lundi 9 décembre 2024

CLUB5A - LA SAVIEZ-VOUS ??....LA PLUS PART DES VOITURES CONSTRUITES PAR ROLLS-ROYCE CIRCULENT TOUJOURS !!


75% des voitures produites par Rolls-Royce sont toujours en circulation aujourd’hui. Une histoire aperçue sur Internet racontait même l’histoire d’un vieil homme conduisant la même auto de la marque depuis 1928 !
Rolls-Royce a commencé à fabriquer des voitures en 1904. L'usine de Goodwood est le cinquième lieu de fabrication en Angleterre des automobiles Rolls-Royce depuis la fondation de la marque. Les quatre précédentes étaient situées à Manchester, Londres, Derby et Crewe. 
À la suite de la mort de Charles Rolls en 1910, le logo « RR » est passé du rouge au noir. En 1906 est créée Rolls-Royce Limited, puis, en 1973, la division automobile devient Rolls-Royce Motors après la scission d'avec la division aéronautique de la marque. En 1998, Vickers, propriétaire de la marque, décide de vendre Rolls-Royce Motors. 
Le constructeur allemand BMW, qui fournit déjà des moteurs et d'autres pièces pour les voitures Rolls-Royce et Bentley est intéressé, mais son offre finale de 340 millions de livres sterling est battue par Volkswagen, qui offre 430 millions. Volkswagen acquiert ainsi les ateliers de montage de Crewe, les droits sur l'emblème Spirit of Ecstasy et sur la forme typique de la grille de radiateurs, ainsi que la marque Bentley, mais n'est toutefois pas propriétaire de la marque « Rolls-Royce » ni du logo « RR ». 
En effet, une stipulation dans les documents de propriété de Rolls-Royce imposait que Rolls-Royce plc, qui fabrique les moteurs d'avions Rolls-Royce, conserverait les marques déposées que sont le nom et le logo « Rolls-Royce » si la division automobile était vendue, et Rolls-Royce plc choisit de céder une licence non à Volkswagen mais à BMW, avec qui elle venait de conclure des contrats, pour 40 millions de livres. Suite à l'accord passé entre les deux constructeurs, BMW continue de livrer les moteurs et équipements à l'usine Rolls-Royce de Crewe, passée sous contrôle de Volkswagen, jusqu'à 2003. 
 En 2003, Volkswagen cède le droit d'utilisation de la marque Rolls-Royce à BMW, qui délocalise le siège social et la production des voitures à Goodwood, dans le West Sussex, à 100 km au sud de Londres. En avril 2019, suite à la réorganisation du directoire du groupe BMW, Pieter Nota remplace Peter Schwarzenbauer au poste de directeur des ventes...
Source : out-the-box.fr-Automoto

CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? Les voitures Studebaker étaient connues pour leur durabilité et leur fiabilité...

 

Au début du 20e siècle, l'industrie automobile était en plein essor, et la vue d'une voiture Studebaker dans un atelier de réparation reprend l'esprit d'innovation et d'artisanat de l'époque. Le Studebaker, à l'origine un constructeur de wagons, est devenu un symbole de l'ingéniosité américaine. 
Vers 1915, dans la ville animée de San Francisco, les ateliers de réparation étaient des pôles essentiels pour l'entretien de ces nouvelles machines qui révolutionnaient le transport. 
L'image d'un mécanicien de garage travaillant sur une voiture Studebaker capture un moment dans le temps où la fusion de la technologie et du travail manuel était à son apogée. Les mécaniciens de cette époque étaient des artisans hautement qualifiés, familiers avec chaque écrou et boulon de ces premiers véhicules. 
Ils ont joué un rôle crucial en veillant à ce que ces voitures, qui devenaient de plus en plus populaires, restent en bon état de fonctionnement. Ce garage particulier, placé sur fond de l'environnement dynamique de San Francisco, aurait été un lieu où l'innovation a rencontré la pratique. 
Les voitures Studebaker étaient connues pour leur durabilité et leur fiabilité, et les mécaniciens ont été formés à tout gérer, de l'entretien de routine aux réparations complexes. Le garage aurait été équipé des outils et pièces nécessaires, reflétant les avancées industrielles du début du XXe siècle. 
La relation entre le mécanicien et la machine était intime ; chaque réparation nécessitait une compréhension approfondie de la mécanique de la voiture et une approche pratique qui se perd souvent dans les processus de réparation plus automatisés d'aujourd'hui. 

