vendredi 26 avril 2024

CLUB5A - SPORT AUTO - MC LAREN ......LA VOITURE DE SPORT PAR EXCELLENCE !!

McLaren Automotive est un constructeur automobile britannique créé en 1989, branche du McLaren Technology Group, spécialisé dans la conception de voitures de sport d'élite. 
La société a été fondée par l'homme d'affaires britannique Ron Dennis, qui en fut également le dirigeant. McLaren Automotive enregistre en 2013 un chiffre d'affaires de 285,4 millions de livres. Le projet débute lorsque Bruce McLaren décide de fabriquer une voiture d'endurance à la fin des années 1960. 

Pour répondre à la réglementation de l'époque un minimum de cinquante voitures devait être construites. Cependant, des problèmes d'homologation ont conduit à l'abandon du projet. Ayant toujours nourri l'ambition de construire sa propre voiture de route, Bruce McLaren voulait transformer le projet en voiture de route. 

Il voulait construire la voiture la plus rapide au monde. Au début de 1970 les travaux ont commencé sur la GT. Avec le designer en chef Gordon Coppuck, Bruce développa un prototype, avec l'objectif de produire jusqu'à 250 voitures par an. Finalement, seulement deux McLaren M6GT ont été construites, dont le prototype original. Celui-ci, l'OBH 500H, est devenu le véhicule personnel de Bruce jusqu'à sa mort prématurée à Goodwood le 2 juin 1970. 
Le projet de voiture de route est mort avec lui. McLaren Automotive est fondé en 1989 par Ron Dennis sous le nom de « McLaren Cars ». 

En 2003, à la suite de sa fusion avec la branche McLaren Composites, McLaren Cars prend le nom de « McLaren Automotive ». 
En 1992, McLaren Cars présente sa première création, la McLaren F1. Œuvre de Gordon Murray, ingénieur issu du milieu de la Formule 1, la McLaren F1 est déclinée au fil des années en plusieurs versions : McLaren LM, McLaren GT et McLaren GTR. 

En 1998, prolongement logique du partenariat entre l'écurie McLaren Racing et Mercedes en Formule 1, McLaren Cars et Mercedes-Benz s'associent pour concevoir la Mercedes-Benz SLR McLaren. 
 En 2011 la firme commercialise la McLaren MP4-12C et créé l'antenne de personnalisation appelée MSO , suivie l'année suivante par la McLaren P1 présentée au mondial de l'automobile de Paris 2012. 

 En 2014, la McLaren 650S est présentée au salon de Genève et remplace la 12C. 
Puis en 2015, la 675LT est présentée au salon de Genève. Il s'agit d'une version radicale, plus légère et plus puissante, de la 650S.
Source : Ma9mwah Cars

jeudi 25 avril 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - DIDIER EN TRES BONNE COMPAGNIE....


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - A CHACUN SES REFERENCES !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - - Marc Nicolosi... le pape de la voiture ancienne !!

