lundi 5 août 2024
CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES MOTOS - LA MARQUE PIAGGIO....DEPUIS 1946 !
Vraie guêpe avec sa taille fine, ses flancs ronds et son moteur qui bourdonne, le scooter créé en 1946 par Piaggio revient en 2013, baptisé 946. Entre-temps, Vespa a conquis le monde. C’est l’expression du design le plus abouti. Quand l’esthétique épouse parfaitement la fonction. Ou le contraire.
C’est l’histoire du capitalisme italien, de ses grandes familles. Celle de la mondialisation aussi. Une icône de la société de consommation qui raconte le monde tel qu’il va.
"Sembra una vespa !", s’écria Enrico Piaggio, quand l’industriel découvrit les premiers croquis du deux-roues au lendemain de la guerre. "On dirait une guêpe !", en effet, cette moto avec sa taille fine, ses flancs arrondis et le bourdonnement de son moteur ! Vespa… Le nom est resté. Et la marque est devenue une légende. Depuis 1946, 18 millions de ses scooters ont été vendus dans le monde. Et voici qu’en 2013 arrive la Vespa 946, hommage au premier modèle, le prototype MP6, avec sa carrosserie monocoque en guise de châssis, qui enveloppe le moteur, la transmission, la batterie et la boîte de vitesses. Un retour vers le futur pour… 7.500 euros.
Quand commence la saga Vespa, il ne reste pas grand-chose de l’usine Piaggio à Pontedera, près de Pise. Elle a été bombardée par les Alliés. L’industriel, qui fabrique des trains et des avions de chasse, doit se reconvertir. "L’idée était de motoriser l’Italie, de faire entrer le pays dans la modernité", explique David Nadjar, un passionné de scooters qui brigue ces jours-ci, au côté de sa femme, la présidence du Vespa Club de France.
Un calendrier avec des pin-up Chez Piaggio, un ingénieur aéronautique, Corradino d’Ascanio, imagine une moto qui se conduit en position assise.
L’histoire raconte qu’il dessina d’abord une personne dans un fauteuil avant d’imaginer le véhicule. Autre coup de génie, en cas de crevaison, les roues, fixées à un bras autoporteur, comme le train d’atterrissage d’un avion, se changent en quelques minutes, sans devoir faire appel à un mécanicien. Une des premières publicités de Vespa, en 1946, un dessin au pastel, montre une jeune femme souriante en tailleur bleu, filant sur son scooter rouge, levant nonchalamment le bras droit, l’air de dire : "Regardez comme c’est facile, j’y arrive, et d’une seule main qui plus est."
Plus tard, à partir de 1951, bien avant celui de Pirelli, un calendrier mettra en valeur les nouveaux modèles de la marque avec des pin-up dans des positions extravagantes sur leur machine : Ursula Andress, Mylène Demongeot ou Romy Schneider. Vespa aussi sait faire la star.
En 1953, elle joue les premiers rôles avec Audrey Hepburn dans Vacances romaines. L’actrice, installée en amazone derrière Gregory Peck au début du film, ne tarde pas à prendre le guidon et à filer en toute liberté dans les rues de Rome. Puis ce sera La Dolce Vita de Federico Fellini, où les paparazzis poursuivent sur le fameux insecte mécanique la sublime Anita Ekberg. Un peu plus tard, en 1963, à la veille de grandes révolutions de la jeunesse, Vespa fait la sienne en lançant la Vespina, une petite cylindrée de 50 centimètres cubes qui se conduit dès l’âge de 14 ans, sans permis ni assurance.
Et le magazine Fortune classe la Vespa parmi les 100 premiers objets design ayant remporté un succès mondial, comme le racontent Valerio Boni et Azzurra Della Penna dans leur très beau livre Vespa (Editions de La Martinière). Dès la fin des années 1950, des usines d’assemblage sous licence fleurissent partout, comme Acma, en France, qui sortira même une version militaire équipée d’un canon, sans succès, mais aussi au Brésil et en Inde.

