mercredi 30 juillet 2025

CLUB5A-RETOUR SUR LE 36ème TOUR DE L'AUDE- EDITION 2025 - CONCERNANT LE TOUR DE L'AUDE TOUT VA BIEN ...NE T'EN FAIS PAS !

 

La 36ᵉ édition du Tour de l’Aude est bien terminée… 
Et quel rallye ! 
Quel périple ! 
Un plateau exceptionnel de 54 voitures construites avant 1950, des équipages dotés d’une extrême bonne humeur et une ambiance d’enfer malgré beaucoup de kilomètres. Pour la première fois : 900 kms, 5 jours de rallye, 5 départements traversés et de magnifiques paysages. 


Pour que la découverte de cette région soit totale, nous avons demandé l’aide de nos amis Isabelle et Eric Lamoure (des purs Béarnais) qui nous ont conduits sur des routes et des lieux magiques tant touristiques que gastronomiques. 
Le rallye débute le jeudi 10 juillet par des retrouvailles fort chaleureuses à l’Ibis Styles. 
Embrassades, rigolades, blagues, nous sommes tous heureux de nous retrouver, cela fait plaisir et chaud au cœur. Tout ce petit monde est convié au cœur de la Cité médiévale au restaurant Le Créneau pour l’ouverture officielle du rallye. 
Apéro sur la terrasse avec présentation du 36ᵉ Tour de l’Aude, suivi du repas. 
-Vendredi 11 juillet 8h, nous nous retrouvons tous devant la Porte Narbonnaise pour une étape qui s’annonce longue et difficile : 100 kms pour rejoindre le Mas d’Azil pour une pause-café, passage dans les entrailles de la terre, puis 70 kms de plus pour rejoindre Saint-Gaudens où nous prendrons notre déjeuner au restaurant « Le Commerce », belle table à recommander !
Nous essuyons les premières pannes (casse moteur Hotchkiss). Claude Floret, pompe à essence défectueuse Renault Celta quatre ; Eric Lamoure, court-circuit Lorraine Dietrich B3/6 ; Jacques Delacour, etc. 
14h : Tout le monde est là pour se restaurer et se désaltérer pendant que les mécaniques se reposent. L’après-midi, 20 km pour rejoindre Saint-Bertrand-de-Comminges pour visiter sa cathédrale et le cœur du village. 
Ce n’est que 100 km après que nous retrouvons notre hôtel Le Mercure, à Pau. 
Fin d’après-midi, abandon de la Riley Linx (pompe à huile cassée) de nos amis Puigcerver venus pour la première fois. Installation à l’hôtel pour un repos bien mérité. 
-Samedi 12 juillet, départ 8h30 pour Salies-de-Béarn avec la visite des salines, de la cité du Sel et le repas dans son casino. Surprise, qui voit-on arriver : Alain et Françoise Anquetin venus nous rejoindre pour le repas. 
 Les voitures sont garées dans le parc du Casino à l’ombre des platanes qui sert d’écrin à ce véritable musée roulant, mais il manque le groupe des Bugatti. 
 Panne sur la Bugatti 51 d’Alain Plasch (boîte à vitesse bloquée, pignon de marche arrière cassé), mais Francis ouvre la boite sur la route, enlève les dents cassées, refait le niveau d’huile et le tour est joué, ils sont là pour manger. 
-Dimanche 13 juillet : une étape au cœur du Jurançon ! Nous partons visiter les grottes de Bétharram, puis déjeuner au domaine du Cinquau en plein cœur du Jurançon. Endroit somptueux et typique, mais là aussi nous comptons des absents : Marc Durand, roulements de pont cassés sur son Amilcar, est obligé d'abandonner ; commande d’embrayage HS sur la Riley de Nico, mais notre génie mécanique Patrick Cilia fait des merveilles et la voiture repart. 
Manque encore Klass Brouwers qui lui rejoint directement l’hôtel pour problèmes d’allumage. Ouf !
14 h, nous avons tout le monde à table. L’après-midi, 15 petits kms pour rejoindre le boulevard des Pyrénées à Pau pour une visite de la ville en petit train et une visite du château Henry IV pour les plus chanceux. 
Je tiens ici à remercier M. Vincent Lasfargues représentant la FFVE qui nous a soutenu et défendu auprès de la mairie pour obtenir ce parking très bien placé. 
En parallèle, un tour sur le tracé en ville du grand prix de Pau était proposé pour les plus courageux. Retour à l’hôtel pour la dernière soirée. 
 -Lundi 14 Juillet : départ 7h30 pour les plus matinaux 170 kms via Miélan, Trie sur Baïse, pour prendre le déjeuner au restaurant « le Carré de l’Ange » à Saint Lizier et c’est la Citroën C4 de Géry Ninove qui arrive la première. La Delahaye de Vincent Escriva a quelques problèmes électriques solutionnés par Patrick et Hervé. Tout rentre dans l’ordre. 
L’après-midi traversée de l’Ariège par Foix, Lavelanet et arrivée à l’hôtel Ibis Style à Carcassonne avant 18h00 pour l’Embrasement de la Cité. Abandon de la Bugatti 37 de Jean Louis Prat (problème d’alimentation d’essence). 
Nous sommes attendus comme le veut la tradition chez Charles et Jeannine Crouzet pour le dîner dansant et admirer un des plus beaux feux d’artifice de France avec vue imprenable. 
-Mardi 15 Juillet : Après une petite balade à travers la Malepère, nous sommes attendus au « Clos Teisseire » à Rouffiac d’Aude pour une dégustation de leurs vins et une présentation du Domaine. Lieu traditionnel de clôture du Tour de l’Aude « le Château de Cavanac » réputé pour sa fine table. Remise des cadeaux et remerciements aux participants. Nous retiendrons de cette 36ième édition une très bonne ambiance, un plateau exceptionnel, Bugatti, Delage, Delahaye, Hotchkiss, Lorraine Dietrich et aussi Renault, Peugeot, Citroën… malgré beaucoup de kilomètres. 
Un grand, grand, merci à nos mécanos Patrick Cilia, Hervé Saint Georges, Marion Bordes et Francis Courteix qui ont œuvré sans relâche tout au long du rallye, sans eux beaucoup seraient restés au bord de la route. 