Les amateurs de voitures anciennes lui doivent tout. 
Ce grand escogriffe à la gouaille parisienne avait sauvé du naufrage les voitures de nos grands-parents avant de créer le salon Rétromobile. 
Il est décédé à l’âge de 84 ans. C’est dans la ville qui l’avait vu naître le 3 décembre 1934 que Marc Nicolosi s’est éteint. 
Sa voix de stentor, son rire profond, son franc-parler et son cœur d’or dissimulé sous une forte carapace nous manquent déjà. 
 Les amateurs de voitures anciennes lui doivent tout. 
Ce grand gaillard, qui avait éveillé les consciences à la vieille bagnole, avait créé le salon Rétromobile où plus de 100.000 visiteurs continuent chaque année en février à communier à la passion dévorante de ces carrosseries sculptées à la main. 
Si sa grande silhouette s’était faite de plus en plus rare dans les allées de «son» salon, ce bon vivant s’accordait encore quelques sorties le samedi, près de la gare du Nord, pour déjeuner avec une bande de bugattistes autour de l’expert Stéphane Bonoron. Marc était une voix dans ce monde, une boussole, une pensée. Il éclairait toujours de sa faconde les déjeuners de l’Académie Bellecour, l’association de personnalités de l’automobile qui élit le meilleur livre automobile de l’année et dont il était l’un des membres éminents. 
Même si on ne lui faisait pas, Marc n’était pas du genre à rouler des mécaniques. François Melcion, son complice de Rétromobile, raconte que «Marc était un fédérateur. Il avait su faire partager à des milliers de gens sa passion». 
Le plus important pour lui était de transmettre le flambeau aux jeunes générations. C’est ainsi qu’il avait beaucoup œuvré au sein du club Bugatti pour faire entrer un public de jeunes passionnés. 
Les Bugatti auront été la grande affaire de sa vie. Les vraies. Celles des seigneurs de la course. Le Type 35 en particulier. Il possédait la sienne depuis 1962. Sa carrosserie avait longtemps revêtu les couleurs de l’artiste Sonia Delaunay. «Il n’était pas monomaniaque mais presque», raconte François Melcion tombé aussi dans la marmite Bugatti. 
Ensemble, ils ont écumé les routes de France et d’Europe, lunettes d’aviateur vissées sur la tête, au volant de leurs bolides de l’âge d’or de l’automobile. 
Rouler en Bugatti ne s’improvisait pas. Il fallait être démerde. Savoir régler le carburateur à pointeau ou démonter le moteur. «Nous avons parcouru plus de 100.000 km en Bugatti et nous sommes toujours rentrés à la maison, poursuit François. Sauf une fois en Italie où Marc a été obligé de laisser sa 43 sur le bord de la route. 
Je crois que son ego en avait pris un coup ce jour-là.» La mécanique, Marc avait dû l’apprivoiser. En 2015, à l’occasion de la célébration des 40 ans du salon Rétromobile, il nous racontait qu’il avait toujours préféré tremper ses doigts dans l’huile de ricin que de tenir une craie en main. À 17 ans, il s’échappe du lycée pour travailler dans un petit garage. «Seule la mécanique m’intéressait mais je n’y connaissais rien. J’ai appris sur le tas», disait-il. Malgré sa bonne volonté, Marc avoue parfois ses limites. «Le patron me demande un matin de changer un embrayage d’une voiture. Je tourne en rond sous la voiture. L’autre mécanicien voit le ménage et devine mon ennui. En quinze jours, il m’a enseigné le b.a.-ba de la mécanique.» 
À la suite d’une fausse manœuvre ayant entraîné l’incendie d’une 4CV, Marc est finalement invité à prendre la porte. Il met le cap sur la Côte d’Azur où son beau-père tient le garage Franco-Belge, à Villeneuve-Loubet. Dans cette France du début des années soixante où les familles rêvent de s’offrir les premiers appareils électroménagers, son beau-père rachète des voitures anciennes. Marc suit le mouvement. Avec Binda, Raffaelli et Pibarot, il crée bientôt une bande inséparable. «Nous passions nos journées à chercher des voitures. Un matin, on décidait de jeter notre dévolu sur tel ou tel village.» Leur technique parfaitement huilée les dirigeait à chaque fois au bistrot du village. «On disait que l’on venait pour la voiture ancienne.
 Presque à chaque fois, le cafetier répondait laquelle? 
La partie était gagnée.» C’est l’époque où Henri Malartre écume les campagnes à la recherche de voitures anciennes, principalement d’avant 1914. 
