiture réserve à Philippe quelques surprises. 
Lorsqu’il découvre la Mustang, il remarque plusieurs détails qui ne correspondent pas exactement à ce que l’exportateur lui avait promis : un éclat sur la planche de bord, une imperfection sur la peinture, et la moquette arrière qui, sans être complètement abîmée, n’est pas impeccable. La voiture, annoncée comme étant en parfait état, se révèle simplement «en très bon état», remarque Philippe. 
Face à ses plaintes, l’exportateur reste inflexible : « Je ne vous rendrai pas votre argent, faites ce que vous voulez de la voiture». Contrarié, Philippe décide de consulter un expert. Ce spécialiste l’examine attentivement et le rassure : « vous avez fait une bonne affaire , la base est saine, le moteur est en excellent état». Philippe peut enfin se reposer et conduire sereinement sa voiture.
 Les péripéties de l’immatriculation C’est sans compter la paperasse pour faire immatriculer la voiture. 
Au moment où il entame les démarches, il découvre que la procédure vient tout juste de basculer vers la numérisation, rendant le système «totalement dysfonctionnel». Bref, il doit patienter six mois avant d’obtenir véritablement l’immatriculation. 
 Face à son urgente envie de conduire enfin sa Mustang, il opte pour une solution de fortune. «J’ai demandé à un concessionnaire s’il n’avait pas une plaque américaine sous la main et j’ai fini par rouler pendant six mois avec des plaques qui n’avaient aucune valeur légale... » Philippe reçoit finalement la carte grise tant attendue. «L’apothéose, c’est que l’immatriculation se termine par mes initiales : PR. Cette voiture est faite pour moi ! », s’exclame le sexagénaire. Comment profiter de Mustang ? 
Depuis, Philippe profite pleinement de sa Mustang : il l’utilise chaque semaine pour aller travailler ou simplement s’évader dans sa maison de campagne. L’entretien reste accessible grâce à un garagiste de confiance, et depuis plusieurs années, la voiture ne connaît que des révisions : aucune réparation à effectuer. Le plaisir réside aussi dans le regard qu’éprouvent les autres pour son bijou. 
Un jour, alors que la Mustang était garée à Saint-Cloud, Philippe a surpris deux adolescentes en pleine séance photo devant la voiture, prenant la pose pour Instagram. Un peu gênées à son arrivée, elles ont été invitées à monter à bord pour immortaliser l’instant. «Ce qui est incroyable, c’est que la Mustang fait rêver aussi bien les jeunes que les vieux. Ça traverse vraiment toutes les générations», résume-t-il. 
Mais la véritable délectation, Philippe la trouve à chaque fois qu’il prend le volant. « Ici, pas d’électronique, pas d’aides à la conduite. Il faut vraiment sentir la voiture, écouter le moteur, être attentif à chaque geste », pointe-t-il. Le grondement du V8, la direction brute, le freinage exigeant… Tout rappelle une époque où la mécanique primait sur les capteurs. Pour Philippe, conduire sa Mustang, c’est vivre une expérience authentique et retrouver le goût simple et puissant de la passion automobile. Source :lefigaro.fr-Merci David Sarda pour le suivi de l'info...

CLUB5A - REPONSE AU JEU : DU QUI EST QUI..MERCI DE VOTRE PARTICIPATION !

 

Merci à tous d'avoir pris part à ce jeu et félicitations à notre vainqueur : Sylvie RAYNAUD qui, encore une fois, a été la plus observatrice !
 C'est elle qui a répondu le plus rapidement et a deviné qui était derrière cette image. 
 Bien joué ! 
Toutefois, il reste encore des questions à résoudre avant la prochaine assemblée générale. 
Nous vous remercions tous d'avoir été si nombreux à jouer... 
Restez branchés, car le 15 Aout, une autre énigme sera publiée sur notre blog et notre page Facebook. 
Restez connectés !

CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - L'OPEL RECORD ...LA FAMILIALE ROUTIÈRE VENDUE A 10 MILLIONS D'EXEMPLAIRES !!

