Source ; lindependant.fr - J.G - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
dimanche 3 août 2025
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - La Toyota-Shelby 2000 GT.....Son nom vaut de l'or !
Ce coupé est l’un des trois que le champion américain Carroll Shelby, dont l’aventure est portée à l’écran dans «Le Mans 66», a préparé pour la compétition en 1967. Son nom vaut de l’or. Il faut dire que le coupé 2000 GT de série est déjà une rareté.
C’est en 1965 que le constructeur japonais présente un prototype de son coupé, sorte de Type E à l’orientale. Stricte deux places, la 2000 GT est animée par un six-cylindres en ligne de deux litres provenant de la Crown. La culasse en aluminium, coiffée de deux arbres à cames en tête entraînés par chaîne, a été développée par Yamaha. Le fabricant de motos n’a pas fait les choses à moitié: la culasse recourt à des chambres de combustion hémisphériques et des pistons en forme de toit. Gavé par trois carburateurs Solex double corps horizontaux 40 PHH, le six-cylindres nippon délivre 150 chevaux à 6 600 tr/min.
Le moteur est accouplé à une boîte à 5 rapports synchronisés et à un différentiel à glissement limité. Côté structure, les ingénieurs Toyota ont puisé leur inspiration chez Lotus en reprenant l’architecture à châssis poutre de l’Elan. Idem pour les suspensions qui prennent modèle sur combinés ressorts hélicoïdaux et les amortisseurs télescopiques de l’anglaise.
La carrière du coupé Toyota débute en fanfare. Avant sa commercialisation, la 2000 GT est choisie pour accompagner les aventures de James Bond dans On ne vit que deux fois. Mais comme il n’est pas question d’enfermer l’agent secret dans un coupé, Toyota imagina un cabriolet dont trois exemplaires furent produits. Que 007 roule en 2000 GT n’entraîne pas un afflux de commandes. Il faut dire que le performant coupé était facturé 42 500 francs en 1968 alors qu’une Alpine A110 valait 26 700 francs.
Le coupé japonais sera finalement produit à 351 unités, dont 7 seulement pour le marché français.
Aux États-Unis, l’un de ses principaux marchés, ses performances ne sont pas passées inaperçues.
Carroll Shelby pense que le coupé japonais représenterait une excellente base pour participer au championnat américain SCCA. C’est ainsi qu’il développe trois exemplaires de la 2000 GT pour la compétition. La carrière sportive de la Toyota-Shelby sera brève et il reste aujourd’hui avec ce coupé, le merveilleux témoignage des débuts en compétition de la firme Toyota.
Source : lefigaro.fr - Sylvain Reisser
samedi 2 août 2025
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Porsche 911 «Project Gold» étude de style !..
Ce projet constitue un véritable défi à relever pour les ingénieurs de la firme de Stuttgart, bien plus souvent habitués à optimiser les modèles existants, que de créer de toutes pièces.
Cette liberté dans la conception engendre un nombre relativement important de prototypes aux solutions techniques différentes : la mécanique est tour à tour refroidie par air, par eau et même par une combinaison associant l'huile pour les cylindres et air pour les culasses.
Le style est quant à lui moins sujet à discussion. En effet, le chef du Département Carrosserie, Erwin Komenda, est seul décideur en ce qui concerne la ligne des produits Porsche. Pour lui, le design n'est qu'une notion superflue.
Une petite équipe de stylistes, sous la direction du fils de Ferry Porsche, ButziN 1, définit une automobile 2+2N 2 compacte dont le profil va se révéler être intemporel. Selon Butzi, la simplicité des lignes est une évidence et la facilité de fabrication est une nécessité absolue. Fort de son expérience à l'école de stylisme d'Ulm, il dessine une voiture aux lignes fluides, mais renonce à la carrosserie tricorps de la 356 pourtant chère à son père, et adopte un arrière « fastback » dans l'optique de loger quatre adultes. Cette solution offre également l'avantage d'avoir un meilleur coefficient de traînée.