De leur côté, les quatre compères s’intéressent aux voitures des années 20-30. André Binda avait même créé le club 24-34. En 1967, Marc pose ses valises en Bourgogne, à Etrée, sur les terres de ses grands-parents où il a tant de souvenirs. Sur l’enseigne qui surplombe la clôture, on lit sur fond rouge «Garage du Collectionneur». Pas un seul automobiliste ne peut y échapper. Marc s’est installé en bordure de l’autoroute du Soleil, à la sortie Avallon, là où le ruban d’asphalte poursuit sa route sur la nationale 6. Il fait partie des pionniers à se spécialiser dans la restauration des anciennes. 
Au début des années 1970, tous les amateurs se retrouvent dans ce repaire bourguignon, à mi-chemin entre le garage et le musée. Les étrangers, eux aussi, sont de plus en plus nombreux à s’arrêter. Votre serviteur alors enfant y usera même ses culottes courtes sur la balançoire au fond du jardin. Alors adolescent, François Melcion obtient de ses parents une halte chez Nicolosi. 
Au milieu des trésors qui électrisent aujourd’hui les salles d’enchères, François déniche l’assise arrière qui manque à sa Citroën C4. «Tu as le permis?», lui demande Marc. «Non mais j’ai une voiture», réplique l’adolescent. Les deux hommes ne se sont plus jamais quittés. En 1974, Marc a deux activités: le garage et la location de voitures pour le cinéma. 
Devenu incontournable dans le microcosme de l’ancienne, Marc se retrouve embringué par Jean-Pierre Jouët, un des leaders des salons, dans le projet d’une exposition de voitures anciennes pouvant servir de tremplin au lancement de l’encyclopédie Alpha Auto éditée par Atlas. Année 1975: le salon s’installe pendant dix jours dans la gare désaffectée de la Bastille. Sollicitée, l’ASAVE, l’association qui organise les courses de voitures historiques en France, fournit le plateau de près de cent véhicules. L’exposition accueille 3000 visiteurs. L’année suivante, Marc renouvelle l’expérience mais, pour que la mayonnaise prenne, il a l’idée d’ajouter une dimension commerciale. Sans le savoir encore, il vient d’inventer Rétromobile. 
C’est ainsi que les marchands de pièces détachées, les brocanteurs, les clubs de marque s’invitent à la Bastille. Mais également les constructeurs soucieux de soigner leur héritage. François tient un stand pour Pégase, sa boutique de documentation installée rue de Saussure, à Paris. Il ne tardera pas à rejoindre Marc pour prendre en charge la location des véhicules pour le cinéma. De son côté, Marc se retrouve aspiré ans l’organisation de Rétromobile. Le Garage du Collectionneur ferme. D’année en année, Rétromobile grandit. Sans jamais perdre son aptitude à subjuguer, à surprendre et à faire rêver. Chaque édition apporte son lot de surprises. 
Chaque année, l’exposition de nouveaux véhicules témoigne du génie et de l’imagination d’un secteur automobile sans cesse en mouvement. En l’espace de quelques années, Rétromobile est devenu incontournable. Ce salon est un lieu de mémoire. Mémoires d’aventures humaines, culturelles et industrielles. C’est aussi le carrefour de toutes les rencontres. Un lieu fédérateur. À partir de 1981, les dévots de la voiture anciennes migrent à la Porte de Versailles. L’organisation se muscle avec l’arrivée de Thierry Farges. François seconde désormais Marc. Définitivement inséparables, les deux passionnées présentent des machines toujours plus rares, plus étonnantes, plus somptueuses. 
Ils passent l’année sur les routes à rencontrer les collectionneurs et à les convaincre de venir exposer leurs joyaux à Rétromobile. Au fil des ans, Marc démontre, avec le concours de son équipe, qu’il est un organisateur hors pair. Rétromobile fait même des petits avec l’organisation d’un «petit» salon dans le port de Cannes. «J’emmenais tous les exposants déjeuner à l’île de Lérins», nous racontait Marc. Promobile, la société organisatrice de Rétromobile, rachète le salon du jouet Toymania. Le travail sans jamais se prendre au sérieux. 
En 1994, Marc décide de céder Promobile à Hervé Ogliastro, un autre véritable passionné d’automobiles. Jamais à court d’idées, Marc avait aidé sa femme Isabelle à ouvrir en 1987 la Galerie Vitesse chargée de promouvoir les artistes peintres, dessinateurs, sculpteurs et photographes cultivant un goût certain pour l’automobile et la locomotion au sens large. En 2014, Rétromobile avait rejoint le hall 1 du parc des expos de la porte de Versailles, le plus prestigieux. Le rêve de Marc était exaucé. Aujourd’hui le monde de la voiture ancienne pleure la disparition d’un seigneur. Marc rejoint Roland Urban, un autre pape... mais de la Jaguar, décédé en 2016. Nous adressons nos sincères condoléances à sa famille, sa femme Isabelle et ses enfants, Anne, France et Baptiste.
Source : lefigaro.fr -