L'Opel Rekord était une familiale, routière produit sous huit générations par le constructeur automobile allemand Opel. Entre l'été 1953 et 1986, environ 10 millions de véhicules furent vendus. Le nom de Rekord a évolué dans le modèle principal; la première utilisation de ce nom fut dans les Opel Olympia, ce nom a alors évolué jusqu'en 1963, date où la Rekord est devenue un modèle à part. Les générations suivantes sont décrites selon le constructeur, ou communément utilisées comme les "Rekord P I" ou "Rekord B". 
La voiture n'a pas été vendue avec l'appellation supplémentaire. L'Opel Olympia Rekord était introduit en mars 1953 comme successeur de l'Opel Olympia, avec le design d'avant la seconde guerre mondiale qui date de 1935. Les Opel Olympia Rekord ont été construits jusqu'en 1957 en 4 versions différentes. Autour de 580 000 furent produits. Avec un style des années 1934-54, les berlines ressemblaient, à une échelle plus petite, aux versions contemporaines des Chevrolet aux États-Unis. Les deux véhicules furent, bien entendu, fabriqués par General Motors. 1953/54 : 1 488 cm³, 40 ch. 
Disponible en berline 2 portes, cabriolet, et break "Caravan". Prix en Allemagne : 6 410 à 6 710 DM. 136 028 exemplaires produits. L'Opel Rekord P1 est plus large, plus moderne avec les pare-brise avant de même taille que l'arrière, introduit en Allemagne avec le style américain de la carrosserie 2 tons. Le modèle standard était vendu sous le nom d'Opel Olympia Rekord, quand une réduction des spécificatons, le modèle était vendu sous le nom d'Opel Olympia et plus connu, moins formellement, en tant que "Bauern-Buick" (Buick Paysan).
 Une nouvelle version de base avec un moteur de 1 196 cm³ apparaît en 1959 sous le nom d'Opel 1200, et à remplacer l'Opel Olympia. Une boîte de vitesses semi-automatique ("Olymat") devient disponible en 1959. Initialement la voiture aurait dû avoir comme moteur, le 1 488 cm³, 45 ch de ses prédécesseurs: il a été complété par le 1 680 cm³, 55 ch1 pour 1960. La Rekord P II prend de la taille, pas en empattement, et reçoit une toute nouvelle carrosserie qui celle-ci n'entoure pas les vitres. 
Il est disponible en berline 2 et 4 portes, break 3 portes "Caravan" et une camionnette, un pick-up, et un cabriolet. Depuis août 1961, un coupé fait son apparition, et en juin 1962, une version de luxe "L" est disponible avec le nouveau moteur de 1 700 cm³ "S" et un taux de compression plus élevé. Les versions suivantes reçoivent en option une boîte de vitesses à 4 rapports. Prix en Allemagne : 6 545 à 7 770 DM. 787 684 exemplaires produits. Autenrieth continue de vendre des cabriolets fabriqués à la main à 11 635 DM. La Rekord A est une reprise des Rekord P II (berline 2-4 portes, break 3 portes et camionnette, coupé 2 portes avec les moteurs 1500, 1700, 1700 S) mais les carrosseries sont entièrement neuves et l'empattement allongé jusqu'à 2 620 mm. 
Mars 1964 voit l'apparition d'un modèle avec le moteur de l'Opel Kapitän: le 6 cylindres en ligne de 2,6 litres. Prix en Allemagne: 6 830 à 9 370 DM; frein à disques avant: + 200 DM, 4 vitesses au plancher: + 180 DM. 885 292 exemplaires produits. En série limitée, Karl Deutsch de Cologne a vendu des cabriolets avec les 1700 S ou 2600 au prix de 11 765 et 13 060 DM respectif. Quand le Rekord B consiste uniquement à un léger facelift comparé au A, Opel décide d'en faire un nouveau, nouvelles motorisations avec arbre à cames en tête (CIH) (1500, 1700 S, 1900 S). Les moteurs à arbres à cames en tête (CIH) sont disponibles jusqu'en 1986, date ou la Rekord est remplacée par l'Opel Omega. 
Le 6 cylindres en ligne 2 600 cm³ reste inchangé. La gamme reste identique au Rekord A. Prix en Allemagne : 6 980 à 9 570 DM ; freins plus puissants : + 95 DM, boîte de vitesses automatique : + 950 DM, boîte de vitesses 4 rapports : + 95 DM. 296 771 exemplaires produits. Avec 1 276 681 exemplaires produits, la Rekord C est le plus grand succès de la Rekord à ce jour. La voiture s'est avérée être un succès massif auprès du public. La gamme consistait en une berline 2-4 portes, break 2 et (nouveauté) 4 portes, camionnette, coupé hardtop 2 portes avec comme moteurs les 1500, 1700, 1700 S, 1900 S (4 cylindres en ligne) ou (jusqu'en 1968) un 2200 (6 cylindres en ligne). Une version taxi produit uniquement en 1967 consiste à un empattement rallongé à 2 870 mm, vendu au prix de 9 950 DM ; avec ceci, Opel essaya de mettre un pied dans le marché des taxi allemand, marché dominé (actuellement) par Mercedes-Benz. 
Encore une fois, Karl Deutsch de Cologne produit une version cabriolet en série limitée. Il existe plusieurs variation de la Rekord C, aussi plusieurs versions fabriqués sous des noms différents et dans différents pays. Une version de la Rekord C était la Rekord Sprint coupé (1967 - 1971) avec phares directionnels, jantes sports en acier, rainures sport et un intérieur sport ; le Sprint reçoit en exclusivité le moteur 1900 H avec carburateur double corps, excellent pour atteindre 106 ch et 174 km/h
La Rekord 6 cylindres est remplacée par la nouvelle Commodore A, une carrosserie et un équipement meilleur que la Rekord C disponible en berline 2 et 4 portes et un coupé hardtop avec uniquement des moteurs à 6 cylindres. Durant la durée de vie de ce modèle (en fait, entre 1967 - 1970), le nom d'Opel Olympia a été relancé, mais sur un modèle distinct, compact, basé sur l'Opel Kadett Avec l'arrivée de la petite Ascona en septembre 1970, la Rekord est vendue en tant que routière plutôt que familiale.
Source : infusion26 - WKPDIA/CC-BY-SA-3.0