Quatre ans plus tard, au Salon de l'automobile de Francfort 1963, Porsche dévoile son cinquième et dernier prototype, baptisé « 901 », qui préfigure à peu de chose près, le modèle de série
L'histoire des Porsche 911 débute au Salon automobile de Francfort, le 12 septembre 1963, avec la présentation de ce qui sera la première génération de Porsche 911, la type 901. Devant l'opposition du constructeur français Peugeot, qui a déposé et exploité depuis le milieu des années 1950 les noms de modèles avec un "0" au milieu, Porsche décide le 10 novembre 1964 de remplacer le zéro par le chiffre qui succède, à savoir le 15.
Le nouveau modèle est immanquablement une Porsche, car il intègre les traits marquants des prototypes antérieurs et demeurent dans la lignée des Porsche 356.
Le pare-brise est plus relevé que sur la 356 et la surface vitrée est supérieure, mais l'élément stylistique le plus caractéristique réside dans la courbure progressive et continue du toit dont la ligne, partant du bord supérieur du pare-brise, ne s'achève qu'au niveau du pare-chocs arrière. Cette ligne, satisfaisante sur le plan esthétique, favorise également la pénétration dans l'air.
Dès son lancement, le succès est au rendez-vous et la 911 remporte de nombreux succès en courses automobiles.
Au fil des années, Porsche introduit des améliorations et les 911 successives sont toutes à la pointe de la technologie de leur époque. Chaque nouveau modèle est plus puissant que le précédent. En 1968, le véhicule gagne ainsi 10 chevaux et atteint allègrement les 210 km/h, ce qui est pour l’époque exceptionnel.
La marque Porsche commercialise ses voitures dans le monde entier, le modèle 911, en vente aux États-Unis a toutefois subi quelques modifications afin d’être en conformité avec les normes américaines.
Est sorti des chaînes de montage de l'usine de Zuffenhausen le millionième exemplaire de Porsche 911. Il s'agit d'une 911 Carrera S coupé personnalisée par Porsche Exclusive, le département personnalisation du constructeur. Elle est peinte dans une teinte spéciale « vert irlandais » et l'habitacle reçoit un volant serti de bois, le levier de vitesses, la planche de bord et la sellerie se couvrent de cuirs et tissus au motif pepita en hommage au modèle originel de la Porsche 911 de 1963.
Le chiffre 1.000.000 est inscrit sur le fond de l'un des compteurs. Ce modèle rejoint la collection du Porsche Museum.
Source :WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-CARADISIAC
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Location de voiture : bientôt la fin des moteurs thermiques ?
Selon le journal allemand Bild, la Commission européenne pourrait obliger les loueurs et flottes d’entreprises à n’acheter que des véhicules électriques dès 2030.
Une proposition législative est attendue à la fin de l’été 2025.
Voilà une nouvelle du tabloïd allemand Bild qui donne des sueurs froides aux loueurs de voitures, Sixt en tête.
«À partir de 2030, les sociétés de location de voitures , ainsi que les grandes entreprises», pourraient n’être «autorisées à acheter que des voitures électriques », écrivait le journal allemand, citant des «sources européennes», le 19 juillet 2025.
L’information fait écho à un projet de législation européenne, qui pourrait éventuellement mettre en place cette obligation.
Dès février 2024, la Commission européenne a mené un processus de consultation pour réfléchir à des «initiatives de décarbonation des flottes d’entreprise», dans le but d’introduire d’éventuels quotas électriques pour les exploitants de flottes professionnelles (loueurs et entreprise) ; bien avant la fameuse interdiction des moteurs thermiques en 2035.
Si de nombreux intervenants ont pris part au processus de consultation, le résultat de cette procédure n’a pas encore été publié.
