ASSOCIATION AUDOISE DES AMATEURS D'AUTOMOBILES ANCIENNES BP 563 11009 CARCASSONNE CEDEX
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Sorte de légende urbaine transposée à la campagne, on a tous entendu parler de cette dame très pâle qui faisait du stop la nuit le long d'une route, emmenée par des amis d'amis d'amis...
Elle aurait eu un comportement bizarre, insistant sur les dangers de la route, de plus en plus nerveuse jusqu'au moment où, au bord de la crise de nerf, elle demande au conducteur de la laisser là, au milieu de rien...
À peine reparti, le conducteur regarde dans son rétro, elle a disparu !..
Se renseignant plus tard au village voisin, notre automobiliste apprend qu'il y a quelques années, un effroyable accident automobile aurait tué cette femme qui, depuis, apparait de temps en temps pour faire du stop...
La légende de la femme blanche était née...
C'est tout de suite à ça que j'ai pensé en voyant cette photo, assez pâle, d'une femme attendant dans le fossé, qu'on la prenne en photo près d'une borne de la Nationale 7.
Avant, on le faisait souvent, comme pour apporter aux amis une sorte de souvenir de voyage, la preuve qu'on était allé là...
Après, les lieux ont finalement peu changé. Le Km 67 de la N7 dans l'Allier est toujours là, Roanne est toujours à 48 kilomètres mais la borne a été remplacée par une triste plaquette métallique. La circulation est à peine plus importante qu’à l’époque de la photo depuis qu’une déviation contourne la ville.
Quand à cette dame, apparition quasiment fantasmagorique au bord de la route, je ne saurai jamais qui c'était ni ce qu'elle faisait là... À moins que...
La région de l'Emilie en Italie a vu naître de grands noms de l'automobile comme Ferrari, Lamborghini mais aussi Amédée Gordini, en juin 1899. Il était donc logique qu'il s'oriente vers l'automobile et plus particulièrement la mécanique.
Par un étrange concours de circonstances, il s'installe à Paris. Très rapidement ses talents de metteur au point sont reconnus, il finit par monter son propre atelier à Suresnes en face des usines Talbot. Sa caractéristique est de donner de la puissance à de petits moteurs. Les pilotes amateurs n'hésitent pas à lui confier leur voiture.
A l'occasion de l'arrivée de la marque Simca-Fiat en France en 1934 il signe un contrat qui le liera à la course automobile. Très rapidement il doit choisir entre la course et l'atelier.
Après la fermeture des usines Bugatti, Amédée reprend quelques employés qui lui apporteront le professionnalisme de la marque et quelques avancées techniques. L'atelier Gordini devient un temple de la mécanique grâce au succès de ses préparations en course. Le génial mécanicien a toujours su s'entourer de jeunes et bons pilotes comme Trintignant, Simon, Berra...
Dès 1951 il invente le 6 cylindres, mais Simca ne le suivra pas ; face à des géants de la course comme Ferrari, la lutte est inégale. Le manque d'argent le freine, il prend du retard technique sur ses concurrents.
Il gagne enfin le Grand Prix de Pau et grâce à ses primes de courses, il arrive à faire survivre ses employés.
En 1955 aux 24 heures du Mans, l'accident de Pierre Levegh et les 80 spectateurs fauchés en bord de piste sonnèrent la fin provisoire de la course automobile. Gordini doit licencier son personnel, mais Renault lui lance une bouée de sauvetage avec la Dauphine Gordini.
Par de très larges extraits de courses d'anthologie, des témoignages de proches et de pilotes automobile, ce film nous dresse le portrait émouvant d'un des génies de l'automobile. Source : imineo.com
Celle-ci, la Hoffmann, est assez connue dans certains cercles comme "la voiture la plus moche jamais créée", mais elle reste une voiture unique et assez méconnue..
Interview automobile : La Simca-Fiat Berlinette Le Mans 1939, une réalisation très pro...
L’histoire automobile est remplie de projets restés sur le papier, de prototypes et de voitures inachevées.
Certains passionnés se lancent dans d’incroyables chantiers pour rendre vivant ce qui avait été imaginé autrefois. C’est le cas d’Alain Lassalle, connu pour avoir reconstruit la Citroën Rosalie 15 Speedster de Jean Daninos. Cette fois-ci, il nous fait découvrir une autre de ses créations : la Simca-Fiat Berlinette Le Mans 1939. S’inspirant d’un plan inédit de châssis à moteur central avant dessiné par l’ingénieur italien Dante Giacosa pour Amédée Gordini et des Fiat Toppolino des années 1930, cette voiture unique offre une vision de ce qui aurait être !