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mardi 15 juillet 2025

CLUB5A – PHOTO INSOLITE - Seules les images ont la faculté de pénétrer profondément dans la mémoire ….


 

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - le chant de la cigale est assez voisin du cri de la mobylette...n'est-ce pas Gilles ?

CLUB5A - HUMOUR MOTO - RIEN NE PRESSE !!

CLUB5A - SPORT AUTO - LA BUGATTI TANK ...EN AVANCE SUR SON TEMPS !!

Une Tank Bugatti est un type de carrosserie de voiture de compétition automobile du constructeur automobile Bugatti. Elle est utilisée sur des Bugatti Type 32 de 1923, puis sur des Bugatti Type 57 entre 1935 et 1939, victorieuses en particulier des Rallye des Alpes françaises 1935, Grand Prix automobile de France 1936, 24 Heures du Mans 1937, et 24 Heures du Mans 19392... 
Cette carrosserie originale, profilée et surbaissée, est créée par Ettore Bugatti pour la Bugatti Type 32 à raison de 1 prototype + 4 exemplaires pour le Grand Prix automobile de France 19233, motorisée par le premier moteur 8 cylindres Bugatti des Bugatti Type 304. 
La Type 32 remporte, entre autres, la 3e place du Grand Prix aux mains du pilote Ernest Friderich. La légendaire Bugatti Type 35 lui succède l'année suivante. Elle est a nouveau utilisée avec succès quelques années plus tard par Jean Bugatti, pour carrosser des Bugatti Type 57 de courses, victorieuses en particulier des Rallye des Alpes françaises 1935, Grand Prix automobile de France 1936, 24 Heures du Mans 1937, et 24 Heures du Mans 19392...
 Jean Bugatti se tue accidentellement au volant du modèle victorieux des 24 Heures du Mans 1939, aux alentours de son Usine Bugatti de Molsheim, au cours d'une séance d'essai et de mise au point d'une évolution du modèle, à près de 200 km/h en août 1939. 
Son décès tragique et prématuré à l'âge de 30 ans, et la déclaration de la Seconde Guerre mondiale 15 jours plus tard, marquent la fin rapide de Bugatti.
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-Bshar Nasri

CLUB5A – 15/07 - PARTICIPEZ AU JEU DU "QUI EST QUI" - QUELLE EST LA PERSONNE DERRIERE CETTE IMAGE ?