Très vite, ce scooter si particulier, avec ses roues de 10 pouces de diamètre, son changement de vitesse sur la poignée gauche et sa pédale de frein arrière sur le plancher, a des fan-clubs aux quatre coins du monde. Les vespisti (vespistes), hommes et femmes, viennent de toutes les catégories sociales, toutes les générations. "Une légende parmi tant d’autres raconte qu’il faudrait attribuer au comte Francesco Leopardi, aristocrate italien, le double mérite d’avoir suggéré dès 1944, à son ami Enrico Piaggio, de reconvertir ses usines vers la création d’un deux-roues populaire, mais surtout d’avoir fondé à Ancône, dès l’automne 1946, le premier regroupement d’utilisateurs", écrit David Nadjar dans son livre Vespa & clubs de France.
On en compte plus de 100.000 en 1956, au plus fort du mouvement en Europe. Les vespistes se réunissent par villes, régions ou pays, organisent des balades dominicales, animent des ateliers techniques, éditent des revues et participent à des rassemblements populaires comme le Sciame d’argento (l’Essaim d’argent) à Milan en 1948, mais aussi à des courses mythiques, tel le Giro dei tre mari (le Tour des trois mers) en 1953.
Une copie indienne qui coûte 1.000 euros de moins Un modèle de 1946, restauré par un Italien de Varèse, est parti au Canada pour 53.500 euros. "Au Danemark, j’ai vu une Vespa de 1953 dans son jus à saisir pour… 14.000 euros", relate David Nadjar. Et, comme toujours quand les prix s’envolent, les contrefaçons pullulent, en provenance d’Asie, pour quelques poignées de dollars. "Beaucoup sont fabriquées dans des petits ateliers au Vietnam où Piaggio a ouvert une usine en 2009, explique un employé de Motori Italiani, spécialiste du scooter vintage à Paris. On dirait des modèles -anciens mais tout est bricolé. Les rondelles de calage sont faites avec des canettes et les filtres à air avec du papier journal."
Il existe aussi des copies légales du célèbre PX, le modèle mythique de Vespa lancé en 1977, fabriqué en Inde par LML. Cet industriel avait signé un accord technologique avec Piaggio en 1984, puis mis un terme à leur joint-venture quinze ans plus tard. Il continue d’exporter son scooter dans le monde. En France, il vaut 1.000 euros de moins que le modèle original.

Dix ans après son retour dans le giron italien, Vespa, avec son 946 au moteur ultraperformant, entre dans une nouvelle ère, alors que de nombreuses villes dans le monde – en Italie, en Autriche, au Japon – prévoient d’interdire les scooters 2 temps, trop polluants. Même Bertrand Delanoë y songe pour Paris avant de se retirer en 2014. Une grande partie des PX qui grondent aux feux rouges et crachent leur fumée grise n’auraient plus droit de cité. Mais, de cela, les fans ne veulent pas entendre parler.
Source : challenges.fr
dimanche 4 août 2024
samedi 3 août 2024
CLUB5A - LE 35° TOUR DE L'AUDE EN PAYS CATHARE EDITION 2024 EST DEFINITIVEMENT TERMINE ...UN ANNIVERSAIRE QUI N'A PAS FAILLI A SA REPUTATION !
La 35ième édition du Tour de l’Aude est terminé…
Edition anniversaire qui n’a pas failli à la réputation de notre rallye.
Un plateau de 64 voitures toujours aussi exceptionnel construites avant 1950, des équipages dotés d’une extrême bonne humeur et une ambiance tout aussi conviviale.
Comme le veut la tradition tous les deux ans, nous sommes restés en Pays Cathare mais avec cependant plus de 700 kms à travers notre beau département.
Le rallye débute le Vendredi 12 Juillet par des retrouvailles fort chaleureuses à l’hôtel Ibis Style.
Embrassades, rigolade, blagues…. Bref nous sommes tous heureux de nous retrouver.
