lundi 28 octobre 2024

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - La célébration des modèles historiques....

Qu'elle soit utile, familiale ou sportive, l'automobile endossait les habits de la modernité voici soixante-dix ans. Quel lien entre la Citroën 2CV, la Peugeot 203 et la Porsche 356? 
Ces trois modèles sont des enfants de la Libération. Il y a soixante-dix ans. Lorsque l'automobile n'était pas le mal nécessaire qu'elle est devenue aujourd'hui aux yeux d'une frange de l'opinion publique manipulée, mais l'instrument de la liberté et un formidable moyen de rapprocher les nations et les cultures. Au sortir de plusieurs années de brimades et de privations, ces trois modèles rivalisent d'ingéniosité pour propulser les populations sur les routes de l'évasion et de la liberté retrouvée. 

De ces trois phénomènes qui ont transformé le paysage et qui, chacun à leur manière, incarnent une vision de l'automobile qui perdure encore aujourd'hui. La 2CV symbolise la voiture utile, 203 la berline familiale, la 356 la voiture de sport. La première naît avant la guerre. Alors que son avant-gardisme et ses idées révolutionnaires viennent d'accoucher de la Traction Avant, Citroën imagine que la politique économique et sociale du Front populaire, marquée par l'instauration des congés payés, crée les conditions d'un vaste mouvement de démocratisation de la voiture. 
Visionnaire, Pierre-Jules Boulanger, le président de la marque, diligente une étude auprès de 20.000 personnes appartenant à toutes les catégories sociales. Sous le nom de code «TPV» pour «très petite voiture» prend forme le concept insolite de «quatre roues sous un parapluie». 

Six ans d'attente pour la livraison d'une 2CV Sorte de couteau suisse automobile, cette voiture populaire devait être économique, capable de transporter quatre personnes et quarante kilos de bagages. Sa suspension à grand débattement devait lui permettre d'emprunter les plus mauvais chemins et de rouler à travers champs sans casser un seul œuf dans le panier! 
En 1938, les premiers prototypes sont aperçus dans les environs de la piste d'essais de La Ferté-Vidame. Le début de la guerre met en veilleuse le programme et la quasi-totalité des exemplaires de présérie est détruite afin d'échapper à l'ennemi. Trois d'entre eux seront dénichés en 1994 dans le grenier d'un bâtiment du centre du Perche! Au terme d'une longue gestation, la 2CV apparaît deux ans après la Renault 4CV. Le 7 octobre 1948, Pierre Boulanger attend le passage du président de la République, Vincent Auriol, qui inaugure le Salon de l'auto, pour soulever la bâche. 
La voiture ne ressemble à aucune autre. Créée en dehors des modes, réfutant toute étiquette sociale, la 2CV affronte un accueil mitigé. On ne bouscule pas impunément l'ordre établi. Sa silhouette insolite, son capot en tôle ondulée, sa finition sommaire, sa banquette arrière démontable suscitent mépris et sarcasme. Cela ne va pas durer. En 1950, le délai de livraison avoisine six ans. Si le clan de ses détracteurs ne désarme pas, en juin 1965, elle franchit le cap des 2,5 millions d'unités. Cette année-là, 154.058 Français ont choisi la 2CV, un acheteur sur dix d'un véhicule neuf. 'euphorie qui règne en octobre 1948 dans l'enceinte du Grand Palais gagne le stand Peugeot où, à quelques mètres de la 2CV, trône la version définitive de la 203. Sous influence américaine avec ses rondeurs empruntées à la Lincoln-Zephyr de 1936, cette berline propulse Peugeot dans une ère moderne. La caisse est autoporteuse, suspendue à l'avant par des roues indépendantes et à l'arrière, c'est nouveau, des ressorts hélicoïdaux. Révélée un an plus tôt à la presse et aux concessionnaires lors d'un dîner organisé au Théâtre du Palais de Chaillot, à Paris, la 203 s'affirme comme «la voiture de luxe économique». 
Alors que la 2CV se contente d'une vitesse de 60 km/h, la familiale franc-comtoise promet de flirter avec les 115 km/h grâce à son 4-cylindres 1,3 litre de 42 ch équipé d'une culasse en aluminium et à son poids réduit à 950 kg. Les premières livraisons débutent en janvier 1949 et, fidèle à son positionnement de berline bourgeoise, la 203 n'est disponible qu'en gris acier, lie-de-vin ou noir. Elle sera produite à plus de 685.000 unités jusqu'en 1960. En Autriche aussi, il est question de modèle de grande série. À Gmünd, en Carinthie, Ferry Porsche s'appuie sur la voiture du peuple (la VW Coccinelle) créée par son père Ferdinand pour développer à moindres frais une voiture de sport. Achevée en février 1948, la première voiture de Porsche constructeur (matricule 356.001) est un roadster dépouillé conçu autour d'un châssis tubulaire et d'un 4-cylindres à plat en position centrale. 
Porsche va lui préférer une architecture de la Volkswagen avec le moteur en porte-à-faux arrière et un châssis constitué de caissons en acier soudés pour la 356 de série. La carrosserie en aluminium s'inspire des formes aérodynamiques du Type 64 conçu pour la course Berlin-Rome de 1939 annulée. Le 4-cylindres 1,1 litre de la VW permet d'atteindre 140 km/h. La 356 déclinée en coupé (Sport Limousine) et en cabriolet est homologuée en août 1948. La production à l'unité démarre dans les baraques en bois de Gmünd au cours de l'hiver 1948. À peine 46 unités de la première série seront produites jusqu'en mars 1950 de cette sportive qui apporte du sang neuf avec sa gamme de coloris chatoyants. Au rythme d'incessantes évolutions, la 356 va prendre du galon et devenir l'une des voitures de sport parmi les plus prisées, s'appuyant sur sa légèreté pour rivaliser avec des voitures beaucoup plus puissantes. La première Porsche va surtout faire école. La 911, diffusée depuis bientôt cinquante-cinq ans, lui doit beaucoup. 
Source : lefigaro.fr - -Citroën France