Quelques petites pannes mais 4 abandons seulement. Un grand merci à toute l’équipe de bénévoles qui s’implique dans cette magnifique aventure : Jean et Gisèle Guilhaumon, Véro, Patrick et Corinne Cilia, notre mécano et bagagiste, notre dépanneur Hervé, Lisèle notre infographiste et Patrice Lééman notre photographe ainsi que quelques membres du Club 5A, Sylvie Raynaud, Daniel Cavaillé, Josette Alvaro, Marleyne Foli, Régis Perich, etc… 


Un grand merci également à Eric et Isabelle Lamoure, à tous les participants venus de Suisse, d’Espagne, du Luxembourg, de Belgique et des 4 coins de France qui font de ce rallye un moment inoubliable. 
Vu l’enthousiasme des participants pour l’an prochain je pense que le 37ième Tour de l’Aude est déjà sur les rails. Vive le 37° Tour de l’Aude !et longue vie à lui… 

Régis ARNAUD

CLUB5A - SORTIE MOTOS AU LAC DE BOUISSE C'ETAIT LE 27 JUILLET 2025...

 

Pour l'excursion à moto du 27 juillet 2025 vers les Corbières, plus précisément vers le lac de Bouisse, le départ a eu lieu comme d'habitude, c'est-à-dire depuis le Dôme à 9 heures du matin. Régis et Alain sont chargés de valider les inscriptions pour cette sortie à moto. 
Encore une fois, il n'y aura pas de repas organisé, car comme l'avait précisé Régis Périch : profitons de ce coin de verdure et dirigeons nous vers le lac de Bouisse avec un pique-nique « sortie du panier ». 
Le point de rendez-vous était fixé au bord du lac avec les motards des Motos Anciennes du Roussillon aux environs de 13h. 
La section motocycliste, initialement composée d'une trentaine de motos, prenait la route vers Bouisse (Pour une boucle de 130km à effectuer dans la journée), une commune se trouvant au cœur du département de l'Aude. 