C’est un pur bonheur et cela fait chaud au cœur.
Toute cette bande de copains est conviée au cœur de la Cité Médiévale au restaurant « Le Créneau » pour l’ouverture officielle du rallye.
Apéro sur la terrasse avec présentation du programme du 35ième Tour de l’Aude suivi du repas.
Samedi 13 Juillet nous nous retrouvons devant la Porte Narbonnaise pour une étape qui nous conduira jusqu’au Halles de Narbonne pour une collation, visite de ces dernières et visite du Palais des Archevêques.
Première panne, nos amis Michel et Muriel Marpinard en font les frais, leur emblématique Amilcar ne veut plus rien savoir.
Ils seront contraints de prendre une voiture de substitution.
Après cette première halte nous repartons pour le restaurant l’Hospitalet Beach où nous prenons le repas de midi face à la Grande Bleue.
Bel endroit pour un bon moment de détente.
Là c’est l’équipage François Duret qui casse l’arbre de sortie de boite sur sa Bugatti 35 et qui est contraint lui aussi de changer de monture.
Après la baignade pour certains et la détente pour les autres, retour sur Carcassonne par le Minervois pour se retrouver dans les jardins du mythique Hôtel de la Cité.
Apéro, repas et dodo.
Dimanche 14 Juillet : départ pour une étape assez longue de 149 kms dans la matinée à travers nos Hautes Corbières. Une halte dans le petit village de Termes où nous sommes reçus par la municipalité pour une pose café et laisser reposer les mécaniques. Nous repartons pour Cucugnan (sans croiser le curé), en passant sous les Citadelles du Vertige Peyrepertuse pour rejoindre Bugarach et enfin Limoux où nous sommes attendu au restaurant la Taverne à Bacchus !!!
Dans ce périple nous avons perdu notre équipage local Régis Périch sur MG TC qui a dû rentrer sur Carcassonne pour panne d’allumage…
L’après midi retour sur Carcassonne via Saint Hilaire pour arriver comme à l’accoutumé chez Charles et Jeannine pour le dîner et admirer un des plus beaux feux d’artifice de France avec vue imprenable.
Sur le chemin du retour ce sont nos amis Bruno Vuillermoz (casse moteur) et Jacques Leonet (problème d’alimentation d’essence) qui ont occupé la dépanneuse.
Lundi 15 Juillet : Départ pour Camon le village aux 100 rosiers en passant par Montréal pour une halte petit déjeuner campagnard chez 2CV Occitanie.
Nous remercions Klass Brouwer le propriétaire des lieux pour nous avoir fait cuire saucisses, ventrèche et boudin noir.
C’est avec le ventre plein que nous reprenons la route à travers le Razès et ses petits villages pour arriver à Camon (classé parmi les plus beaux villages de France).
Là, Madame le Maire et son conseil municipal nous réservent un super accueil.
Discours de Mme le Maire à la hauteur de l’évènement et vin d’honneur comme nous les aimons.
On sent que les véhicules anciens sont les bienvenus dans la commune.
Un grand merci à vous.
Après la visite de l’église et du village nous repartons pour le camping de la Besse ou nous déjeunons.
L’après midi visite de Renne le château et du domaine de l’Abbé Saunière. Après avoir essayé en vain de trouver le trésor nous nous retrouvons à nouveau dans les jardins de l’Hôtel de la Cité pour un dîner gastronomique au restaurant « La Barbacane »
Mardi 16 Juillet : Départ pour les hauts plateaux du Minervois pour une halte oenotouristique au Domaine Sainte Eulalie Cru La Livinière.
Un grand merci à nos hôtes qui ont su nous faire partager leur passion pour le vin.
Nous reprenons la route pour terminer comme à l’accoutumé dans le célèbre restaurant Château de Cavanac pour la remise des cadeaux, les remerciements et le repas de clôture de notre 35ième Tour de l’Aude.