La Simca-Fiat Berlinette Le Mans 1939, une vision inédite..
La Simca-Fiat Berlinette Le Mans 1939… voici un projet qui aurait pu voir le jour dans les années 1930 si le destin n’en avait décidé autrement, laissant ce qui aurait pu être une nouvelle voiture en l’état de plan… ou pas…
En effet, Alain Lassalle est parti sur les traces du passé pour dépoussiérer ce papier et s’en inspirer pour construire sa propre version de la Simca-Fiat Berlinette. D’un côté, nous trouvons Dante Giocasa, ingénieur italien et sans doute l’un des hommes qui a le plus marqué l’industrie automobile mondiale de son époque. De l’autre, Amédée Gordini, pilote italien (qui sera par la suite naturalisé français dans les années 1950) dont le talent n’était déjà plus à démontrer !
Et entre les deux, la marque turinoise Fiat qui vendait alors, sous licence SIMCA (Société Industrielle de Mécanique et Carrosserie Automobile), plusieurs de ses modèles. Pour la petite histoire : dès 1937, Amédée Gordini optimisait les moteurs « Simca-Fiat », au point de les radicaliser pour la compétition, transformant les Simca 5 et les Simca 8 en voitures de course. Il participa même aux 24 Heures du Mans avec ce type de voitures !
Dante Giocasa lui proposa alors le projet de réaliser une Simca 5 avec un moteur central avant pour la compétition. Si cette création tomba dans l’oubli à cause de la Deuxième Guerre mondiale, Amédée Gordini construisit ses premiers modèles à la sortie de la guerre avec ce type de technologie.
Redécouvrant ce projet, Alain Lassalle choisit de s’en inspirer pour sa création : la Simca-Fiat Berlinette. Le futur prototype aura un châssis à moteur central avant issu de la Simca 5, lui offrant un gabarit très petit et une forme rappelant les « topolino » de l’époque. C’est une stricte 2 places, dont la ligne en coupé est représentative des années 1930.
Tout en rondeur, sa calandre plongeante, ses garde-boues indépendants de la carrosserie, son long capot et sa partie arrière forment une ligne continue sans cassure au niveau des traits. Les roues à rayons d’Austin Healey finalisent l’attache de cette voiture à la route. Plus grande que son homologue, la Simca 5, elle possède une toute autre allure et de nouvelles proportions inédites !
Tout comme l’extérieur de cette Simca-Fiat Berlinette, son habitacle est agréable au regard. Il a été spécialement préparé pour ce modèle grâce aux savoirs faires d’artisans-selliers français.
La coquetterie de cet modèle est sa sellerie en cuir et sa planche de bord, qui n’auraient sans doute existé si cette voiture avait été produite en série dans les années 1930 ! Sur ce prototype, l’instrumentation est en position centrale « élargie » et provient de Jaeger. La position de conduite est basse et confortable. La question de la sécurité est également réglée avec l’installation de ceintures 3 points. Comme sur les topolino des années 1930, le toit s’enlève afin de profiter des sensations cheveux aux vents. La structure a aussi été corrigée pour s’adapter au pavillon.
Parole de collectionneur : « La Simca-Fiat Berlinette, c’est l’esprit des voitures de sport basé sur les Topolino »
Aujourd’hui, nous avons découvert un véhicule très particulier, puisqu’il est sorti de votre imagination. Il s’agit d’une Simca-Fiat Berlinette Le Mans 1939. Pour la construire, vous vous êtes inspirés d’un projet qui aurait vu voir le jour durant l’Entre-deux-guerres ! Pouvez-vous nous la présenter et nous en dire plus à ce sujet ?
C’est un prototype. C’est une voiture unique bâtie sur une Simca 5 Tank. En 1989, je suis tombé sur une photo de la Siata 750 Sport, dans « La Vie de l’Auto », qui était vendue à l’époque 300 000frs.
