lundi 24 juin 2024

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - SORTIE DE GRANGE D'UNE CHENILLETTE CITROEN !

Ce système de chenilles, adaptable aux châssis existants, est composé d’une bande épaisse de caoutchouc moulé et armé s’enroulant sur deux poulies dont l’une est motrice et l’autre libre sur un essieu porteur constituant ainsi un bogie à deux essieux ayant une assez large liberté de tangage pour s’adapter au terrain accidenté. 
La poulie motrice (diamètre 500 mm) est à deux joues mobiles enserrant la chenille en fonction des efforts demandés lors de la traction ou du freinage.
Un train de 4 galets groupés deux à deux assure la fonction porteuse. Les principaux intérêts du système par rapport aux chenilles classiques sont sa légèreté et son fonctionnement relativement silencieux. 
Son plus gros défaut était la durée de vie assez faible de la bande sans fin (2 000 à 6 000 km). Avec l’ingénieur Jacques Hinstin en 1922, Kegreisz finalise le premier véhicule « tout terrain » Citroën K1 qui est un châssis C 5cv équipé du système. Le système « Kegreisz-Hinstin » équipera beaucoup d’autres modèles comme les C4 et C6.
Compte tenu de ses performances, André Citroën se lance dans plusieurs opérations de promotion de grande envergure à retentissement international : l’expédition transsaharienne en 1922 qui fut un succès et la constitution de la Compagnie Générale Transsaharienne Citroën (Citracit) à des fins de transport et de tourisme à travers le Sahara, qui fut par contre un échec financier auquel André Citroën mit rapidement fin ; la Croisière noire en 1925 ;
 la Croisière jaune en 1931 cofinancée par le National Geographic ; le prêt de 3 véhicules C6 en 1933 à l’amiral Richard Byrd pour son expédition en Antarctique ; la Croisière blanche en 1934 au Canada qui fut un échec ; des démonstrations à de nombreuses commissions militaires. 
Des véhicules Citroën équipés de « Kegreisz » sont fabriqués jusqu’en 1937, puis ensuite par Unic et Somua. Durant cette période, le système se perfectionna tout en conservant le principe d’origine : les modifications portaient sur l’entraînement de la chenille et sur le renforcement de celle-ci par une association de plaques métalliques et de blocs de caoutchouc. 
 Le système Kegreisz-Hinstin est à l'origine des Halftracks.

Source : Benjamin AIMONE

samedi 22 juin 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - APERO IMPROVISE DANS L'ATELIER FAMILIALE DE LA FAMILLE DE ROLAND ....


 

CLUB5A - HUMOUR - ALERTE CARBURANT ETHANOL ... FAITES LE PLEIN... AVEC MODÉRATION !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTOS - LES CASCADES DE NOS ANCIENS ...

Le jour ou l'automobile a été créées, les cascades autos ont été créées...de tout temps les pilotes ont dépassé leurs limites et pris des risques incroyables au périls de leur vie...
Un cascadeur est un artiste chargé de remplacer un acteur pour le tournage d'une scène comportant un risque de blessure ou nécessitant une habileté physique ou de pilotage particulière. Le cascadeur est généralement un athlète, un pilote ou un acrobate, spécialiste des scènes d'action. Le cascadeur peut être employé en tant que doublure d'un acteur : alors vêtu et coiffé de façon identique à l'acteur pour lui ressembler, il le remplace lors du tournage de scènes de bagarres, d'accidents, de chutes, d'incendies, etc. 
 Chaque cascade nécessite une préparation minutieuse afin de s'assurer d'obtenir les images voulues tout en assurant la sécurité du cascadeur et de l'équipe de tournage. Le cascadeur peut travailler pour le cinéma, la télévision, les spectacles de rue, de scènes, les parcs de loisirs. 
 Certains cascadeurs peuvent être spécialisés dans une ou plusieurs disciplines telles que les cascades automobiles (comme Rémy Julienne, Gil Raconis), les cascades pyrotechniques, les cascades aériennes, etc. Les trois grandes disciplines de la cascade sont : La cascade physique (chute d'escalier, combat, torche humaine, parkour, etc.)  
La cascade mécanique (tonneaux voiture, dérapage moto, saut de jet ski, etc.) ; La cascade équestre (chute de cheval, combat monté, etc.). Les productions font parfois appel à des professionnels pour : La cascade aquatique (en dehors et dans l'eau...) La cascade aérienne (chute libre, pilotage avion...) Le métier requiert du sang-froid, de l'organisation, et un bon niveau physique.
 Le salaire du cascadeur payé en cachet varie selon le type de prestation et le nombre de jours travaillés. En France, où il est le plus souvent intermittent du spectacle, on comptait en 2015 environ 600 à 650 euros bruts pour une journée de tournage au cinéma ou à la télévision. Les parcs d'attractions emploient également à temps plein des cascadeurs pour leurs différents spectacles.
Source : firecrash