Cet instantané de 1915 montre non seulement l'importance du Studebaker dans l'histoire de l'automobile américaine, mais met également en évidence le rôle essentiel de la mécanique dans le maintien des roues du progrès. 
C'est un témoignage d'une époque où l'artisanat et la technologie coexistaient harmonieusement, ouvrant la voie à l'industrie automobile moderne. 
Source : Shadows of History

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - MOB A TROIS PATTES !!


 

CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? ....La société Anderson construit 13 000 voitures électriques entre 1907 et 1939.

 

Le Saviez-vous ? 
La voiture électrique existe depuis 1910. 
Le modèle D de Detroit pouvait parcourir 340 km à une vitesse maximale de 32 km/h, une vitesse normale pour l'époque. 
Une batterie plomb-acide rechargeable équipele véhicule. La société Anderson construit 13 000 voitures électriques entre 1907 et 1939. 
Le Detroit Electric est vendu principalement aux conducteurs et aux médecins qui voulaient un démarrage fiable et immédiat au lieu du démarrage manuel laborieux les voitures à moteur à combustion. 
Un exemple subtil du raffinement de conception de cette voiture a été la première utilisation d'une vitre courbée dans une voiture de serie, une caractéristique coûteuse et complexe à fabriquer. Les lobbys du pétrole et autres n'ont pas permis son évolution. 
Source : Le Journal Catalan

CLUB5A - RESTEZ CONNECTES AU BLOG DU CLUB 5A CARCASSONNE...


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - CET HIVER EN ANCIENNE JE ROULE !

 