C’était une petite fortune, car c’était une année avec une inflation phénoménale sur les voitures de collection ! Mais l’esthétique de cette voiture m’a accroché. En 2000, j’ai entrepris le projet de refaire une voiture de ce style-là et de cet esprit-là. Je voulais quelque chose dans l’esprit « roadster de sport ». J’ai d’abord dessiné une voiture moderne. Mais au vu des difficultés que représente l’homologation d’un tel véhicule, je me suis tournée vers la transformation d’une Simca 5. Il faut savoir qu’Amédée Gordini a gagné trois fois de suite, en 1937, en 1938 et en 1939, au Mans, sur une Simca 5 en catégorie 750cm3.
A cette époque, Dante Giacosa lui a dessiné un plan de châssis à moteur central avant pour ses voitures de compétition. Evidemment, ça n’a pas été utilisé puisqu’il y a eu la Seconde Guerre mondiale. Gordini a fait des châssis à moteur central avant qu’après la guerre. Mais si la guerre n’avait pas eu lieu, ils auraient pu créer cette Simca-Fiat Berlinette Le Mans, soit une Simca 5 avec un moteur central avant.
L’idée de départ de cette voiture, c’était vraiment son style. Je souhaitais avoir ce style fuseau de la Sieta 750.
La Simca 5 s’y prêtait parfaitement. Si on enlève les ailes avant et que l’on sépare les roues et les ailes, on peut avoir des lignes qui partent toutes du pied de la calandre, donnant cette ligne « fuseau ». La Simca-Fiat Berlinette a donc en voiture de base une Simca 5. Sauf que pour mettre un moteur central avant, il fallait allonger l’empattement et donc le châssis. De ce fait, il fallait un châssis beaucoup plus rigide. J’ai donc pris le châssis d’une Simca 6 qui est équipée d’une croix de St André en partie centrale et qui améliore considérablement la torsion du châssis.
Et j’ai incorporé toute la partie arrière de l’unit du châssis d’une Simca 5 pour avoir les 200 millimètres qui me manquaient en empattement. Le capot a été aussi allongé de 90 millimètres. Le toit a été surbaissé de 90 millimètres. Tout cela donne une proportion complètement différente de la proportion de la Simca 5. Elle se rapproche plus des berlinettes des années 1930 des grands carrossiers. Côté carrosserie, les ailes avant sont séparées de la caisse. Ce sont des ailes motos. La suspension avant est celle de la Simca 6, puisqu’elle est équipée d’amortisseurs hydrauliques.
L’arrière possède aussi le même type d’amortisseurs en remplacement des amortisseurs à friction d’origine Simca 5. Elle a été montée sur des roues à rayon qui sont des adaptations à moyeux Rudge d’Austin-Healey.
En plus de la Sieta 750 Sport et de la Simca 5 Giacosa à moteur central avant, est-ce qu’il y a une autre voiture qui vous a inspiré pour imaginer cette Simca-Fiat Berlinette Le Mans ?
Avec la Simca-Fiat Berlinette Le Mans, on retrouve, effectivement, l’esprit des voitures de sport basé sur les Topolino. La Sieta 750 Sport était basée sur la Fiat Topolino. A cette époque, de nombreuses voitures italiennes étaient transformées en voiture de sport ou de courses pour un coût modique et la majorité d’entre elles était basée sur des Topolino. On retrouve, par exemple, la structure de train avant de la Topolino. Idem pour l’arrière. Beaucoup d’entre elles se sont vues ôter les ailes pour sortir les roues et se munir d’ailes motos. A l’époque, ce type de voiture était transformé par des pilotes qui voulaient faire le Mille Miles (Les Mille Miglia était l’une des courses automobiles d’endurance les plus célèbres au monde, disputée durant 24 heures sur routes ouvertes, faisant une boucle entre Brescia et Rome, en Italie, ndlr).
Pouvez-vous nous dire combien d’heures de travail avez-vous consacré à ce projet ?
Cela m’a pris 5000 heures. Il faut aussi compter 36 000€ de pièces. La voiture a été réalisée dans mon garage de 25m2. Comme elle est petite, je pouvais tourner autour ! (rires) Bien souvent, la caisse était accrochée au plafond. Je pouvais bouger le châssis en dessous. J’ai réalisé par la suite un autre projet, la Citroën Rosalie 15 Speedster qui est beaucoup plus volumineuse et c’était une toute autre histoire sous peine de se prendre le toit sur la tête !
(rires)
Si vous devez décrire en trois mots la Simca-Fiat Berlinette, comment la qualifieriez-vous ?