 

L’intelligence artificielle utilise des techniques pour imiter le fonctionnement du cerveau. 
Tandis que l’IA occupe une place croissante dans nos vies, elle ouvre aujourd’hui autant de possibilités, par exemple transformer une photo… 
Voici un nouveau jeu où vous devrez deviner de quelle personne il s’agit. 
Cette personne, vous la connaissez, car elle participe à nos sorties et fait partie du club ou en est un sympathisant. 
Une devinette vous sera proposée tous les mois et vous avez quelques jours pour y répondre…. 
 Le premier qui devine ce personnage aura gagné et accumulera un nombre de points et sera peut-être le gagnant. Nous attendons vos réponses soit à travers le blog, dans : laisser un commentaire en bas du menu du blog clubdes5a.blogspot.com dans le formulaire de contact ou sur facebook.com/club5des5A/ 
La personne qui aura le plus de réponses exactes aura gagnée et sera récompensée à la prochaine A-G. 
Rendez-vous le 15 Aout pour une nouvelle énigme.
À vous de jouer !

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lundi 14 juillet 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - TOUS EN ADMIRATION POUR ADMIRER LES DESSOUS D'UNE 2CV...

CLUB5A - HUMOUR AUTO - DROLE DE POSITION POUR PAYER LE PEAGE !

CLUB5A - ATTENTION AU PASSAGE A NIVEAU... UN TRAIN PEUT EN CACHER UN AUTRE !!

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - 14-Juillet : tout savoir sur le «Command Car», le véhicule à bord duquel le Président descend les Champs-Élysées

 

Le Président défile chaque année sur les Champs-Élysées à bord du VLRA Command Car d’ACMAT. Adapté spécialement pour la cérémonie du 14 Juillet, ce 4x4 robuste symbolise la continuité de la République française. Cette année, lors du défilé du 14-Juillet sur les Champs-Élysées, le Président de la République Emmanuel Macron descendra l’avenue la plus célèbre du monde à bord d’un véhicule militaire emblématique : le VLRA Command Car d’ACMAT. Une tradition qui perdure depuis l’époque de Valéry Giscard d’Estaing qui pilota le premier ACMAT Command Car dans les années 1970 pour les défilés du 14 juillet. Tous les présidents de la Ve République sont ensuite à bord de ce même véhicule mythique, avec la même immatriculation : 682 0733. 
Le Command Car est aujourd’hui un véritable symbole de la République française. Véhicule militaire oblige, le moteur Perkins du Command Car est un diesel 6 cylindres qui développe entre 120 et 145 chevaux selon les versions, pouvant propulser ce 4x4 de 4300 kg à vide jusqu’à 100 km/h sur route. Sa capacité d’emport atteint 6800 kg en charge, tandis que son autonomie avec un seul plein peut aller jusqu’à 1000 km selon les configurations. Les dimensions imposantes du véhicule - 5,35 à 6 mètres de longueur pour 2,07 mètres de largeur - lui confèrent une présence majestueuse lors des défilés. Ses capacités tout-terrain impressionnent : il franchit des pentes de 60 à 65% et traverse des gués de 0,90 mètre sans préparation particulière. Pas sûr que cela soit utile sur les Champs-Élysées. C’est pourquoi les ingénieurs d’ACMAT adaptent spécifiquement le véhicule pour les besoins protocolaires présidentiels. 
Ils installent une main courante sur toute la largeur du compartiment arrière, permettant au Président de se tenir debout pour saluer les troupes et le public. Des supports de fanions d’identification ornent les ailes avant, ajoutant à la solennité de l’ensemble. Le succès industriel du Command Car D’un point de vue industriel, ACMAT (Ateliers de Construction Mécanique de l’Atlantique) est aujourd’hui intégré dans le groupe Arquus, et fabrique ces véhicules exceptionnels dans ses usines de Saint-Nazaire. La robustesse et la fiabilité du VLRA séduisent bien au-delà des frontières françaises. ACMAT a exporté plus de 12.000 exemplaires dans plus de 50 pays, où ils servent dans les forces armées mais aussi comme véhicules d’apparat pour d’autres chefs d’État. 
Cette diffusion internationale fait du Command Car français un ambassadeur du savoir-faire militaire national. L’armée française déploie environ 800 VLRA, principalement au sein des forces spéciales qui apprécient leur simplicité mécanique et leur grande autonomie. La conception modulaire du véhicule permet de l’adapter à de multiples usages : transport de troupes, ambulance, poste de commandement mobile. Mais le Command Car transcende sa fonction de simple véhicule militaire et devient le 14-Juillet un témoin motorisé de la continuité républicaine et de la grandeur du pays. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info..