 

 Après un petit déjeuner, la colonne a traversé les Corbières dans la fraîcheur du matin. Il restait juste un peu de chemin à faire pour rejoindre le lac où nous avons partagé l'apéritif et le pique-nique dans une atmosphère agréable de complicité et de camaraderie. 

La section motocycliste, prenait la route vers Bouisse, cette commune est une localité rurale, ses résidents se nomment Bouissois ou Bouissoises. 
Après un petit déjeuner, la colonne a traversé les Corbières dans la fraîcheur du matin. 

Il restait juste un peu de chemin à faire pour rejoindre le lac où nous avons partagé l'apéritif et le pique-nique dans une atmosphère agréable de complicité et de camaraderie. 
En ce qui concerne les incidents ou pannes, nous déplorons une « embardée » du side-car de Daniel (Moto Guzzi 1000cc), plus effrayante pour le conducteur que réellement dommageable corporellement. 
Quant au side-car lui-même, il nécessitera une sévère remise en état. 


 Le side-car sera transporté sur la remorque pour un retour à domicile sans détour. 
Quoi qu'il en soit, nous pouvons encore observer que le concept piquenique estivale reste véritablement une agréable occasion d'interactions amicales et simples qui conviennent à tous les motards. 
C'est toujours un plaisir de se réunir avec des motards de différents milieux ; ces moments sont toujours très appréciés par tous les participants. 
Comme toujours, nos organisateurs ont parfaitement géré leur domaine d'expertise. Un grand merci à Régis et Fufu, sans oublier Olivier qui a joué le rôle de la voiture balai avec une efficacité exemplaire. 
Remercions également Bruno Quaglia (La Vie de la Moto) pour sa fidélité et son attachement au club 5A pour la diffusion de ses articles qui paraitront dans quelques semaines. 
Photos & Vidéos et texte : P-L

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - PARTIE DE RIGOLADE DANS LA COUR DU CHATEAU DE CAVANAC...


 

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CLUB5A - HUMOUR AUTO - UNE CALANDRE DE COCCINELLE TRES SEXY !

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CLUB5A-REPORTAGE AUTO - Ces voitures ordinaires devenues extraordinaires...