Un long processus
Par la suite, dans une lettre de mission de septembre 2024, Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne a demandé à Apóstolos Tzitzikostas, son commissaire aux transports durables et au Tourisme, de présenter une proposition législative pour la décarbonisation des flottes d’entreprise.
Lors d’une audition mi-juillet, ce dernier a confirmé aux acteurs que la Commission avait l’intention de présenter une proposition législative à la fin de l’été, «qui comprendra des mesures pour les exploitants de flottes».
Pour autant, le commissaire n’en a pas plus dit, et ne confirme donc pas que «les sociétés de location de voitures, ainsi que les grandes entreprises, ne seront autorisées à acheter que des voitures électriques », en 2030.
Bref, rien d’officiel, si ce n’est que certains acteurs du dossier ont eu vent de l’éventualité.
Autre élément qui corrobore la possibilité de la mesure : la Commission européenne a lancé un appel à contributions le 25 juillet pour réaliser une analyse d’impact sur ses futurs travaux législatifs. Elle y rappelle que «le transport routier doit se décarboner rapidement», et pour ce faire «les constructeurs ont besoin de ventes à grande échelle de véhicules à zéro émission». Selon elle, les flottes d’entreprise dont les loueurs — représentant environ 60% des nouvelles immatriculations — sont un levier clé. Car les véhicules des flottes d’entreprise nourrissent ensuite la majorité du marché de l’occasion. En favorisant l’achat de véhicules à zéro émission (VZE) dans les flottes d’entreprise, on augmente automatiquement la quantité de véhicules propres disponibles d’occasion.
La commission européenne indique d’ailleurs que «le manque d’adoption des VZE dans les flottes d’entreprise réduit aussi leur disponibilité sur le marché de l’occasion», faisant savoir que sans intervention européenne : ce problème persistera. Dans le même document du 25 juillet, elle évoque également «une action urgente nécessaire avant 2030».
Les loueurs s’activent contre la mesure
Du côté des loueurs, notamment Sixt, la réaction est très critique face à ce possible règlement. Sixt souligne un problème majeur d’infrastructures de recharge en Europe : 61% des infrastructures de recharge publiques sont concentrées en Allemagne, France et Pays-Bas (chiffres de l’UE).
«Ce qui pénalise particulièrement certaines zones comme les destinations touristiques de la Méditerranée», argumente l’entreprise.
Selon Nico Gabriel, membre du conseil d’administration de Sixt, cette obligation d’achat de véhicules électriques dès 2030 est donc «irréalisable dans ces conditions». Sixt fait savoir que les touristes éprouvent «une grande réticence à louer des véhicules électriques» du fait «du manque de stations de recharge rapides et accessibles».
L’Allemagne ouvre le bal de la réaction des États membres
En Allemagne, la nouvelle de l’éventuelle obligation a déjà ouvert le débat public. Friedrich Merz, chancelier allemand, ayant vivement critiqué les réflexions de la Commission européenne à ce sujet, les jugeant «complètement déconnectées des nécessités actuelles en Europe». Lui défend l’impératif de rester ouvert à toutes les technologies, sans imposer une restriction unique à la mobilité électrique - soulignant l’importance vitale de l’industrie automobile pour l’Europe et la prudence à avoir quant à la maturité des technologies électriques. Du côté de l’hexagone, le projet n’a pas encore fait de bruit.
Si la mesure est effectivement présentée à la fin de l’été 2025 et adoptée ensuite, elle devra être déployée tel quel par les États membres de l’UE : les loueurs seront bien contraints d’acheter 100% de véhicules électriques dès 2030. Malgré cette obligation, les véhicules thermiques resteront louables, mais leur part dans les flottes diminuerait inexorablement, devenant peu à peu marginale, telle peau de chagrin
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Talbot-Lago T150-C SS la «Joconde» ....
Cette extravagante berlinette signée Figoni & Falaschi. La crème de la crème. C’est ainsi que l’on désigne les Talbot-Lago T150-C SS habillées par le carrossier boulonnais Figoni & Falaschi, entre 1937 et 1939.