Alors déjà l’esthétique ! C’est le facteur numéro un. Ensuite, son agrément d’utilisation parque c’est une berlinette découvrable. On peut profiter du soleil et être à l’abri de la pluie. Pour finir, son agrément de conduite qui demande un peu d’expérience au niveau de la boîte de vitesse, mais qui est super.
Pouvez-vous nous en dire un plus au niveau mécanique ?
Quel moteur équipe cette Simca-Fiat Berlinette Le Mans 1939 ?
La Simca-Fiat Berlinette est équipée d’un Fiat Multipla 600D qui fait 750cm3 et qui développe 34ch. Mais sa particularité, c’est son moteur à vilebrequin trois paliers qui sert de base aux moteurs Abarth. C’est donc un moteur qui peut être poussé 70ch si on lui met les pièces Abarth qui lui vont bien et la carburation qui lui va bien. Sur la Simca-Fiat Berlinette, je n’ai que 34ch, mais le rapport poids-puissance est déjà très bien, car elle fait que 650kg. C’est une voiture qui roule à 90 km/h assez facilement, mais ce n’est pas une voiture de sport à proprement dit. Si on veut lui faire faire du circuit, il faudra la préparer pour. Mais pour le reste, c’est très sympa.
Elle est très agréable en conduite et en balades, même si le confort est un peu spartiate parce que la suspension est relativement dure et le châssis très rigide. Par contre, quand on entend le bruit du moteur, on ne se doute pas qu’il y a 34ch ! (rires) Ce n’est pas le cas quand on monte les côtes et qu’on se rend compte que le moteur manque un peu de puissance ! On sait alors qu’on n’a que 34ch (rires). L’autre particularité du moteur – là aussi c’était une chance -, c’est que je suis tombé sur un moteur Fiat 600D, mais de Multipla. Il tourne à l’envers par rapport au moteur d’une Fiat 600 normal.
Il me fallait un moteur qui tourne dans ce sens-là pour aller au bout de la boîte de vitesse de la Simca 6. Sinon la voiture aurait eu quatre vitesses en marche arrière et une en marche avant (rires) ! Les compteurs proviennent d’une Simca, mais beaucoup plus récente, soit des années 1970 et du Jaeger, soit de la rallye 2 .
Ce modèle est vraiment unique puisqu’il s’agit d’une création se basant sur des plans d’un potentiel prototype. Quel engouement existe-t-il autour de la Simca-Fiat Berlinette Le Mans 1939 ?
Nous n’avons pas eu l’occasion d’aller en Italie avec cette voiture, mais je pense qu’on aurait autant engouement qu’en France. Il y a beaucoup de sympathie autour de cette voiture, par sa ligne, par sa petite taille et par son côté féminin.
Personne n’a critiqué le fait que je me sois servi d’une Simca 5 pour la transformer en berlinette. Je n’ai jamais eu aucune critique de ce côté-là.
Quels sont les évènements qui vous ont le plus marqué à bord de cette Simca-Fiat Berlinette ?
Sa première sortie était à Rétromobile 2012 quand Meguiar’s l’a présenté sur son stand. C’étaient un moment, comment dire, enrichissant et une très grande reconnaissance. Ensuite, on s’est beaucoup amusé au Rétro Festival de Caen qui organise un petit circuit dans les rues au bord de l’hippodrome. Ça aussi, c’était un très bon moment ! Autrement, on s’est fait quelques balades en Vallée de Chevreuse. Après, elle a été présentée au Salon Auto Moto Rétro de Rouen et à Automédon.
Tout ça ont été des bons moments. Je dis toujours qu’il y a une étape « égoïste » dans la construction d’une voiture, quand on est tout seul dans son garage – et c’est long – et puis il y a une étape de partage avec le public. Et là, c’est fabuleux !
Le célèbre « 4 roues sous 1 parapluie » de Pierre-Jules Boulanger
Pierre-Jules Boulanger était très clair : « Faites étudier par vos services une voiture pouvant transporter deux cultivateurs en sabots, cinquante kilos de pommes de terre ou un tonnelet à une vitesse maximum de 60 km/h pour une consommation de trois litres d’essence aux cent. En outre, ce véhicule doit pouvoir passer dans les plus mauvais chemins, il doit être suffisamment léger pour être manié sans problèmes par une conductrice débutante.