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Alain, 77 ans, roule au quotidien avec sa Citroën type B2 de 1921 : «Chaque dos-d’âne est un supplice»

 

Alain Blazy, 77 ans, nous raconte la vie extraordinaire de sa Citroën Type B2 de 1921, que son oncle lui a transmis. À 77 ans, Alain Blazy fait partie de ces passionnés qui ont transformé leur amour des voitures anciennes en véritable art de vivre. Ancien professeur de langues vivant près de Lille, il revenait chaque été dans sa ville natale de Foix pour retrouver son trésor : une Citroën Type B2 de 1921. La possession de ce modèle d’exception, Alain Blazy la doit à son oncle Roger Delboy, notable ariégeois grâce à son entreprise de transports. L’homme avait marqué le jeune Alain en lui transmettant le virus automobile. 
Quand Roger découvre et utilise pour la première fois le modèle, à Saint-Girons (09) il réveille instantanément en lui des souvenirs profonds : cette voiture lui rappelait les camions Citroën de ses débuts, les premiers véhicules avec lesquels il avait bâti son entreprise. «C’était pour lui une madeleine de Proust mécanique», commente Alain. En 1970, le jeune homme terminait ses études outre-Manche. C’est à son retour d’Angleterre que Roger Delboy lui offre cette voiture en cadeau. Une surprise de taille pour celui qui venait de décrocher son diplôme de professeur de langues. À l’époque, il fallait souvent acheter des pièces pour reconstituer ces voitures anciennes, mais celle-ci était complète, avec même un démarreur électrique, équipement rare pour un modèle de 1921. 
Voilà pour le début de l’histoire. Une époque où la voiture était corporatiste 54 années après, la centenaire rutile encore de sa carrosserie rouge et noire parfaitement conservée. Dans le garage d’Alain, la Citroën Type B2 témoigne d’une époque où l’automobile française s’adaptait aux besoins de chaque profession. Le modèle était décliné en versions spécifiques : pour les industriels, les docteurs, les avocats, chaque coupe correspondait à un métier. Celle d’Alain Blazy, une «Normande» à carrosserie bois, était destinée aux agriculteurs. Le modèle est pensé en configuration utilitaire, avec ses deux places à l’avant et son plateau à l’arrière, permettait de charger des pots de lait ou des animaux pour le marché en semaine, puis de se transformer en voiture familiale le dimanche en ajoutant des sièges pour les balades ou la messe. 
C’était l’époque où Citroën révolutionnait l’industrie automobile française en lançant la première voiture produite en grande série dans l’Hexagone. Malgré ses 104 ans, la voiture ne fait pas son âge. Sa force réside dans tous les petits détails techniques. Alain Blazy privilégie par exemple le démarrage à la manivelle «pour le plaisir et le côté sympathique du geste», même s’il dispose d’un démarreur électrique. La mécanique reste d’une simplicité remarquable, pas d’électronique, et des pièces qui tiennent bon : juste une segmentation changée au cours du temps, puis bien sûr le remplacement régulier des pneus pour des neufs. Attention à l’accélérateur positionné au centre Conduire cette centenaire relève de l’art. L’accélérateur au centre impose de ne pas confondre les pédales, le frein à droite et l’embrayage à gauche exigent une pression ferme. 
Les trois vitesses s’enclenchent avec la technique du double débrayage, manœuvre délicate qui demande de la pratique. Le système de freinage, uniquement sur les roues arrière, nécessite une vigilance constante. «Il faut toujours enfoncer délicatement la pédale tout en actionnant simultanément la tige du frein à main», explique Alain. Les ronds-points et les virages deviennent des exercices de haute voltige. L’absence de suspension transforme «chaque dos-d’âne en supplice», les vibrations étant si importantes qu’elles peuvent dévisser les boulons. Vitesse max : 70 km/h «Mais une fois bien lancée, c’est du pur bonheur. La vitesse max est de 70 km/h, mais par sécurité, je roule moins vite, elle a quand même du mal dans les virages», raconte Alain. 
Lors de ses sorties en banlieue lilloise, Alain ne passe pas inaperçu, quand certains automobilistes font les yeux ronds, d’autres s’arrêtent pour admirer la mécanique et partager leurs souvenirs d’enfance, certains brandissent un pouce en l’air en guise de sympathie. Depuis 54 ans qu’il possède cette voiture, Alain Blazy reste le seul à la conduire : «Elles sont difficiles à conduire, ce qui fait le charme ! Nous, on est sensible à ça, contrairement aux jeunes générations. Il y a une finition, un tableau de bord en alu, une recherche très poussée, une conduite particulière...» Pourtant, elles ont perdu de leur valeur. «Ces voitures sont moins cotées maintenant, elles intéressent moins les jeunes collectionneurs», tempère le septuagénaire. Selon lui, il y a une scission entre lui et les jeunes qui préfèrent les voitures d’après-guerre, celles des années 60, 70, 80. Les Madeleine de Proust ne se choisissent pas. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - TOUT EST UNE QUESTION D'EQUILIBRE...