C’était des voitures ordinaires. 
On les disait simples, utilitaires, “voitures du peuple”… mais les Citroën 2CV, Volkswagen Coccinelle, Mini Cooper, et Combi VW défient tous les pronostics ! D’ex-outils du quotidien à icônes branchées, ces autos incarnent la revanche fracassante de l’ordinaire. Et si le vrai luxe était… la simplicité assumée ? L’incroyable revanche des classiques populaires Nostalgie électrisante: La 2CV, qu’on associait à la campagne, fait un malheur chez les jeunes citadins. La Coccinelle, mix parfait de design vintage et daccessibilité, ressuscite sur la Côte Ouest comme dans les festivals alternatifs. La Mini ? Jamais vraiment disparue, éternelle star “brit pop”. Le Combi VW ? Passé de fourgon de chantier à van fétiche des surfeurs, DJ nomades, familles bohèmes et… bobos quinquas nostalgiques, il explose tous les compteurs hype. 
Mythe pop et réseau social Si la supercar trône dans les garages aseptisés, ces populaires trustent TikTok, Instagram et le ciné indép (“Little Miss Sunshine”, “Into the Wild”, pub Adidas…). Le Combi VW, avec son front plat et ses rideaux patchwork, trône dans tous les clips “road trip”. Même dans les pubs fromagères. Du petit génie utilitaire à la star mondialement copiée 2CV Citroen : Suspensions folles mais à toute épreuve, démontage accessible à tous, icône de ruralité, symbole d’insoumission ingénieuse. Coccinelle VW : Moteur inusable, accessibilité extrême, look reconnaissable entre mille, personnalisation à outrance. La voiture la plus produite de tous les temps Mini Cooper : Format lilliputien, tenue de route redoutable, championne des parkings et des rallyes. Une bouille inimitable au point que BMW en a refait un best-seller contemporain. Combi VW : Né fourgon ou minibus, vite customisé en camping-car DIY par hippies et globe-trotters. Intérieur modulable : salon, lit, cuisine, logo Peace & Love — vanlife avant l’heure. 
Détourné par les artisans, les familles nombreuses, puis fétichisé par les boomers nostalgiques de 68. De banal à iconique : l’ascension sans filtre L’authentique, c’est chic: Les carrosseries patinées, customisées, bourrées de stickers, sont les nouvelles superstars des rassemblements et des réseaux. Restomods et délires rétro-techno : Place aux Coccinelles électriques, aux Mini revisitées, aux 2CV sur-vitaminées… Ce n’est plus qu’une question de nostalgie : c’est la nouvelle modernité. On personnalise, on modernise. On se met dans l’air du temps. Tribus libres, rêveurs indécrottables et familles recomposées Prix (encore) accessibles: Excepté le Combi (nouvelle star spéculative !), la plupart de ces modèles restent globalement accessibles aux passionnés d’anciennes, avec un ticket d’entrée autour de 10.000 euros. 
 Communautés folles d’amour: Du rassemblement “Bulles d’Air” pour les 2CV au Bus Festival pour fans de Combi, la convivialité supplante la compétition : barbecue, jam session, forums, partage de road-trips et de galères mécaniques, personne n’est laissé sur le bord de la route. Pourquoi ces voitures ordinaires nous font encore kiffer ? L’imperfection comme manifeste : Pourtant, elles sont pleines de défauts. Mais quoi de mieux que de se battre avec le levier du Combi ou d’affronter la pluie avec la capote douteuse d’une 2CV ? Avec elles, chaque trajet devient souvenir, chaque défaut une raison de sourire. Antidote à la voiture-clone: Oubliez le SUV stérile, la caméra de recul, le siège massant. Ces bagnoles vibrent, s’exhibent, rassemblent. Monter dans un Combi enjolive n’importe quelle journée… et ça ne se commande pas via une appli. Back to the Flower Power soixante-huitard Le casting : Un cadre sup’, look casual-chic étudié, Combi VW patiné-mais-pas-trop avec femme, enfants et paddle gonflable. 
 Objectif : Revivre la libération flower power des années 60 le week-end, avant de retourner en réunion Teams le lundi matin. Le scénario : On va jouer à la bohème, c’est un sport de loisirs, le vintage est soigneusement instagrammé en direct. Le combi Peace & Love, lui, peut dépasser 70,000€ sur le marché de la camionnette restaurée ! Déconnexion sous contrôle, aventure balisée, “road trip” validé grâce à Google Maps et playlist rock 70’s sur l’enceinte Bluetooth dernier cri. À chaque halte, on plante le décor : rideaux Van Dyke, café moulu bio, post Insta #VanLife et souvenirs de jeunesse enjolivés autour d’un Spritz. Qui aurait cru que le Combi, vestige des chantiers et totem soixante-huitard, deviendrait LA machine à remonter le temps (sélective ou peaufinée selon le standing) ? Un aller-retour express vers l’utopie… à condition de rentrer avant la fin du week-end prolongé. Bref, on s’offre un week « Retour vers le futur », mais on rentre à l’heure le dimanche soir. 
Le vrai rebelle (ou plutôt Outlaw) d’aujourd’hui est CSP+, fleur au fusil, carte Amex corporate et Combi rutilant. Le “back to the future” version bobos quinquagénaires : c’est du flower power sur ordonnance, et on adore regarder la scène — avec un doigt de sarcasme à la main. 
 Source : autocollec.com

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES - LES USINES DUCATI ....LES MOTOS A LA SAUCE BOLOGNAISE !!