dimanche 27 octobre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - PHOTO PRISE AVANT LE RECHAUFFEMENT DE LA PLANETE ...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - UN ATELIER DE MECANIQUE OU IL NE FAUDRA JAMAIS FAIRE REPARER SA VOITURE !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - VOUS DESIREZ FAIRE DU CAMPING-CAR D'UNE MANIERE ECONOMIQUE ?....NOUS AVONS DES SOLUTIONS !!


 

CLUB5A - LE DESSIN DU MOIS - LA "TANK DE CHENARD ET WALKER ...

 

Ben, c'est dans le Midi, justement, un atypique « Tank » Chenard & Walker qui se balade au bord de la Méditerranée. Pour quoi ce surnom de Tank ? 
parce que ces voitures sportives aux premières carrosseries dites pontons qui englobaient les roues ressemblaient quelque peu aux chars d'assaut apparus moins de 15 ans plus tôt pendant la Grande Guerre. 
On se rappelle que les Anglais, en pleine expérimentation avaient baptisé les premiers prototypes « tank » (réservoir) pour tromper les éventuels espions allemands. Chenard & Walker type Y8 Moteur 1500 cc.. 
Source : Thierry Dubois N7

jeudi 24 octobre 2024

CLUB5A - SORTIE AUTOS - 14 ème RENCONTRE INTERCLUB C’ETAIT LE 20 OCTOBRE 2024 .....LE RENDEZ-VOUS DES PASSIONNES DE VEHICULES ANCIENS !

 

Dimanche 20 octobre 2024, c’était la 14e rencontre interclubs Midi-Toulousain organisée cette année par le Club Auto RETRO Midi-Pyrénées, journée sur le thème du partage et de l’amitié. 
Il s’agissait, comme les éditions précédentes, d’une rencontre amicale entre les six clubs, et cela dans la joie et la bonne humeur, une journée où les passionnées de vieilles mécaniques devaient se rencontrer et ce fut le cas. 
Cette manifestation est organisée une fois par an au mois d’octobre à tour de rôle et a pour but de faire rencontrer les membres de chaque association et d’échanger sur notre passion commune. 
Cette année, une nouvelle fois, notre club était invité à participer à cette rencontre. Le point de ralliement était donné à 9 h dans la localité de Saint-Martin-du-Touch devant l’entrée principale d’Airbus. Là, nous avons été accueillis gentiment par un membre du CARMP.
 

Comme les autres années, le succès a été au rendez-vous pour les six clubs qui s’étaient réunis dans un premier temps pour un copieux petit déjeuner sucré salé, et ce fut le cas dès notre arrivée comme les années précédentes… 
Pour le club 5 A Carcassonne, c’était la troisième participation et nous profitons de cette occasion pour remercier les clubs des départements limitrophes d’Occitanie pour leurs invitations et leurs gentillesses. 
 J’ai nommé : 
 – Le cercle T, 
 – L’Amicale Denis Papin, 
  L’Amicale Frouzinoise 
 – Le club auto retro-midi Pyrénées 
 – L’AZA de Pamiers. Le départ de cette sortie s’est effectué, pour chaque club, de leurs villes respectives et ils ont convergé en direction de Saint-Martin-du-Touch pour s’y retrouver à 9 h.
 Après s’être restauré et avoir entendu le programme de la journée de notre hôte, sans tarder, tout le monde s’est mis en route pour rejoindre notre destination dans le département de la Haute-Garonne où avait lieu le regroupement au pied du Circuit de LAREOL à Cadours où nous attendait un représentant de FFVE (Bruno Vuiermoz) pour une commémoration sur l’histoire de ce circuit disparu. 