Il n’y a aucune raison pour ne pas rouler en Ancienne l’hiver, à condition de l’avoir inspectée et préparée pour la mauvaise saison. Certains rallyes historiques les plus célèbres se courent en hiver ! Certes, nous n’allons pas nous attaquer au tour de Corse ou au Monte Carlo Histo, mais faire rouler une Ancienne à la mauvaise saison est un joli défi par rapport à la promenade dominicale estivale. Et ce n’est pas si compliqué que ça. Il suffit que notre Ancienne soit en bon état et préparée pour… 
LES PNEUS 
Ca peut paraitre évident, mais si des pneus usés ne posent pas trop de problème l’été, les choses seront différentes quand la route sera détrempée. Donc on s’assure que les pneus sont en bon état et ont au moins 3 mm de profondeur de sculptures. On vérifie également si ils n’ont pas plus de 8 ans (code DOT). Au delà, le pneu aura séché et durci. Donc, ce sera une savonnette sur route mouillée. Pas d’économie de bouts de chandelles, on ne joue pas avec la sécurité … 
L’ADMISSION D’AIR 
Sous le capot, assurez-vous que l’admission d’air du filtre à air est réglée pour aspirer l’air chaud autour du collecteur d’échappement. Cela empêche le givrage du carburateur les matins froids ou humides. Certaines voitures ont un clapet automatique, certaines ont un levier pour régler et d’autres vous obligent à repositionner manuellement le tuyau d’admission.
 LES LIQUIDES 
On vérifie et on fait l’appoint des niveaux d’huile sans oublier la boite et le pont. Si le liquide de refroidissement a plus de deux ans, vidangez le système de refroidissement et remplissez-le avec un mélange d’un antigel à l’éthylène glycol prêt à l’emploi. Si vous avez prévu de rouler par temps froid, n’hésitez pas à faire une vidange et « tomber » d’un grade l’huile utilisée. Si vous tournez usuellement en 20W50, ce sera bien de passer en 15W50 pour l’hiver. Et au démarrage du petit matin n’hésitez pas à faire tourner le démarreur « à vide » (sans mettre le starter ou sans accélérer) pour faire monter l’huile dans les conduits avant que le moteur ne s’ébroue. 
 ELECTRICITÉ 
La batterie doit être au mieux de sa forme pour rouler en Ancienne en hiver. Une batterie fatiguée révélera toutes ses carences en hiver. Utilisez un chargeur « intelligent », c’est excellent pour la faire durer et la garder au mieux de sa forme. Pensez à relire notre article sur la charge batterie. Vérifiez l’efficacité de vos phares. Un réflecteur piqué ou simplement poussiéreux, ça peut être 50 % de lumière en moins. Adoptez des ampoules de phares halogènes, c’est le minimum pour évoluer sereinement au milieu des « full led » ou « xénons » contemporains. Si vous êtes en 6V, il faut peut-être reconsidérer le roulage nocturne en hiver, car c’est vraiment faiblard … Nettoyez ou remplacez les bougies et les vis platinées et réglez l’allumage au petits oignons. C’est la clé pour démarrer sans difficulté. 
 PORTES, CHROMES ET JOINTS 
Injectez dans les serrures un peu d’huile siliconée ou graphitée, elle n’en fonctionneront que mieux ! Nettoyez intensivement le dessous de la voiture qui ne doit pas présenter le moindre reliquat de boue. Boues et pluies, ça donne une éponge qui va ronger vos soubassements. N’hésitez pas à percer 3-4 petits trous de 4 mm dans vos bas de caisse pour les traiter avec de la cire pour dessous de caisse. Pulvérisez généreusement la cire pour cavité dans les corps creux. Ca doit dégouliner généreusement ! Enduire les chromes de vaseline ou de WD-40 qui les protégeront du risque de rouille. Retouchez les éclats de peinture, cirez généreusement la carrosserie avec un produit hydrofuge. Les joints de porte seront protégés par une friction à la glycérine pour éviter qu’ils ne gèlent par temps humide. Vérifiez que les joints de pare-brise ne fuient pas, et si c’est le cas faites un saut chez un spécialiste du pare brise pour qu’il vous pose un petit filet de silicone pour étancher tout cela. 
 GESTION DE LA TEMPÉRATURE MOTEUR
 Certaines voitures nécessitent d’occulter partiellement le radiateur. C’est parfois prévu avec un panneau coulissant, c’est parfois artisanal avec un bout de carton. On garde quand meme un oeil attentif sur la jauge de température pour vérifier que la voiture fonctionne dans la plage optimale Les plus modernes disposent d’un thermostat mais si la voiture n’atteint jamais la bonne température, il est probablement grippé. Il faut alors le remplacer … Pensez également à vérifier le fonctionnement du dispositif de chauffage de l’habitacle, souvent oublié car inutile l’été. Il a tendance à s’entartrer et à devenir inopérant. C’est quand même bien utile pour évacuer la buée et ne pas attraper un rhume ! 
LA PLUIE 
Nous avons hésité à rédiger ce paragraphe, tant ça nous semble relever du bon sens : Si les vieux balais « origine » durs comme du bois ne sont pas pénalisant en été, utilisez systématiquement des balais d’essuie-glace neufs l’hiver. Pas si évident que ça d’en trouver pour tous les modèles anciens. Anticipez et prévoyez cet achat ! Une vérification du moteur d’essuie-glace sera également une bonne chose, de même qu’un petit graissage préventif de la tringlerie. 
LA NEIGE
Difficile d’évoquer une ancienne en hiver sans évoquer l’hypothèse d’un roulage sur la neige. Ca tombe sous le sens, on devra se munir de chaines adaptées à la taille de nos pneus. Peut-être plus facile à dire qu’à trouver … soyez prévoyant ! Il n’y a rien de particulier à prévoir, par contre au retour rincez généreusement TOUTE la voiture à l’eau claire. On ne chipote pas, la moindre molécule de sel restant sur et sous votre voiture sera une potentielle source de rouille à venir ! 
 ET POUR FINIR … 
N’oubliez pas de vous munir d’un gilet réfléchissant, d’un triangle de signalisation, d’une lampe de travail à LED et de votre trousse à outils d’urgence ! Ainsi préparée, vous êtes paré pour rouler en Ancienne en hiver ! 
Source : autocollec.com/La République des Pyrénées
La République des Pyrénées