Ducati Motor Holding est un constructeur italien de moto basé à Bologne, en Émilie-Romagne. Le constructeur automobile allemand Audi, filiale de Volkswagen annonce avoir racheté Ducati. Ducati est réputé pour ses bicylindres en V à 90 ° ou en L et sa distribution desmodromique. Sa notoriété s'est notamment construite après de multiples victoires en compétition moto....

Originaire de la Sardaigne, la famille Ducati, fait appel à des investisseurs et fonde en 1926 à Bologne la « Società Scientifica Radio Brevetti Ducati », dont l'objectif était la production de composants pour l'amélioration de la transmission par radio. Domaine qui à cette époque représentait l'avenir. À partir de cette date, la société Ducati n'aura de cesse de croître et de diversifier ses activités : elle produira des machines à calculer, des appareils de photo, et des radios. 
 Mais la Seconde Guerre mondiale laissera ses stigmates : en 1943, l'usine de Borgo Panigale, une banlieue industrielle de Bologne, est envahie par l'armée allemande. 
En 1944, elle sera totalement détruite par les bombardements alliés.
Reportage au cœur de l'usine Ducati en Italie en 4 épisodes...

Il fallut beaucoup de courage aux frères Ducati pour relancer leur activité industrielle. Pour cela, ils commencèrent à produire, à partir de 1946, un moteur auxiliaire, le Cucciolo, destiné à s'adapter sur le cadre de bicyclettes, dont ils avaient racheté la licence à Siata. 
Bien que l'engin fut adapté aux besoins de l'époque, la situation financière de la famille Ducati était devenue catastrophique, si bien qu'ils durent, pour continuer leur activité, faire appel à une aide de l'État. 
 L'aide fut accordée, mais sous contrôle d'un syndic. Malgré tout, et alors que le Cucciolo connaissait un certain succès, la société est déclarée en faillite en 1949. 

Les frères Ducati quittent alors définitivement l'entreprise. Jusqu'en 1983, date du rachat par les frères Castiglioni, propriétaires de Cagiva, la firme de Borgo Panigale restera sous contrôle de l'État. 
 En 1996, le groupe Cagiva est à son tour en proie à de graves soucis financiers. Il décide de se séparer de Ducati, racheté par le fonds d'investissement américain Texas Pacific Group.

En 2006, le fonds d'investissement italien InvestIndustrial2 rachète 100 % des parts de Ducati à TPG. La marque redevient donc totalement italienne. Audi rachète les parts de Ducati à InvestIndustrial en 2012 pour une somme évaluée à 860 millions d'euros. 
En avril 2017, on spécule sur la revente à une entreprise asiatique1. En juin 2017, des rumeurs font état d'une mise en vente de l'entreprise italienne par le Groupe Volkswagen, touché de plein fouet par le scandale des moteurs diesel truqués révélé en Septembre 2015. 
Des acheteurs potentiels de la Firme de Bologne se présentent alors. Parmi eux figurent figurent Harley-Davidson, Bajaj Auto et InvestIndustrial. 
 Néanmoins, il est annoncé quelques semaines plus tard que le conseil de surveillance du Groupe Volkswagen s'oppose à une vente de la marque italienne pour le moment. Au mois d'Octobre, la marque n'est plus déclarée en vente officiellement.

Source : ShigixWKPDIA/CC-BY-SA-3.0

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mardi 29 juillet 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - COMME D'HABITUDE NOTRE JEAN-PIERRE TOUJOURS PRET POUR LE DEPART...


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - DOUILLETTE LA VOITURE DE CES DAMES !!


CLUB5A- SPORT AUTO - LES FEMMES PILOTES DANS LES ANNÉES FOLLES...