Nous retiendrons de 35ième édition, une très bonne ambiance, un plateau toujours aussi exceptionnel, de beaux parcours, de belles rencontres et de très bonnes tables.
Un grand merci à toute l’équipe de bénévoles qui s’implique dans cette belle aventure, Jean et Gisèle Guilhaumon, Véro, Patrick et Corinne Cilia notre mécano, notre dépanneur Hervé Saint Georges.
Lisèle notre infographiste et Patrice Lééman notre photographe, Daniel Cavaillé, Sylvie Raynaud, Charles et Jeannine Crouzet, Eric et Claire Maynadier nos motards, ainsi que quelques membres du club des 5A.
Un grand merci également, à tous les participants venus de Suisse, de Belgique, du Luxembourg et des quatre coins de la France, qui font de ce rallye un moment exceptionnel.
Vu l’engouement de nous tous et l’envie de nous revoir, nous laisse à penser que le 36ième Tour de l’Aude est déjà sur les rails.
Vive le 36ième Tour de l’Aude hors de nos frontières…
Régis ARNAUD
CLUB5A - SPORT AUTOMOBILE - LE TOUR DE FRANCE AUTO DE 1956...
Tour de France Auto 1956
Tour de France Auto de 1956 le
vainqueur de l'épreuve :
De Portago avec Ed Nelson
en Ferrari-250
La course succède en 1951 sous le nom de Tour de France de Nice à Nice / Critérium International de Tourisme à 18 éditions du Grand Critérium international de tourisme Paris-Nice, étalées de 1921 à 1939 et également organisées par l'Automobile Club de Nice et Côte d’Azur. Cette épreuve connaît des sommets de popularité quand les meilleurs pilotes sur les meilleures autos du moment s'y affrontent, suivis de creux abyssaux quand l'épreuve devient presque anecdotique. Le Tour cesse d'exister en 1986. Il aura entraîné des déclinaisons belge et italienne.
De 1970 à 1974, le Tour de France automobile fut organisé en parallèle avec le Grand National, épreuve réservée aux licenciés français, se disputant aux mêmes dates et sur le même parcours, quoique réduit. Une épreuve baptisée également « Tour de France automobile » est mise en place de 1992 à 1998. C'est une épreuve de véhicules historiques. L'ASO, organisateur du Tour de France cycliste, imposa l'abandon de l'appellation « Tour de France », qui fut rebaptisé « Tour auto ». Organisé par Peter Auto, le Tour Auto réunit chaque année 230 voitures historiques, dont au moins un modèle du même type a participé au Tour de France Automobile entre 1951 et 1973.
Source : leocamel parallelworld
vendredi 2 août 2024
CLUB5A - SPORT AUTO - Christine Beckers... la F1 à 80 ans !
L’ancienne pilote belge «Christine» a réalisé un rêve en devenant la femme la plus âgée à tourner en Formule 1. La scène s’est déroulée à Zolder, un circuit que la pilote belge Christine Beckers connaît par cœur. Niché au milieu de la forêt d’Hasselt, à l’est de Bruxelles, Zolder est un tracé à l’ancienne, rapide et technique.
Pour ses 80 ans, l’ancienne pilote Christine Beckers, plus connue sous le pseudonyme «Christine», voulait retrouver les émotions de sa glorieuse carrière. Un parcours qui l’a menée notamment aux 24 Heures du Mans, qu’elle disputa à quatre reprises, et aux 24 Heures de Spa-Francorchamps auxquelles elle participa à onze reprises. Cerise sur le gâteau: «Christine» aspirait à devenir la pilote la plus âgée à tourner au volant d’une Formule 1 moderne.
Le premier challenge a été accompli en juin dernier. Pour célébrer le demi-siècle de sa victoire de catégorie (2 litres) dans la Sarthe au volant d’une Chevron B23 qu’elle partageait avec Marie Laurent et Yvette Fontaine, elle a tourné en prélude des deux tours d’horloge remportés par Ferrari. «Christine» a été associée aux débuts de Jean Rondeau dans la Sarthe avec les prototypes Inaltera.