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - POUR UN SOMMEIL DE COMPETITION !!

mercredi 24 avril 2024

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - ALAIN-BERNARD-REGIS-OLIVIER ....DES PASSIONNES DE MOTOS ANCIENNES...

Source : lindependant.fr-Jean GUY- Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
 

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2018 - UNE CREME GLACEE POUR DEUX....


 

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - BOURSE MOTOS DE BRAM ....LES BENEVOLES SONT SUR LE PONT !


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - UN SUPPORT CLES MURAL ORIGINAL !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Le LAB..........cinquante ans au service de la sécurité de l’automobiliste !!

Financé par PSA et Renault, cet organisme de recherches et d’innovations en matière de sécurité routière fête son cinquantenaire. Voyage au sein de cette structure unique en Europe. Avant que l’administration ne s’empare de la sécurité routière, les constructeurs s’occupaient déjà de rendre les voitures plus sûres. Ainsi, le LAB, financé par PSA et Renault, fête aujourd’hui ses cinquante ans. Cet organisme méconnu et unique en Europe (il est le fruit d’une association de deux constructeurs sur un domaine non concurrentiel) nous a ouvert ses portes. 
Créé en 1969 par Claude Tarrière, un médecin, il rassemble une vingtaine de spécialistes aux compétences complémentaires: ingénieurs, médecins, chercheurs, accidentologues, psychologues du comportement, analyseurs de données, experts en biomécanique, ou encore experts en ergonomie cognitive. En cinquante ans, le LAB a effectué 642 publications scientifiques, a été à l’origine de 30 thèses, et a reçu 8 récompenses internationales. «Le LAB, c’est cinquante ans de savoir-faire fondé sur l’observation, l’analyse et l’anticipation», résume Stéphane Buffat, le directeur du LAB, dont le nom complet est Laboratoire d’accidentologie, biomécanique et d’études du comportement humain. 
Ces recherches sont souvent à l’origine des progrès technologiques développés par les constructeurs, qui ont joué un rôle majeur et tangible dans la chute de la mortalité routière. Depuis 1973, le risque d’être tué en voiture a été divisé par cinq, les blessures graves ont diminué de 40 % chez les conducteurs et de 15 % chez le passager avant. «Un véhicule produit aujourd’hui permet de réduire la gravité des accidents de 30 % par rapport à un véhicule conçu il y a vingt ans», estime le LAB, qui vient de fournir «78 scénarios de situations critiques de la vie courante à prendre en compte pour la validation de la sécurité des véhicules fortement automatisés». 
La voiture autonome est déjà décortiquée par les spécialistes de Nanterre (siège du LAB), et ils planchent sur les futures innovations en anticipant leur arrivée. L’Advanced eCall sera un atout majeur pour adapter, ajuster et mieux qualifier les besoins en ­termes de soins et de secours, en coordination avec les plateformes d’urgence Ils évaluent au-jourd’hui l’Advanced eCall, une évolution perfectionnée de l’eCall (pour «emergency call»), technologie embarquée obligatoire depuis avril 2018. L’eCall déclenche automatiquement un appel de détresse auprès des services de secours à la suite d’un choc, et envoie la position GPS du lieu du sinistre (20 % des accidents mortels sont isolés), l’heure, le type de véhicule et le type de carburant. 
Ce dispositif de sécurité permet aux secours de mieux profiter de ce que les sauveteurs nomment la «Golden Hour», la première heure après l’accident. L’Advanced eCall va beaucoup plus loin. Ce nouveau système détecte en plus le type de collision, le nombre de personnes impliquées (ceinturées ou pas), la position du véhicule, un éventuel incendie ou une possible immersion. Il intégrera la cotation d’Euro NCAP dès 2022. «L’Advanced eCall sera un atout majeur pour adapter, ajuster et mieux qualifier les besoins en termes de soins et de secours, en coordination avec les plateformes d’urgence», estiment Cyril Chauvel, directeur adjoint, et Franck Leopold, tous deux accidentologues. La voiture connectée est l’autre chantier d’importance pour le LAB. 
Les experts l’évaluent au travers de SCOOP, un projet public fondé sur l’échange d’informations entre véhicules connectés et entre le véhicule et la route. Il devrait permettre, notamment, d’améliorer la facilité d’utilisation de ces systèmes (interfacehomme-machine) ainsi que leur intégration dans le navigateur du véhicule. SCOOP préfigure également le projet InDid (Infrastructure digitale de demain), qui lui fera suite. Concrètement, ce dialogue entre machines augmentera la sécurité des véhicules en mouvement par un échange instantané d’information, à la manière de ce qui existe déjà dans le contrôle aérien. 
«Nous avons élaboré une méthode unique de recueil des données en conditions réelles auprès de 50 utilisateurs et 10 experts automobiles sur six mois», précisent Laura Bigi, responsable de la synthèse accidentologie, et Arnaud Koustanal, psychologue spécialisé dans le comportement des conducteurs. Mais il n’y a pas que les automobilistes qui bénéficient des travaux du LAB. Les piétons, mais aussi les cyclistes, les deux-roues motorisés et ce que l’on nomme les «nouvelles formes de mobilité» (trottinettes, skate-board, gyropode, gyroroue) en profitent aussi. «Notre activité de re-simulation est unique en France! 
Depuis le milieu des années 1990, nous recréons virtuellement une cinquantaine d’accidents chaque année», expliquent les accidentologues Henri Chajmowicz et Philippe Lesire. «Comme j’aime les acronymes, dit ce dernier, je préconise la règle des trois P: prévention, protection, prévenance.» Elle pourrait résumer l’activité du LAB. Après une visite de ses installations, vous ne verrez plus de la même façon votre voiture. 
Dates clés :
• 1973 Début des travaux en biomécanique avec utilisation de mannequins et reconstitution d’accidents. 
 • 1983 Première campagne d’essais avec des sièges d’enfants. 
 • 1996 Mise en place d’une base de données européenne commune. 
 • 2007 Participation à une étude mondiale, regroupant constructeurs et équipementiers, sur la modélisationde l’être humain.
Source : lefigaro.fr 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - BAIN DE BOUE !!