La grande guerre avec ses millions de morts, va transformer durablement notre société. Pendant le conflit les femmes sont recrutées dans des métiers jusque là exclusivement réservés aux hommes. C'est comme cela que certaines se retrouvent à conduire des ambulances ou à faire de la mécanique. Ces nouvelles perspectives pour la femme vont séduire les plus téméraires et engendrer une nouvelle mode. 
Après le conflit, le marché est limité pour les constructeurs automobiles, il est restreint à une clientèle bourgeoise aisée. Et la clientèle féminine, dans ce contexte, permet d'étendre ce marché. Tous vont donc rivaliser pour la séduire et l'attirer vers l'automobile. La course automobile, les rallyes et les concours d'élégance seront, parmi les lieux privilégiés pour se montrer au volant des plus beaux bolides. 
 Dès 1923 des femmes participent à certaines courses, comme le Bol d'or. C'est en 1925 que des femmes s'inscrivent pour la première fois au rallye de Monte-Carlo. Mme Mertens sur Lancia, partie de Tunis, est arrivée première au temps de ce 3eme Rallye de Monte Carlo, mais ne sera classée que 2eme, n'ayant qu'un seul passager, son mari. En effet le classement est par points et 6 points sont attribués par passager transporté. Le premier Automobile club féminin est créé en 1926 par la Duchesse d'Uzès (83 ans), qui avait été aussi en 1898 la première femme à obtenir un brevet de chauffeur. 
C'est elle qui donnera le départ du premier championnat féminin de l'Auto en 1927 sur l'autodrome, organisé par son club. De nombreuses épreuves spécifiquement féminines sont créées à cette époque, les plus connues étant : Le Paris - La Baule automobile pour dames, le rallye Paris-Saint Raphaël féminin, le championnat féminin de l'Auto, organisé par l'Automobile Club Féminin de Paris et qui est composé d'une série d'épreuves féminines, qui ont lieu chaque année à partir de 1927 sur l'autodrome. 
L'autodrome, qui ouvre en 1924, devient tout naturellement un des hauts lieux de pilotage, pour ces nouvelles idoles féminines. De nombreuses femmes pilotes vont y rivaliser d'adresse, dans des courses qui leurs sont réservées. Mais aussi dans des records toutes catégories, où certaines tiendront la dragée haute aux meilleurs pilotes masculins. En 1936 a lieu aussi sur l'autodrome un critérium féminin, séries éliminatoires de dix Simca 5 tirées au sort......

Mathilde Riehl, 16 ans, ouvre cette semaine le rallye de France. La jeune Mulhousienne n'a pas encore le permis en poche, mais elle pilote déjà des bolides! 
  Source : autodrome.over-blog.com/ Alsace20

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UNE PETITE 2CV POUR UNE GRANDE SOIF !

 

CLUB5A-REPORTAGE AUTO - « Cette voiture, c’est le dernier souvenir que j’ai avec mon père »

 