dimanche 8 décembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - RONDE DE NOEL 2016 - UNE MERE ET UN PERE NOEL QUE NE CONNAISSONS BIEN AU SEIN DE NOTRE ASSOCIATION...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - ATTENTION A LA ZONE ROUGE !!


 

CLUB5A - PILOTE AUTOMOBILE DE LÉGENDE - GERARD LAROUSSE LE PILOTE COMPLET !!

Double vainqueur des 24 heures du Mans, Gérard Larrousse a tout connu ou presque de la course automobile. Pilote complet aussi à l'aise sur la route que sur la piste, il rencontra ensuite le succès comme directeur sportif de Renault avant de fonder sa propre écurie de Formule 1. 
 A l'origine, rien ne prédisposait ce jeune homme sage et plutôt réservé à la course automobile. L'incursion du rallye du Var lors de vacances dans le Midi éveille une vocation encore timide. Rentré à Lyon (où il est né le 23 mai 1940), il s'amuse d'abord à enchaîner les virages sur les petites routes proches du domicile familial avant de s'engager dans son premier rallye en 1961. A la Simca Aronde succède bientôt une Dauphine 1093 avec laquelle il enlève ses premiers succès de catégorie, puis une R8 Gordini. Intégré dans l'équipe officielle NSU, il termine 2e du Championnat de France en catégorie Tourisme en 1966 et signe alors pour la saison suivante chez Alpine Renault. 
Vainqueur de neuf rallyes avec la Berlinette, il s'impose comme l'un des espoirs les plus sûr de la spécialité et débute dans le même temps en circuit sur les prototypes de la marque dieppoise. Pas très heureux en 1968 en rallyes, perdant notamment le Monte Carlo sur une plaque de neige déposée par des spectateurs, il multiplie alors les sorties en circuit et enlève sa première victoire en monoplace sur une Formule France. 
La piste l'attire de plus en plus, mais lucide, il sait que l'Alpine 3 litres est sans avenir et signe chez Porsche pour 1969. Débutant la saison par une 2e place au Monte Carlo derrière son équipier Vic Elford, il est assuré ensuite d'un programme en circuit. 
Disputant pour la première fois les 24 heures du Mans avec de réelles chances de succès, il va vivre une expérience terrible. Hans Herrmann son équipier perd le dernier sprint face à Ickx au terme d'un final époustouflant et Gérard mettra plusieurs semaines à se remettre de cet échec. Deux belles victoires en Corse et au Tour Auto relance "la machine" en fin d'année, mais le succès lui échappe à nouveau au Monte Carlo où il signe une nouvelle 2e place en janvier suivant. Aligné désormais sous les couleurs du Martini Racing, il signe ensuite de nombreux succès en catégorie 3 litres avec sa Porsche 908-2 et termine second des 24 heures sous le déluge pour ses débuts au volant d'une 917. 
Pilier de l'équipe Porsche, il forme en 1971 avec Elford, l'équipage de pointe du Team Martini et enlève son premier succès en Championnat mondial à Sebring, avant de triompher au Nürburgring. Après une saison difficile avec la Lola de l'équipe Bonnier, il rejoint les rangs de Matra en 1973. Si Beltoise-Cevert forme l'équipage le plus brillant, Pescarolo-Larrousse "plus sages" cumulent en revanche les succès. 
Vainqueurs des 24 heures, ils s'imposent également dans quatre manches du Championnat et s'imposent comme les principaux artisans du titre mondial de Matra. 1974 sera tout aussi faste pour les deus hommes qui récidivent au Mans, mais Matra a décidé de renoncer à la compétition. Larrousse qui a piloté avec succès un prototype Alpine Renault dans le Championnat d'Europe 2 litres, rejoint l'équipe de ses débuts en 1975. 
Après un premier succès heureux à Mugello avec l'Alpine Turbo, il ne connaît ensuite que des déboires. Il se console en monoplace signant une victoire à Hockenheim, prouvant ainsi à 35 ans qu'il reste l'un des pilotes les plus rapides du moment. Pourtant à la fin de l'année, Larrousse décide de renoncer à la compétition pour prendre la direction de Renault Sports. 
Trois ans plus tard, il mènera les voitures jaunes à la victoire au Mans avant de se donner à fond dans le programme de Formule 1 de la Régie. Le titre mondial manqué de peu en 1983 déstabilisera l'équipe et à la fin de la saison suivante, Larrousse s'en ira prendre des fonctions similaires chez Ligier avant de fonder sa propre écurie de F1 en 1987. Le succès ne sera hélas pas au rendez-vous et en 1994, l'équipe française quitte la scène. 
Depuis Gérard Larrousse s'est pris de passion pour les épreuves historiques où il montre chaque fois qu'il n'a rien perdu de son talent.
Source : Circuit Paul Ricard - caradisiac

CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? ...Herman Görings possédait une Mercedes 540K...

 

Le sinistre Reichsmarschal Herman Görings possédait une  Mercedes 540K entièrement équipé d’une carrosserie blindée et des verres pare-balles .
 Elle a été retrouvé à dans la résidence du "nid d'aigles" d'Hitlers dans les alpes allemande (Bavière) : au Berchtesgaden
Source : Military Girl

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LAVAGE ET GRAISSAGE AUTO !!


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Nouvelle papamobile : le pape François va rouler à l’électrique...

 

À l’occasion de l’ouverture du Jubilé 2025 le 24 décembre prochain, le souverain pontife étrennera une nouvelle Mercedes Classe G animée par un moteur à batterie. Le Vatican n’a pas attendu la bascule complète de l’Europe vers le véhicule électrique, à compter du 1er janvier 2035. 
Fournisseur de voitures au Vatican depuis 94 ans, Mercedes vient de concevoir un modèle issu de la Classe G 580 électrique. Le nouveau véhicule vient d’être livré à Rome par Ola Källenius, le président de la marque, Britta Seeger, la directrice des ventes et du marketing, et Marc Langenbrinck, président de Mercedes Italie. Sa première apparition publique est prévue le 24 décembre. 
Le pape François va inaugurer le Jubilé 2025, un moment de grande importance spirituelle, ecclésiale et sociale, favorisant «la recomposition d’un climat d’espérance et de confiance», après les années de pandémie. 
 Le Classe G n’est pas un inconnu au Vatican. Depuis 45 ans, ce tout-terrain issu d’un véhicule militaire accompagne la plupart des apparitions publiques du souverain pontife. Ce dernier est sans aucun doute le plus original de la lignée puisque sa propulsion électrique lui permettra de se déplacer sans bruit et sans émettre de polluants. 
 Un an de travail Comme pour tous les véhicules réalisés pour le pape, ce nouveau Classe G a été développé en étroite collaboration avec les équipes du Vatican. 
Ces dernières ne manquent pas de souligner que cette papamobile contribue à la réalisation de l’encyclique «Laudato Si» où le pape y décrit la nécessité d’un développement durable. 
Le Saint-Père sera ainsi le premier pape à voyager dans une Mercedes électrique lors de ses apparitions publiques. La conception de la nouvelle papamobile a demandé un an de travail. À partir d’un Mercedes G580, les équipes de Mercedes et de Graz où est située l’usine de production ont réalisé un grand nombre de modifications pour répondre au cahier des charges fixé par les responsables de la flotte de voitures du Vatican. Le toit a été supprimé au niveau du montant B. 
Ce dernier a été harmonieusement intégré dans la paroi latérale pour créer un profil latéral unique. 
 En cas de pluie ou de mauvaises conditions météorologiques, le pape pourra compter sur un toit rigide séparé. La porte arrière gauche a été retirée et reconstruite d’une seule pièce et soudée sans couture de carrosserie. 
Quant au côté droit, les charnières de la porte arrière ont été déplacées du côté opposé. 
À l’arrière, la banquette a été remplacée par un siège individuel positionné au centre et réglable en hauteur. Ce siège pivote de manière à s’adresser à la foule des fidèles sans avoir à tourner la tête. Derrière, le siège du pape, deux sièges individuels ont été intégrés à gauche et à droite pour le personnel de sécurité. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? ...LA MATHIS VL333 : Signifie Voiture Économique Légère - 3 Roues, 3 Places et 3 Litres par 100 km.