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - LE TOUR AUTO EST DE RETOUR SUR CARCASSONNE LE 25 AVRIL 2024...VENEZ NOMBREUX !

Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
 

mardi 23 avril 2024

CLUB5A - SORTIE NEIGE AUTOS DU 21 AVRIL 2024… LA MONTAGNE EST TOUJOURS BELLE.... AVEC OU SANS NEIGE !

 

Pour cette nouvelle édition 2024, les conditions météorologiques étaient idéales, un temps frais mais sous un ciel bleu. 
21 voitures et 43 personnes ont répondu présentes pour « arpenter » les petites routes des hauts plateaux des Pyrénées orientales et plus précisément la région du Capcir à 1500 mètres d’altitude dans ce charmant petit village de Matemale. 
 Pour cette nouvelle édition 2024, les conditions météorologiques étaient idéales, avec un temps frais et sous un ciel bleu. 21 voitures et 43 personnes ont répondu présentes pour arpenter les petites routes des hauts plateaux des Pyrénées orientales, plus précisément la région du Capcir à 1500 mètres d'altitude, dans ce charmant petit village de Matemale.
Ce dimanche 21 avril 2024 au matin, comme à l’accoutumée, nous nous sommes retrouvés non pas à la salle des associations, mais un plus loin sur le parking de la piscine (vide grenier oblige) . Corinne, Patrick et Sophie étaient à la manœuvre pour valider les inscriptions et nous remettre le roadbook. Le document dans la main, petit briefing effectué par notre président Régis épaulé par Corinne avant le départ afin de nous expliquer quelques détails du parcours. 
 Nous emprunterons un itinéraire avec beaucoup de petites routes à travers la montagne en passant par les localités de : Limoux-La Digne d’Amont-Castelreng-St Couat du Razes en passant par le col Dieudé Alt 545 mètres, Villefort et Chalabre. Après ces quelques kilomètres, une courte collation était la bienvenue. 
 L'organisation a tout prévu dans la localité de Chalabre (sur la place en bas du château), au bord d'une petite rivière, afin de déguster quelques gâteaux et un bon café chaud ou jus d'orange au choix. 
 Il existe un domaine où le club 5A est particulièrement efficace, c'est la maintenance et le confort de ces participants. Après une collation bien méritée, il fallait reprendre la route pour traverser les localités de : Puivert, Rodome, Aunat, Fontanes de Sault, Escouloubre-les-Bains. 
Mais avant d’arriver à Matemale, au pied d’une petite chapelle, l’apéritif nous attendait et oui, vous l’aviez deviné, les hauts alpages donnent de l’appétit, mais surtout soif. Ces « montagnards » ce sont quand même des bons vivants ! Une fois que les « glottes » de nos conducteurs étaient bien désaltérés, direction le village de Matemale et surtout à ce fameux restaurant. ‘ La Belle Aude’. 
 Merci à toute l'équipe du restaurant, car l'accueil a été excellent et le repas copieux. En fin de repas, pour ceux qui désiraient continuer la journée, il était proposé une visite à la ferme afin d'acheter de bons produits régionaux (lait, yaourts et fromages). Côté panne : juste une petite poussette improvisée avec la voiture d’Alain (problème de démarreur, rien de grave). 
Le retour fut sans encombre. Merci à la famille Cilia pour l'organisation de cette belle journée et à l'année prochaine, car avec ou sans neige, nous serons présents. 
 Texte : PL / Photos : P.L /famille Raynaud/famille Cilia

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - IL Y A DU BEAU MONDE AU BALCON ....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO-MOTO - LES BONNES AFFAIRES NE SONT PAS LA OU ON LE CROIT !