« Cette voiture, c’est le dernier souvenir que j’ai avec mon père » : les sacrifices de Dominique, 61 ans, pour s’acheter une Peugeot 203 de 1954 Dominique, 61 ans, nous raconte comment il s’est offert une Peugeot 203 de 1954, la même que conduisait son père dans les années 70. «Mon père avait une 203 », confie Dominique, les yeux brillants de celui qui vient enfin de réaliser le rêve de toute une vie. 
Dans sa mémoire, cette voiture occupe une place particulière : «J’ai une photo avec mes frères et sœurs sur le capot de la voiture, j’ai toujours gardé le lien avec cette voiture ». Voilà comment cette image d’enfance, figée dans le temps, est devenue une quête qui a guidé sa vie pendant la dernière décennie. «Cette voiture, c’est le dernier souvenir que j’ai avec mon père : un jour il m’a emmené à son travail et il conduisait, il y avait une odeur que je sens encore d’ici». Aujourd’hui, chaque fois qu’il s’installe au volant de sa 203, c’est «cette odeur particulière, cette odeur du passé» qui l’enveloppe et le ramène instantanément à son enfance. «On sent qu’elles ont vécu et étonnamment elles ont emmené le parfum des années 60», raconte-t-il. «Quand vous rentrez dans une voiture comme ça, vous voyagez dans le temps, vous savez que vous n’êtes plus en 2025», explique cet agent hospitalier de 61 ans. 
Pour Dominique, cette 203 n’est pas seulement la concrétisation d’un rêve automobile : c’est la reconstitution d’un lien perdu, le moyen de retrouver cette complicité père-fils qu’il n’a jamais oubliée. Un imaginaire faisant de chaque trajet une madeleine de Proust sur quatre roues. Un modèle difficile à dénicher Trouver la bonne 203 n’a pas été une mince affaire. Dominique a cherché pendant quatre longues années, confronté à un marché parfois délirant. «Pas facile de trouver, il y a tellement d’annonces et tellement de personnes qui veulent vendre à des prix exorbitants, témoigne-t-il. J’ai vu des 203 entre 15.000 et 19.000 euros, ça dépasse l’entendement». Finalement, malgré quelques péripéties, il déniche - il y a un peu plus d’un an - sa perle rare pour 8500 euros.
 «La fille du propriétaire décédé a récupéré le véhicule, ça a été compliqué, elle n’a pas voulu donner les papiers sur l’entretien», se souvient-il. Qu’importe, le coup de foudre était là. Avec son salaire modeste d’agent hospitalier, Dominique a dû faire de nombreux sacrifices pour s’offrir la voiture de ses rêves. « Je n’ai pas de gros moyens, je fais avec », confie-t-il sans regrets. Pour réunir les 8500 euros nécessaires, il a travaillé de nuit, accepté des gardes supplémentaires, et il admet : « j’ai un peu mis ma vie personnelle de côté». 
Cette abnégation n’était pas vécue comme une punition, mais comme un investissement dans son bonheur futur. «Je n’étais pas sûr que j’y arriverais, quand on arrive on est heureux, confie-t-il, je l’expérimente comme une revanche sur la vie». Un véhicule à l’abandon Dominique se plaît également à nous raconter les moindres détails de l’histoire de sa 203. Abandonnée pendant une vingtaine d’années en Côte d’Or, «dans un état pitoyable», elle avait été sauvée par un retraité d’EDF qui l’avait entièrement restaurée : «intérieur refait, siège, toit, moquette, repeinte totalement». «Il m’a expliqué que lorsqu’il a acheté sa maison, la voiture était dans la grange comme une vieille traction qui est en train de périr», raconte Dominique. 
C’est le charme des découvertes automobiles en France : « on a beaucoup de vieux véhicules abandonnés qu’on retrouve un peu par hasard. Des Rosalies, des tractions... » L’inconvénient reste qu’après l’avoir acheté : douze mois lui ont été nécessaires pour la remettre complètement en état. «J’ai refait frein, circuit liquide de refroidissement, clignotant ». La saveur de chaque instant Dominique savoure surtout chaque instant passé avec sa 203, quand bien même elle demande une attention constante. « En ce moment j’ai une fuite d’huile, c’est le charme des vieilles voitures, on passe notre temps à faire des choses », sourit-il. Sur les routes, il ne passe jamais inaperçu. 
« On me klaxonne, je leur réponds avec mon klaxon d’époque, et voilà les gens sont heureux », raconte-t-il fièrement. Les réactions du public le touchent profondément : « On me dit souvent : heureusement qu’il y a des gens comme vous. En y réfléchissant, ma voiture, est un patrimoine ». Passer la publicité Et le sexagénaire ne compte pas ralentir. « Dans 4-5 ans, si tout va bien, j’espère pouvoir en profiter davantage, faire de petits défilés, des rassemblements », projette-t-il déjà. Avant de conclure : « ça vous change la vie, ça m’a transformé, j’ai définitivement trouvé mon équilibre grâce à cela ». 
Source : lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - LA DELAHAYE 135 MS LANGENTHAL COUPE DE 1947...LA VOITURE DE LUXE !!