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - PARTIR EN AMOUREUX DANS UNE DESOTO !!


 

CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - VOISIN TYPE C25 ET BUGATTI 57SC...

VOISIN TYPE C.25 AERODYNE 1934 
Moteur 6 cylindres en ligne sans soupapes. Sur les 7 véhicules construits, 5 survivent. Ils avaient un profil aérodynamique en forme de aile d'avion. 
Equipe d'un toit coulissant pneumatique. Garni de tissue intérieur dans le pur style Art Déco. Cet extraordinaire vehicule a remporte le "Best of Show" au très convoite concours de Pebble Beach .

BUGATTI TYPE 57SC ATLANTIC (most expensive car in the world) Moteur 8 cylindres en ligne a compresseur a deux arbres a came en tête. Carrosserie Bugatti en aluminium riveté.
 Vendu neuve a M. Rothschild en septembre 1936, elle était peinte en gris bleu métallisé, intérieur cuir bleu, telle qu'elle est présentée. Gagnante du concours d’élégance de Pebble Beach. 
DELAHAYE V12 TYPE 
165 Moteur 12 cylindres en V. Cabriolet 2 places réalisé par Figoni & Falaschi, carrossier a Bologne-Billancourt. Cette automobile fut construite pour l'exposition internationale de New York de 1939 et expose au pavillon français. En raison de la guerre elle resta dans un entrepôt sous douane jusqu'a 1946 date a la quelle elle est a achetée et part a Beverly Hills. La voiture est retrouve e a Honolulu au début des annees 80. Cette l'unes des pièces maîtresses de la collection de Peter Mulin.
 HISPANO-SUIZA TYPE H6C 
Moteur 6 cylindres en ligne de 8000 cm3. Réalisé par la carrosserie Saoutchik a Neuille sur Seine pour André Doubonnet, héritier de l’apéritif éponyme, également pilote automobile et inventeur d'un brevet de suspension révolutionnaire. 
Cachée pendent la deuxième guerre mondiale, elle inaugure le tunnel de St Cloud en 1946. Cette voiture a gagnée des prix d’élégance dans les plus grands concours du monde.
Source : marimolo·

vendredi 21 juin 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - PATRICK N'HESITE PAS A FAIRE LA CIRCULATION AU VOLANT DE SA B2 CITROEN ...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - CHAT ALORS !


 

CLUB5A - CES MODÈLES TRISTEMENT CÉLÈBRES - LA BUICK ELECTRA DE LA "PULPEUSE" JANE MANSFIELD

 29 juin 1967, deux jours après Françoise Dorléac, l'actrice américaine Jayne Mansfield décède dans un accident de voiture près de Slidell en Lousiane. 
 A l'intérieur de cette Buick Electrade 1966, le chauffeur qui conduisait l'actrice, Samuel Brody (son compagnon), ses trois enfants (dont Mariska Hargitay, vedette de la série New York Unité Spéciale). 
 Vers 2h25 du matin, sur la U.S. Highway 90 en direction de la Nouvelle-Orléans, la Buick Electra entre en collision avec l'arrière d'un semi-remorque qui ralentissait à cause d'un camion vaporisant un insecticide. 
L'automobile frappe alors l'arrière du véhicule et l'avant finit sa course sous la remorque. 
 Si les adultes sont tués sur le coup, les enfants ne s'en sortent qu'avec des blessures secondaires. 
 