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Ce constructeur anglais ressuscite un van mythique de 1948 en version électrique

Inspiré par un ancien modèle datant de 1948, le constructeur britannique Morris reviendra en 2021 avec ce van électrique "old school" qui peut rouler 320 kilomètres avec une seule recharge. Retour en 1960. Dans les années 1950, le van Moris J-Type était très prisé des artisans-commerçants pour se déplacer et promouvoir leur business. 70 ans plus tard, ce même modèle a servi d’inspiration aux nouveaux designers, qui relanceront la fabrication de ce véhicule en version 100% électrique. La marque, désormais baptisée Morris Commercial depuis son retour en 2017, a présenté le futur van lors d’un événement au Design Museum de Londres. Et comme vous pouvez le voir, on remonte dans le temps en quelques secondes.
 70 000 euros. Morris en a profité pour donner quelques détails sur le futur bolide : la carrosserie sera en fibre de carbone pour contenir le poids du véhicule et son volume utile atteint les 5,5 m³. La batterie lithium-ion affiche une capacité de 60 kWh et selon le constructeur le van pourra rouler sur plus de 300 kilomètres avec une recharge. 
Le point déjà négatif reste son prix : 70 000 euros. Et puis il faudra apprendre à conduire avec le volant à droite.
Source : detours.canal.fr/

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LA DAUPHINE CABRIOLET !

La Renault Dauphine est un modèle automobile qui a été fabriqué par Renault dans l'usine de Flins (Yvelines) à partir de mars 1956 jusqu'en 1967. La voiture fut conçue par le bureau d'études Renault dans les années 1950 pour épauler la 4CV. Cette voiture fut la plus vendue en France de 1957 à 1961 et la première voiture européenne fabriquée en Argentine (1960 - 1970). Au Brésil elle a été fabriquée par "Willys Overland do Brasil" de 1959 à 1968. Toutefois, Renault connut un échec lors de sa commercialisation aux États-Unis en négligeant trop la qualité de fabrication, les services après-vente et la disponibilité des pièces détachées.
Ci-dessous une Dauphine cabriolet  "relookée" pas un carrossier ....pourquoi pas !!
 
Source : chaine historique

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UN DESODORISANT DIGNE DE NOS WC !!


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR LA SORTIE MOTO INTERCLUB EDITION 2024...

Source : lindependan.fr - JEAN GUY  - Merci DAVID SARDA pour le sui de l'info....

lundi 22 avril 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - PAUSE PHOTO POUR CET EQUIPAGE AVANT LE DEPART ....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - UNE BONNE CONNAISSANCE DU CODE DE LA ROUTE EST IMPORTANT !!


 

CLUB5A - LES VOITURES ANCIENNES ONT LA COTE MAIS EST-CE VRAIMENT UN BON INVESTISSEMENT ?

Les voitures anciennes ont la cote ! 
De la Ford Mustang au Combi Volkswagen en passant par la mythique 2CV, on compterait plus de 800 000 véhicules de collection sur les routes françaises. 
Mais ce loisir n’est pas seulement réservé aux plus aisés. 
On peut trouver des voitures de collection à partir de 2000 euros. Mais est ce un bon investissement ?
Source : La Quotidienne


CLUB5A - REPORTAGE AUTO - ILS SONT OUF CES ITALIENS !!


Une 2CV vous dépasse à plus de 280 km/heure... Je vous dit pas la tête  des flics derrière leurs jumelles !
Pas de souci, vos sens ne vous trahissent pas...
Quelques fêlés ont fait le pari de monter la carrosserie d'une fourgonnette 2CV sur un châssis de Ferrari 355...  
Le résultat est très impressionnant !  
Ceci dit... le moteur n'est pas celui d'origine, à refroidissement à air, sous le capot... mais placé à l'arrière évidemment !
6 photos ci-dessous pour voir la métamorphose de cet engin de fous !  ....C'est le résultat de 5 ans de travail de quelques italiens.  
Une deudeuche qui atteint les 290 km/h.  
 Un bémol toutefois... son prix : pour une FERRARI 355 d’occase, comptez 90 000 EUR
+ une fourgonnette 2CV en bon état environ 3 000 EUR
+ la transformation (5 ans de travail de passionnés acharnés)  ajoutez environ 47 000 EUR
Pour 140 000 EUR... y a plus qu’à faire le chèque et elle est à vous !
Source : SellerieCimes

CLUB5A - HUMOUR AUTO - 2CV OU PEDALO ,,