Ces sublimes berlinettes baptisées «goutte d’eau» en raison de leur forme aérodynamique appartiennent à l’âge d’or de la carrosserie française. La ligne élancée, dynamique, harmonieuse est un monument d’élégance. Ces machines d’exception ne sont pas légion. Il en fut construit une dizaine avec des variantes mineures de l’une à l’autre.
Ces berlinettes conservées jalousement par leurs propriétaires passionnés sont rarement à vendre.
Il s’agit de l’un des deux exemplaires produits avec des roues carénées.
La sensationnelle berlinette est en 1937 le cadeau de mariage du Maharadjah de Kapurthala -Tika Raja - à l’Anglaise Stella Mudge, L’héritier de l’état de Kapurthala, au nord-ouest de l’Inde, francophile convaincu, passait une bonne partie de l’année en France. Lors de l’un de ses séjours, il s’éprend de Stella Mudge, danseuse au Folies Bergères. Avec la Talbot, la beauté anglaise va remporter un concours d’élégance en 1938. Stella va conserver la Talbot à carrosserie aluminium pendant deux ans.
Spécialisé dans la vente de voitures de sport, l’Italien Luigi Chinetti la rachète et l’exporte aux États-Unis pour le compte du collectionneur Tommy Lee. Lorsque ce dernier décède en 1950, la Talbot Lago change de mains à plusieurs reprises avant d’être stockée pendant près de 50 ans. Elle refait surface en 2004 lorsque elle est cédée à la collection Nethercutt, l’un des plus beaux musées automobiles américains installé à Los Angeles. Après une restauration complète à l’américaine, la Talbot Lago n°90107 a remporté de nombreux prix dans des concours d’élégance de renommée internationale.
Sa mécanique provenant des modèles de course qui se sont illustrés dans les courses d’endurance participe à la fascination qu’exerce la voiture. Elle est estimée 10 millions de dollars, soit 8,8 millions d’euros.
Source : Sylvain Reisser-lefigaro.fr/AutoArchives
vendredi 1 août 2025
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - - Morgan vend des copies de sa voiture du Mans...
Rouler au volant de la réplique de la +4 victorieuse de sa classe dans la Sarthe en 1962 est maintenant possible. Morgan en commercialise une série de 62 unités. Les Anglais sont incorrigibles. La réédition de modèles emblématiques chez Jaguar et Aston Martin a donné des idées à Morgan. L’artisan constructeur implanté au sud de Birmingham, a décidé, à son tour, d’exhumer l’une des plus belles pages de son histoire en lançant la réédition de la Morgan +4 qui a remporté sa classe aux 24 Heures du Mans 1962. Il y a soixante ans, Chris Lawrence et Richard Shepard-Baron terminaient la plus grande course d’endurance au monde à la 13e place au général et à la première de la catégorie 2 litres au volant d’une +4 usine plus connue sous l’immatriculation «TOK 258».
Cette voiture, que l’on a déjà vu participer à de nombreuses courses de voitures anciennes dont Le Mans Classic, est affublée depuis toujours d’un hard-top blanc cassé.
Pour célébrer les 60 ans de sa performance sarthoise, Morgan commercialise ainsi une série de 62 véhicules s’approchant aux plus près de la définition originelle. Comme la voiture du Mans, le modèle 2022 arbore la teinte vert foncé, les numéros de course 29 dans les ronds blancs, le rond jaune sur le bas de la portière et les longues portées additionnelles. Si les compteurs et les boutons sont modernes, une plaque numérotée «Les 24 Heures du Mans 1962» rappelle le pedigree de la voiture. Les poignées de portes en cuir noir sont gravées au laser «LM 62» tandis que les appuie-tête portent un gaufrage LM 62. Autre concession au modernisme, les sièges en cuir noir sont chauffants.