 

Le seul prototype survivant en 1942 de la Mathis VL333 ‎ ‎1940 - Paris est sous occupation. Dans l’usine de l'entreprise Mathis - située en banlieue parisienne à Gennevilliers - sous un grand secret se déroule le travail sur une voiture pour l’après-guerre. Le nom de code est VEL 333, qui signifie Voiture Économique Légère - 3 roues, 3 places et 3 litres par 100 km. 
C’est l’ingénieur aérodynamique Jean Andreau qui lui a donné sa ligne futuriste. Cette voiture révolutionnaire - dont la carrosserie était en aluminium et pesait plus de 380 kg - était propulsée par un moteur plat deux cylindres de 707cm3 refroidi par l’eau. La Mathis 333 fait ses débuts au Salon de l’Automobile de Paris en 1946. ‎ ‎Selon la plaque devant la voiture, il est écrit : Le VL333 est construit à partir de tôle d’aluminium de calibre 20. 
« La carrosserie est soudée avec près de 6 000 points de soudure. Il n’y a pas de châssis, c’est une bulle. Le moteur est un 700cc plat-jumeau, et la voiture est à traction avant avec une suspension entièrement indépendante. Seuls 9 prototypes ont été fabriqués pendant la guerre de 1940 à 1945 ; ils étaient cachés aux Allemands, car tout travail sur des automobiles pour le secteur civil était interdit. Cette voiture est la seule survivante. » 
Source : Antique, Vintage, Classic, Rare & Other Vehicles

CLUB5A - LA SAVIEZ-VOUS ? ...EN 1941 HENRY FORD A CONSTRUIT UNE VOITURE EN PLASTIQUE DE CHANVRE...

 

Henry Ford a construit une voiture en plastique de chanvre qui fonctionnait au carburant de chanvre il y a presque un siècle. Le modèle bioplastique T de Ford de 1941 était fait de chanvre, de lin, de blé et de pulpe d'épinette, ce qui rendait la voiture plus légère que la fibre de verre et dix fois plus dure que l'acier, a écrit le New York Times le 2 février 1941. La voiture fonctionnait à l'éthanol fait à partir de chanvre ou d'autres déchets agricoles. 
Dimitry Samuel Pomié

CLUB5A - RESTEZ CONNECTES AU BLOG DU CLUB 5A CARCASSONNE...


 

CLUB5A - SPORT AUTO - LA RENAULT DAUPHINE FRUA SPORT ...C'ETAIT EN 1956 !!