CLUB5A - REVUE DE PRESSE - 36ème TOUR DE L'AUDE - RETOUR SUR LE DEPART ....

Source : lindependant.fr - JG - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info

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dimanche 13 juillet 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - QUAND CHARLES EST SUR SA MOTO IL TRIUMPH ...


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LE SOLEX TRIPORTEUR !


CLUB5A- LES VOITURES DE LÉGENDE - LA 2 CV CITROËN 4X4 SAHARA...LA CITROËN A DEUX MOTEURS !!

Au début de mars 1958, Citroën convie un aréopage de journalistes et d’officiels à la mer de d’Ermenonville pour leur présenter un nouveau et curieux petit véhicule, La 2CV 4x4 Sahara. L’endroit est choisi en raison de ses dunes lointaines cousines des vraies, celle de l’Algérie. Pour l’ambiance et la couleur locale, on a fait appel à des dromadaires trouvés on ne sais où, un cirque certainement. 
Mais une abondante chute de neige imprévue vient de recouvrir les dunes d’un manteau blanc qui rappelle plus le Gobi que le Sahara. La 2CV 4x4 a pour origine la ténacité d’un certain M.Bonnafous, ingénieur des travaux publics, qui, à la recherche d’un engin tout terrain léger et économique, avait délaissé sa Jeep pour se construire une 2CV 4x4 en 1954. Au moteur de 375cm3, il avait adjoint un second groupe à l’arrière, bientôt remplacés par deux moteur plus puissant de 425cm3. Citroën eut vent de la voiture, s’y intéressa et décida de commercialiser sa propre version, principalement pour les champs pétrolifères. 
Le remarquable dans cette aventure c’est que, par l’opération du St Esprit du ministère des finances, la voiture à deux moteurs de 2CV chacun, devint une 5CV…pour le gouvernement, 2 + 2 = 5 ! 
Les caractéristiques essentielles de la Sahara peuvent se résumer comme suit : 
  
-Deux groupes, un mototracteur et un motopropulseur de 2CV normale montés séparément à l’avant et à l’arrière. Moteur arrière logé dans le coffre. -Absence de liaison mécanique de transmission entre les deux moteurs, mais commande commune de l’accélérateur, de l’embrayage et du changement de vitesse par pédales ordinaires et levier central. 
 -Moteur arrière et entraînement correspondant des roues déclenchables. Marche possible sur route avec le moteur avant seulement (au besoin aussi avec le moteur arrière seulement). -Châssis à plate-forme, suspension et carrosseries semblables -à l’exception de quelques détails-à ceux de la 2CV.
Source: accueil.org/deuche/la_2cv_4x4_sahara / boreli1969

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR LE DEPART DU 36ème TOUR de L'AUDE ...C'ETAIT LE VENDREDI 11 JUILLET 2025 !

Source : lindependant - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - DEPART DU 36ème TOUR de L'AUDE - C'ETAIT LE 11 JUILLET 2025 SOUS LE REGARD DE DAME CARCAS...

 

Ce vendredi 11 juillet 2025 les véhicules rutilants du Tour de l’Aude savent attirer l’œil, et pour cause: tous ont été fabriqués avant 1945….Le Tour de l’Aude à effectué son départ. Comme prévu, la 36e édition du Tour de l’Aude des voitures anciennes a pris son départ depuis les abords de la Cité de Carcassonne (porte Narbonnaise).
    
Au fond, deux types de patrimoine se rencontraient, l’un de pierre et l’autre mécanique, et il y a toujours quelque chose d’à la fois magique et cohérent de voir ainsi ces deux univers se côtoyer l’espace de quelques instants.
Les visiteurs étaient en tout cas ravis d’être présents à ce moment-là : ces 55 bijoux mobiles sont partis ensuite pour prendre la direction des Pyrénées jusqu’à mardi après-midi où le final sera organisé au château de Cavanac comme à l’accoutumée.
Photos : Sylvie Raynaud - PL