La grande dépression mondiale à peine terminée, Delahaye doit, comme ses concurrents, se relancer à partir de 1934. L’objectif pour la marque est de renouer avec la gloire de sa jeunesse et de ses années d’adolescence et de faire oublier l’image un peu ennuyeuse du début des années 1930. Un pas important dans cette direction est accompli avec l’introduction du nouveau moteur six cylindres en ligne qui va permettre à Delahaye de se positionner dans le créneau des voitures de luxe. Un an plus tard cette position est confortée par la présentation du modèle sport 135 qui, en plus du moteur six cylindres, est doté d’un châssis bien plus typé sport que les voitures qui l’ont précédée. Le châssis a été complètement redessiné avec plusieurs objectifs. 
D’abord laisser beaucoup de latitude aux carrossiers pour personnaliser au maximum les voitures, ensuite améliorer les caractéristiques en confort et maniabilité. La suspension est à roues indépendantes à l’avant et à essieu rigide à l’arrière. Le moteur implanté longitudinalement à l’avant a une cylindrée de 3 557 cc et disponible en deux versions d’alimentation : un ou trois carburateurs Solex. Il délivre alors une puissance maxi de 93 ou 113 cv. Une autre démonstration du renouveau de Delahaye est la création de l’ « Ecurie Bleue » une équipe de course qui se veut l’équivalent français de la « Scuderia Ferrari ». 
L’équipe prépare, pour la saison 1935, une version spéciale du modèle 135 alimenté par trois carburateurs et les succès vont être au rendez-vous. La victoire la plus significative est celle du Rallye de la Coupe des Alpes. Cette saison en compétition et les succès remportés encourage l’équipe Delahaye à persévérer donc à développer un moteur plus puissant et un châssis plus court donc plus agile pour les futures compétitions automobiles. 
La cylindrée est augmentée et le moteur alimenté par trois carburateurs développe une puissance maxi de 120 cv. Celui implanté sur la 135 spéciale compétition développe une puissance maxi qui atteint 152 cv. Châssis court et moteur servent de base à deux nouvelles versions de la Delahaye 135 : la 135 Compétition et la 135 compétition court. Ces deux versions vont devenir très populaires notamment grâce aux carrossiers français. En 1936 Joseph Figoni est le premier à présenter sa légendaire « tear drop » sur ce châssis. Delahaye remporte dans ces années là de multiples succès tant dans ses ventes de voitures de tourisme que dans les compétitions automobiles. 
Sur les circuits le point culminant est atteint aux « 24 Heures du Mans » de 1938 où Delahaye termine premier et deuxième devant des concurrents plus rapides mais moins fiables. Cette même année la gamme de Delahaye est remaniée avec l’introduction d’un modèle 135M doté du moteur de compétition alimenté par un ou trois carburateurs et d’un autre modèle 135MS qui lui est doté du moteur de course à taux de compression plus élevé. 
 La production des Delahaye 135 va se poursuivre après la fin de la deuxième guerre mondiale. Le modèle ne sera remplacé qu’en 1952, dix sept ans après son lancement. La voiture présentée ici est due au carrossier suisse Langenthal, très peu connu, et qui semble-t-il n’a carrossé que deux châssis Delahaye. Initialement ce châssis 135MS a reçu une carrosserie de silhouette cabriolet. Mais le propriétaire qui se plaignait du bruit de l’air lorsque la capote était baissée demande à Langenthal de lui fabriquer un hard top. 
Mais l’histoire ne se termine pas là car le poids du hard top étant très important son démontage est difficile donc Langenthal est à nouveau sollicité pour rendre le hard top fixe. Ce qui transforme le cabriolet initial en coupé. Une solution qui, semble-t-il, convient maintenant parfaitement au propriétaire français qui va conserver sa voiture pendant plusieurs décennies. Elle sera finalement vendue à un collectionneur américain. Elle changera alors plusieurs fois de mains puis sera présentée dans divers concours en 2011 et 2012. Présentée aux « RM Auctions » d’Amelia Island en 2013 elle sera adjugée pour 330 000 Dollars.
Source : montesquieuvolvestre.com/-MOTOR SLIDESHOWS

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