Cet équipement ne faisait bien évidemment pas partie de celui de la voiture du Mans qui soignait sa ligne.
Alors que la version de 62 était propulsée par un 4-cylindres 2 litres emprunté à la Triumph TR3 A, la version 2022 est animée par un 4-cylindres 2 litres de 255 ch provenant de la banque d’organes BMW. La réédition du modèle du Mans peut être commandée avec une boîte manuelle ou automatique, en conduite à gauche ou à droite.
Source : Sylvain Reisser - lefigaro.fr
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - La Ford Mustang piloté par Belmondo dans « Le Marginal » a été retrouvé à l'état d'épave....
La Ford Mustang de 1966 pilotée à l’écran par Jean-Paul Belmondo dans « Le Marginal »
Retrouvée à « l'état d'épave et incomplète », elle a été intégralement « reconstruite à partir d'une Mustang donneuse ».
Jean-Paul Belmondo pilota nombre de véhicules intéressants à l’écran. Parmi eux, la Ford Mustang que conduit le commissaire Philippe Jordan, qu’il interprète dans Le Marginal, fit particulièrement sensation.
Le modèle considérablement modifiée de la célèbre « pony car » américaine, qui a servi aux cascades du film.
Une Américaine à Paris
Le Marginal est un film d’action sorti en 1983 réunissant Belmondo dans le premier rôle, Jacques Deray à la réalisation, Michel Audiard aux dialogues et Rémy Julienne à la direction des cascades. De grands noms, donc, pour un long-métrage qui met en scène « Bébel » dans le rôle d’un policier n’hésitant pas à passer de l’autre côté de la loi en usant de méthodes musclées pour attraper les criminels, façon Charles Bronson à la française.
Le film fait ouvertement référence à d’autres icônes américaines : Steve McQueen et sa Ford Mustang vert foncé de Bullitt.
La course-poursuite parisienne du Marginal et la voiture choisie pour son héros sont un hommage à cette scène légendaire du cinéma d’outre-Atlantique et à son acteur pilote disparu trois ans avant le tournage du film de Jacques Deray.
Une préparation musclée
La Ford Mustang du Marginal est un coupé de 1966. Ses performances, et notamment celles de son V8 4.7 à échappement latéral libre, furent d’abord améliorées par le premier propriétaire de l’auto avant que d’autres transformations ne soient réalisées pour le tournage. La voiture fut rabaissée et élargie. Son toit fut en partie découpé pour être vitré pour les besoins du film. En fonction des plans, on voit cette Mustang ou une autre, d’apparence proche mais moins transformée, qui fut endommagée durant le tournage et détruite un peu plus tard.
La voiture est donc la seule Mustang « survivante » du Marginal.
Une voiture à l'état d'épave... ressuscitée !
Longtemps conservée par un membre de l’équipe de Rémy Julienne, la Mustang du film finit par partir à la casse. Elle fut récupérée à l'état d'épave par un collectionneur, avant qu’il n’en reste plus rien. Ce nouveau propriétaire entama alors une restauration complète de l’auto pour lui redonner ses spécifications cinématographiques.
« Cette Mustang (...) a eu une vie des plus mouvementées, ayant été retrouvée à l’état d’épave et incomplète » « nous précisons donc que cette Mustang a été reconstruite à partir d’une autre Mustang donneuse et de multiples pièces qui ne correspondent donc pas à un modèle Export de 1967 ».
Source : largus.fr/CrockettMiamiVice
jeudi 31 juillet 2025
CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION MOTO - RESTAURATION D'UNE MONET GOYON 125 S6V
Séduisante dans sa livrée rouge et noire la petite Monet 125 est apparue au catalogue de la firme de Pantin en 1949. Ce petit utilitaire vendu au prix très accessible de 120.000 frs bénéficiait d'un équipement complet et de quelques originalités en option comme les correcteurs de suspensions Grégoire.
Source : mynette75
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