Son confort doit être irréprochable car les paniers d’oeufs transportés à l’arrière doivent arriver intacts. Son prix devra être bien inférieur à celui de notre Traction Avant » En résumé, quatre roues sous un parapluie avec quatre places assises, 50 kg de bagage transportable, 2 CV fiscaux, traction avant comme les 11 et 15/Six, 60 km/h en vitesse de pointe, boîte à trois vitesses, facile d’entretien, possédant une suspension permettant de traverser un champ labouré avec un panier d’œufs sans en casser un seul, et ne consommant que 4 à 5 litres aux 100 kilomètres.
Le modèle D de Detroit pourrait parcourir 34 km à une vitesse maximale à 32 km/h à une vitesse normale pendant cette période. Il avait une batterie rechargeable au plomb et à l'acide.
La société Anderson a construit 13 000 voitures électriques entre 1907 et 1939.
Le Detroit Electric a été vendu principalement aux conducteurs et aux médecins qui voulaient un démarrage fiable et rapide sans le démarrage manuel lourd requis dans les premières voitures à moteur à combustion interne.
Une indication subtile du design de cette voiture est l'utilisation du verre courbé dans la voiture de production, une caractéristique de fabrication coûteuse et complexe.
C'est peut-être un signe d'un avenir différent, mais c'est une voiture qui a été remplacée par les voitures à essence.
Harley Davidson 1936 Bugatti Type 57SC Atlantic Concept Moto par Jakusa Atlantico.
Prenez un cheval de fer très américain, ajoutez quelques voitures art déco français de 1936 et vous obtenez une magnifique moto concept Harley-Davidson Bugatti Type 57SC Atlantic.
C'est le travail du concepteur de voitures et de vélos hongrois Tamas Jakusa dont la maison Jakusa Design fusionne les concepts de design vieux et futuriste.
Le Jakusa Atlantico est modelé sur la Bugatti Type 57SC Atlantic de 1936 dont seulement quatre ont été construits.
Il en reste deux aujourd'hui. L'un a été vendu il y a quelques années pour plus de 40 millions de dollars et l'autre est dans la collection Ralph Lauren.
Il faut un Fat Boy et l'enveloppe dans une carrosserie aérodynamique, un moteur recouvert de grill et des roues solides audacieuses.
L'extérieur a peint la couleur bleu-ciel avec une forme de corps arrondie qui caractérise le design d'avant la Seconde Guerre mondiale. Ses roues avant portant un cache pneu spécial comme caractéristiques des voitures anciennes, secteur machines cadre fermé en forme de calandre avant de la Bugatti.
De petits feux avant ont été abaissés pour compenser la grandeur du réservoir. C'est un concept aventureux, mais comme la Bugatti Type 57SC originale, il est peut-être un peu en avance sur son temps, donc nous ne pensons pas que Harley soit encore prêt à fabriquer une tel moto.
Source : Cars & Motorbikes Stars of the Golden era a une nouvelle photo dans l’album Concept Motorcycle.Bugatti-
Le Grand Prix d'Irlande (Irish International Grand Prix) était course automobile qui s'est tenue entre 1929 et 1931 sur un circuit provisoire aménagé au Phoenix Park de Dublin, la capitale de l'Irlande. L'épreuve se déroulait en deux courses distinctes. La course du vendredi, la Coupe Saorstát (État libre en gaélique), était pour les voitures possédant un moteur ayant une capacité maximale de 1 500 cm3 tandis que le samedi les pilotes pouvaient concourir dans les voitures plus puissantes (plus de 1 500 cm3), la Coupe Éireann (Irlande en gaélique). Le vainqueur du Grand Prix d'Irlande était le conducteur qui avait parcourue la distance de 300 miles, soit la somme des deux courses, le plus rapidement.
Attention film muet ne touchez pas au son de votre ordinateur...
Limerick ville située en République d'Ireland Source : British Pathé
La coupe Gordon Bennett 1904 se déroule en Allemagne, et Léon Théry ramène le trophée à la maison en France, après sa victoire avec un Richard Brasier de 80 ch. Trois jours plus tard, le 20 juin 1904, les délégués des clubs automobiles d'Allemagne, d'Autriche, des États-Unis, de France, de Grande-Bretagne, de Hollande et d'Italie se rencontrent à l'Automobile Club de France.
Le but de la rencontre est de créer une association qui coordonne leurs activités notamment sportives. Ce soir-là pose les bases de l'association Internationale des Automobiles Clubs Recconnus AIACR qui deviendra plus tard la FIA.