 

Renault Dauphine Sport – Frua (1956)... La Dauphine de Renault est proposée à la commercialisation en 1956, petite berline populaire qui vient épauler la 4CV, son succès est immédiat. Par son prix bon marché et les possibilités de développement de son moteur, la voiture intéresse de nombreux artisans-constructeurs, stylistes et mécaniciens amateurs qui vont la modifier et (tenter) de proposer des variantes au grand public. Au milieu des années 1950, la production automobile a complètement fini sa reconstruction suite à la guerre et nombre de constructeurs ont des usines à la pointe. Renault par exemple est un expert en matière de production de masse pour sortir les populaires 4CV et la nouvelle venue, la Dauphine, dans une toute nouvelle usine située à Flins. 
Si la production française est alors hétéroclite (et va de la petite Rovin à la somptueuse Facel Vega Excellence), un créneau semble oublié, celui des voitures de loisirs alors occupé par les coupés et cabriolets. Certes, quelques constructeurs ont investi le segment comme Simca avec la Simca Sport ou les coupés sur base d’Aronde, Panhard avec la Junior et les cabriolets Dyna, Peugeot avec la 403 Cabriolet… Mais l’offre reste maigre par rapports à nos pays voisins. Quand la Renault Dauphine apparaît en 1956, plusieurs carrossiers flairent le bon filon et lancent des études pour réaliser un coupé, tout en reprenant le moteur et les autres éléments mécaniques. L’objectif était de proposer une voiture de loisirs bon marché et d’investir ce segment délaissé. D’autres carrossiers réalisent des créations sur la base de la Dauphine dans l’espoir peut être de se faire remarquer par la Régie et peut-être obtenir une commercialisation du modèle. 
 Est-ce cette motivation qui a poussé Pietro Frua à réaliser un coupé sur base de Dauphine en 1956 ? En réalité, l’histoire est plus complexe. Avant même la présentation de la Dauphine, Renault a demandé à plusieurs carrossiers des propositions de carrosserie coupé en reprenant la base de la Dauphine. Ghia aurait été missionné par Renault et donne la mission à Pietro Frua en raison d’une exclusivité qu’avait Ghia envers Volkswagen du fait de la création du Karmann Ghia. C’est ainsi que serait apparue cette voiture, présentée lors du salon de Milan 1966 sous le nom de « Dauphine Sport ». Les lignes de ce coupé se remarquent , relativement fluides et dynamiques, elles ont le charme des créations italiennes des années 1950.
 Rétrospectivement, on peut trouver un air de famille avec la Renault Floride, surtout au niveau du pavillon. La Floride arrive quelques années plus tard avec un prototype réalisé par ce même Petro Frua. La voiture reste toutefois surchargée sur ses faces avant et arrière avec une abondance de chromes et de lignes un peu trop travaillées. Néanmoins, la voiture se retrouve quelques mois plus tard à Paris où elle aurait été immatriculée pour la première fois. On sait que cette voiture a été achetée par Jean Rédélé sur ordre des dirigeants de Renault. En effet, Jean Rédélé faisait parti des études sur le coupé Renault qui deviendra la Floride, et l’un des prototypes recalés par la Régie et réalisé par Michelloti intéresse fortement Rédélé pour concevoir un cabriolet Alpine. Cependant, ce prototype avait été financé par Renault, les dirigeants de la Régie voyaient d’un mauvais œil apparaître une concurrente à la future Floride. Et quand Rédélé critique ouvertement ce prototype de Frua, les dirigeants de Renault ordonnent à Jean Rédélé de prendre à ses frais la possession du prototype Frua présenté 1956 et de garder cette étude sous le coude. Mais quand Renault accélère le programme Floride avec un second prototype, Rédélé peut désormais faire ce qu’il souhaite de ce prototype, qui aurait été envoyé en Cote d’Ivoire après avoir été conservé quelques années… 
Source : lautomobileancienne.com/passion auto sport du var
passion auto sport du var