Le temps était compté, il fallait repartir avec l’ensemble des participants des autres clubs pour effectuer la jolie balade à travers la campagne en direction du Gers (60 km à l’aide d’un roadbook). 
L’objectif de cette escapade où un impressionnant cortège de voitures de collection défilait dans le paysage tel un « serpentin » de chrome et de jolies carrosseries (une centaine au total…) pour les passionnés de vieilles mécaniques était de se retrouver sur le parking du circuit. 
À la suite de cette commémoration, nous avons pris la direction de Marsan dans le joli département du Gers pour un excellent déjeuner au restaurant La Hournère. 
Cette rencontre avait comme prétention des valeurs très simples comme le partage de cette passion pour les voitures de collection et l’amitié entre les six clubs, et en cela, la journée était un franc succès. Merci aux organisateurs, aux bénévoles et à chaque président ainsi qu’aux participants. En fin de repas, les participants commencèrent à prendre le chemin du retour. Snif… Il fallait se quitter !…
 Rendez-vous l’année prochaine au mois d’octobre, toujours dans la région de Toulouse, pour une rencontre organisée cette fois-ci par le cercle T de Toulouse… Cette sortie interclubs était encore un grand succès et nul doute que les prochains rendez-vous dans les années à venir le seront ! 
Texte et photos : PL

CLUB5A - RETOUR SUR IMAGE SUR LA SORTIE SOLEX DU 13 OCTOBRE 2024....

Source : l'independant - J-G- Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - JEAN-PIERRE AVEC RICHARD ET JEAN-LOUIS LORS DES INSCRIPTIONS AVANT LE DEPART..


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - SIMPLE MESURE DE PRECAUTION ....


 

CLUB5A- PHOTO INSOLITE - La couleur rouge est une couleur qui exprime l'ardeur des sentiments.....à méditer !!


 

mercredi 23 octobre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - PHOTO DE GROUPE POUR LA SORTIE NEIGE...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - LES JOIES DE L'APERO AU CAMPING !!


 

CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - SIMCA ARONDE P60 ...UN INCROYABLE SUCCES COMMERCIAL !!

 