Source : Olivier Bonnet Linternaute.com / GatewayClassicCars

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - ELLE EST PAS BELLE LA VIE ??


 

jeudi 20 juin 2024

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR LA SORTIE INTERCLUBS EN OCCITANIE DU DIMANCHE 14 AVRIL 2024..

 

Article paru cette semaine sur la vie de la motos concernant la sortie interclubs au pays de sault . 
Source : Les Motos Anciennes du Roussillon Stephan Xiahc ·

CLUB5A - LE TOP DE 5A - 2015 - QUI A DIT QU'IL N'Y AVAIT PAS D'AMOUR AU CLUB 5A ?


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - LA MOTO ...C'EST POUR LA VIE !!


 

CLUB5A - TECHNIQUE RESTAURATION AUTO - En Alsace, la restauration des voitures est un art !!

La référence des références en matière de restauration de voitures de collection. Surnommé à juste titre, le redresseur de « tôles », Hubert Haberbusch est un carrossier hors du commun. Dans son atelier, où il partage son savoir à ses apprentis, ce sont parfois de véritables carcasses qu’il récupère et qu’il va restaurer de A à Z ! 
Toute la carrosserie se fait au simple coup marteau ; imaginez alors le temps passé sur une voiture ! Moins de 10 bolides sortent de cet atelier extraordinaire chaque année. Nous sommes loin, très loin des chaines de montage automatisées !

Quel travail magnifique, quelle passion bravo à vous pour la renaissance de ces magnifiques autos. 
 Source : Midi en France

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - TRANSPORT DE VOITURE DE COMPETITION DANS LES ANNEES 20 !!


 

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES - L'HISTOIRE DE MOTOBECANE ..COCORICO !!