En 1976, elle partage le volant du proto français avec Jean-Pierre Jaussaud et Jean Rondeau. Excusez du peu! Elle se plaindra d’ailleurs de ne pas avoir suffisamment piloté. L’année suivante, elle partageait le volant de l’Inaltera avec l’Italienne Lella Lombardi, la seule femme à avoir marqué un point en Formule 1.
Quinze jours après le Mans, la pilote belge retrouvait un autre temple de la vitesse: le circuit spadois. Dans le baquet d’une Alfa Romeo 2000 GTV identique à celle qui permit à son frère Lucien dit «James» de remporter la fameuse Coupe des Roi lors de l’édition 1974, «Christine» a participé au prologue des 24 Heures de Spa-Francorchamps.
Réputée pour avoir couru dans une multitude de disciplines du sport automobile, en rallye, en monoplace, en Tourisme, en course de côte, en rallye-raid et même en NASCAR en prenant part aux 400 Miles de Daytona, la championne belge regrette de ne pas avoir couru en F1. Elle a certes eu plusieurs fois l’occasion de tourner au volant de F1 mais jamais en course.
À l’occasion de ses 80 ans, elle souhaitait ardemment renouer avec ces monoplaces. «Christine» a donc bouclé quelques tours du circuit de Zolder au volant d’une Arrows A8 à moteur BMW Turbo de 1985 ex-Thierry Boutsen appartenant à un collectionneur belge.
Cette expérience qu’elle a qualifiée de fantastique devrait lui permettre d’entrer dans Guinness des records.
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - LA PEUGEOT 78A ....ARMAND PEUGEOT LE VISIONNAIRE !!
Peugeot 78A Double Phaéton 1906
Au sein de la famille Peugeot, les choix industriels ont été fort différents pendant de nombreuses années.
C’est ainsi que la famille Peugeot s’était désolidarisée d’Armand Peugeot, le seul qui croyait à l’essor de l’Automobile dans les années 1890, le contraignant à créer une nouvelle société.
En effet, une majorité des membres du Conseil, entraînée par Eugène Peugeot, vote le 4 décembre 1895 l’abandon de la fabrication des voitures.
Armand décide alors une scission des activités. Il va créer la « SA des Automobiles Peugeot » le 2 avril 1896.
Pourtant, cette même société, entraînée par Robert, le fils d’Eugène, va fabriquer des voiturettes à partir de 1906. En vertu d’un accord de non concurrence, Armand Peugeot arrêtera la fabrication de sa 6CV type 69 « Bébé » malgré son succès, pour renforcer ses gammes moyenne et haute. De leur côté les « Fils de Peugeot Frères » ne pouvaient fabriquer que des voiturettes à moteur monocylindre : les « Lion Peugeot ».
Il faudra attendre 1910 pour voir le regroupement des firmes cousines par la création de la « SA des Automobiles et Cycles Peugeot ».
Création indirecte de l’accord de non concurrence, le type 78 est apparu en début d’année 1906, successeur du type 77. Réputé fiable et plaisant à conduire, il est maintenant le modèle de base. Son moteur, type AI, un bicylindre 10 CV de 1817 cm3, est recouvert soit d’une carrosserie « Tonneau 4 places » soit, comme ici, d’une carrosserie « Double Phaéton 4 places », donc une voiture à 2 banquettes, avec sièges arrières accessibles par des portières latérales.
Il sera fabriqué à 261 exemplaires de 78A/B dans l’usine d’Audincourt qu’Armand Peugeot avait ouverte en 1897.
En cette même année 1906, Peugeot est en tête de la production automobile française avec 2 966 véhicules.
Photos prises au Musée National de l'Automobile, Mulhouse.
Source : Thierry GilLes -Ancêtromobilistes-
Vos événements au Musée de L'Aventure Peugeot
jeudi 1 août 2024
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