SIMCA ARONDE P60, IDOLE DES 30 GLORIEUSES...
La P60 c’est la 3eme et dernière génération d’Aronde. Elle constitue également le firmament de la marque et un incroyable succès commercial pour l’époque. Directement inspirée de la ligne des nouvelles Simca-Sport Océane et Plein Ciel, cette dernière génération séduit par ses lignes tendues et une indéniable élégance, qui assureront un franc succès de 1959 à 1963.
 Sur les flancs, deux grandes flèches décoratives, celle de droite étant surmontée de la signature « P 60 », qui disparaîtront en 1961. Simca, initialement filiale de Fiat créée en France pour contourner les droits de douane en vigueur à l’époque, a décliné plusieurs voitures emblématiques des 30 glorieuses et de l’ascenseur social à partir des années 50. L’Aronde est une de ces voitures, qui s’est déclinée en 3 générations durant 12 ans, à partir de 1951 : La première série (Simca 9 Aronde) a été produite de 1951 à 1953 avec une calandre en podium) La seconde série (Aronde) de 1954 à 1958 (avec calandre arrondie, puis circonflexe). La troisième série (Simca P60) est présentée officiellement à Monaco le 30 août 1958 et fera le Salon de Paris le 25 septembre 1958. 
UNE GAMME PLÉTHORIQUE Un des coups de maître de Simca (et de son directeur Henri-Théodore Pigozzi) a été de décliner l’Aronde en de multiples versions aux noms évocateurs comme la « Grand Large » (une berline coupé sans montant central), la version « Océane » (un élégant cabriolet), le coupé « Plein ciel » (avec grand pare-brise panoramique) et les plus classiques « Chatelaine » (break de chasse) ou versions commerciales « Messagère », « Intendante » et « Artisanale ». 
 En 1959, l’Aronde devient donc la Simca P60 (P semble-t-il pour Poissy et 60 pour marquer l’entrée du modèle dans les années 1960). Sa ligne, plus tendue, mieux équilibrée, et surtout plus moderne, la calandre circonflexe est abandonnée au bénéfice d’une grille « baleine » tandis que les ailerons arrière sont encore plus prononcés. 
Commercialement, la P60 propose 32 choix de couleurs et de teintes pour 12 carrosseries différentes, aux appellations plus évocatrices les unes que les autres : Elysée, Monaco, Etoile, Week-end, Monthléry … Répandue chez les constructeurs américains, la multiplication de l’offre de couleurs de caisse, et de leurs combinaisons, constitue une nouveauté en France. 
DES MOTEURS FIABILISÉS 
Sur les premiers mois, la P60 conserva la mécanique héritée de l’Aronde, mais dès septembre 1960, ce sera l’apparition des moteurs « Rush », qui se substituent aux « Flash » utilisés depuis l’origine de l’Aronde. Son architecture est proche, mais il adopte un vilebrequin 5 paliers et un épurateur d’huile centrifuge en bout de vilebrequin, deux vecteurs de fiabilité accrue. Sa version la plus poussée (Rush Super M) propose 70 cv. 
Le modèle 1960 fut également marqué par l’adoption d’une nouvelle suspension arrière dite « mixte » conservant l’archaïque ressort transversal à lames, mais l’associant à deux ressorts hélicoïdaux latéraux. Pour le reste, la P 60 demeure globalement de conception identique à l’Aronde. 
NOUVELLE PLANCHE DE BORD
 La P60 bénéficie d’une nouvelle planche de bord et d’un nouveau compteur de vitesse, à ruban puis à aiguille. La commande des vitesses reste, pour sa part, toujours au volant.
 L’aménagement intérieur soigné témoigne du souci de la marque de compenser un confort pénalisé par un essieu arrière rigide un peu sautillant. L’adoption de la suspension mixte, associant des ressorts hélicoïdaux au ressort à lames transversal améliorera un peu les choses. Outre une sellerie d’assez bonne qualité à banquette à dossiers séparés réglables à l’avant (sièges Autogalbes 3D), on remarque l’apparition des cendriers dans les portières arrière et l’emplacement pour un autoradio au centre de la planche.
 Lorsque la dernière P60 (une Etoile Super 6, de couleur Ivoire de Chine et au toit Rouge Cardinal) quitte la chaîne de montage le 22 mai 1963, la Société Industrielle de Mécanique et Carrosserie Automobile – Simca en abrégé – a produit environ 1,4 million d’unités des trois générations d’Aronde et devient le deuxième constructeur français derrière Citroën. Une place que, malheureusement, la marque de Poissy ne saura pas préserver dans les années 1970. 
 LES MOTEURS DE L’ARONDE P60 
Moteur 312-5 Rush (1960-1963) Alésage x course 74 mm x 75 mm Cylindrée 1 290 cm3 Taux de compression 7,2 : 1 Puissance maxi 52 ch à 4 600 tr/mn Couple maxi 9,6 mkg à 2 500 tr/mn Puissance fiscale 7 CV Moteur Rush Super (1960-1963) Taux de compression 8,5 : 1 Puissance maxi 62 oh à 5200 tr/mn Couple maxi 10,2 mkg à 2 600 tr/mn Puissance fiscale 7 CV Moteur 312 M Rush Super M (1960-1963) Taux de compression 8,5 : 1 Puissance maxi 70 ch à 5200 tr/mn Couple maxi 11 mkg à 2 900 tr/mn.
  Source : autocollec.com-passion auto sport du var

dimanche 20 octobre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - C'EST L'HEURE DU CASSE-CROUTE ....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - METTONS NOS REVES A EXECUTION...NOUS NE VIVONS QU'UNE FOIS !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - UNE 2CV CITROEN EN BOIS ET QUI ROULE !!

Un ébéniste à la retraite vient de terminer la fabrication d’une 2 CV en bois fruitier de Touraine, un véhicule grandeur nature unique au monde, équipé pour prendre la route, qui s’apprête à passer son 1er contrôle technique !
Michel ROBILLARD, titulaire d’un CAP de menuisier en bâtiment depuis l’âge de 14 ans, est passé des maquettes à la taille réelle avec un rêve : faire une voiture en bois à l’échelle 1 qui puisse rouler.

L’œuvre d’art a nécessité plusieurs essences de bois : du poirier pour l’ossature, du pommier pour le capot, du noyer pour les ailes et le volant, du merisier pour les portes et le coffre, de l’orme galeux pour le tableau de bord. « Les 22 ondulations du capot ont été faites dans la masse du bois. 
Et les finitions peaufinées aux ciseaux à bois et au papier de verre », précise t'il. L’automobile possède une mécanique d’origine. « J’ai travaillé sur un châssis de Diane 6 de 1966 et un moteur de 3 CV car le bois est plus lourd que la carrosserie originale.
 Je l’ai isolé sous le capot en mettant une protection thermique », explique-t-il. « Si les roues et les phares sont également d’origine, les enjoliveurs sont eux bien en bois, tout comme les sièges sur lesquels sont posés des cousins confortables ». L’étonnante voiture devrait passer le contrôle technique dans quelques semaines, mais le retraité aux doigts d’or a déjà eu des offres d’achat. Pas question pour autant de vendre. « Je voulais faire un objet qui reste après moi. J’aimerais que cette voiture soit un jour exposée dans une galerie d’art », lance le passionné, ou apparaisse dans un film cinéma..
Source : lanouvellerepublique.fr - France 3 Centre-Val de Loire