La gamme « vedette » de Motobécane est la Mobylette, fabriquée à partir de 1949, et vendue à 14 millions d'exemplaires, ce qui fait de Motobécane le plus gros constructeur de cyclomoteurs à l'échelle mondiale. 
 Les premiers modèles sont très archaïques : freins à patins, absence de suspension, pédalage obligatoire pour démarrer et monter les côtes, etc. 
 Le variateur est un très gros progrès, supprimant l'obligation de pédaler. Le cadre, d'abord tubulaire, est ensuite réalisé en tôle emboutie soudée électriquement, avec le réservoir inclus dans la poutre avant, ou en position haute, comme pour une moto. 
 Le Mobyx est un modèle destiné aux loisirs, ses dimensions compactes permettant de le loger dans un bateau de plaisance, une caravane, voire un coffre de voiture. Les tout derniers modèles haut de gamme conçus par l'ingénieur et directeur du bureau d'études Eric Jaulmes, les 99 Z et 95 TT, bénéficient d'un moteur équipé d'un contre-piston destiné à améliorer le remplissage du cylindre, c'est une sorte de compresseur.
En 1969, Motobécane présente la 125 Standard bicylindre 2-temps, il s'agit d'une tentative pour revenir sur le marché monopolisé par les machines japonaises. Elle sera suivie par les modèles Luxe, LT, LT1, LT2 puis LT3. 
Ces machines se distinguent par leur moteur à cylindres en alliage d'aluminium revêtu de chrome dur et par leur allumage électronique, suspendu sous un original mais excellent cadre double berceau. 
Au fil du temps le succès commercial s'émousse devant les progrès fulgurants d'esthétique, de finition et d'équipement de la concurrence nippone. 
 Les 125 cm3 Motobécane progressent rapidement sur le plan technique, la puissance du moteur est portée à 16 chevaux à partir de la LT1, avec le fameux segment en « L » en tête de piston assurant un taux de compression supérieur à 10/1 contre 6,5/1 pour la concurrence nippone, des améliorations de la partie cycle qui accroissaient sa tenue de route et de confort. 
Cependant les motos évoluent peu sur le plan esthétique, notamment sur le non-renouvellement des couleurs avant la sortie de la LT3. L'absence de clé de contact et de béquille latérale - 
qui permettait notamment de différencier une « moto » d'une mobylette et « d'entrer ainsi dans la cour des grands » aussi symboles de la moto moderne - en font une lacune. La Motobécane n'a pas ou peu évolué sur plusieurs points : pas de voyants dans le boîtier faisant office de tableau de bord, les comodos ont peu évolué, les compteurs désuets à fond blanc, totalisateur kilométrique à seulement quatre chiffres, les chicanes dépassaient des pots d'échappement, le fonctionnement au mélange avant la LT2 à graissage séparé contraint à pencher sous les carburateurs derrière la prise de câble de compte-tours,
 car le boîtier de filtre à air, situé au-dessus et des flancs de réservoir chromés et équipés de grippe-genoux. 
Motobécane se veut précurseur sur bien des plans (allumage électronique, certes défaillant et peu fiable, cher et irréparable…). Faute d'avoir fait preuve de réelles stratégies d'investissement et commerciale, elle s'est vite retrouvée à l'arrière-garde à une époque où ce genre de design tombait en désuétude avant la sortie de la LT3, trop tardive et trop chère.
 Les tarifs des 125 cm3 Motobécane augmenteront plus vite que ceux de la concurrence, le peu de fiabilité de l'électronique, le prix démesuré des pièces détachées (un câble d'embrayage en 1977 qui tient à peine 2 000 km coûte 40 FRF, soit 80 euros de 2009 si on le rapporte au prix du SMIC horaire) feront peu à peu devenir la 125 cm3 de grande série la plus chère sur le marché. 
 Le projet est intéressant pour faire perdurer les accessoiristes français (Marshall pour le phare, Saker pour les poignées - qui équipait déjà les Terrot de 1945 -, carburateur Gurtner - tellement compliqué et si peu étanche dotés d'un « titillateur » comme en 1912 -, guidon de la dernière guerre avec les poignées soudées alors que les poignées à tirage rapide inondent le marché. 
La fin était annoncée dès la mise sur le marché de modèles successifs toujours en retard et toujours aussi chers, seuls certains clients de la première heure restent fidèles (bien qu'il s'agisse alors de simples vélomoteurs au sens de la réglementation). Les ressemblances avec les humbles mobylettes venaient à bout des plus téméraires acheteurs essuyant les quolibets des filles et des copains roulant alors en Suzuki TS ou GT, Yamaha ou Honda démarrant par tous les temps et toujours propres. 
C'est la fin d'une marque qui s'annonçait par manque de réactivité et par trop d'assurance, trop de confiance dans des valeurs désuètes et hors culture après les grands changements de Mai 68. En 1975, la sortie de la LT3 apportera un remaniement esthétique, frein avant à disque, fourche Ceriani, un nouveau design du réservoir, un garde boue avant peint et de nouveaux compteurs et compte-tours. 
Ce modèle est disponible en trois coloris, bleu Pyrénées, orange Roussillon et vert Normandie. En 1976, Motobécane lance la version LT3 coupe : modèle coupe tôle, puis en 1977 une version polyester. Elle sera championne du monde sur circuit en 1977. 
 Motobécane tentera aussi une percée en 350 cm3, avec une trois-cylindres deux-temps, cinq vitesses, fortement inspirée des modèles Kawasaki et présentée aux salons 1972 de Cologne et de Paris. Un prix élevé, une arrivée tardive sur le marché anéantirent les efforts de finition et de conception consentis (phare bi-iode, réservoir de 20 litres, frein avant à disque, etc.). 
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-LG MOTORSPORT RACING