mercredi 16 octobre 2024
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Des coupés-cabriolets d'occasion entre 3.000 et 12.000€
Avec le retour des beaux jours, envie de vous balader cheveux au vent ? Voici quelques idées de coupés-cabriolets à des tarifs abordables.
Vos envies de rouler au grand air reviennent ?
Pour ne pas que le bonheur estival se transforme en galère dès l'automne, mieux vaut se tourner vers un modèle doté d'un toit dur amovible. Un segment délaissé qui regorge pourtant d'autos sympas, polyvalentes et abordables. Nous avons sélectionné plusieurs coupés-cabriolets avec des prix compris entre 3.000 et 12.000€. Avant de vous présenter notre sélection, si vous devez acheter un modèle sur le marché de l'occasion, outre les points de contrôle habituels (lire plus bas), certains éléments spécifiques doivent attirer votre attention avant de craquer. Voici notre tour du (futur ?) propriétaire.
Les vérifications spécifiques aux coupés-cabriolet avant d'acheter !
Le coffre Il est souvent d'une taille modeste, mais pour une bonne raison. Il renferme le toit une fois replié, le système de commande et les différents capteurs. Inspectez l'état des plastiques (traces de frottements) et leur bon positionnement. Et touchez la moquette au sol pour détecter une éventuelle humidité suspecte.
Le toit
C'est le système clé sur un coupé-cabriolet. Faites le fonctionner plusieurs fois (ouverture et fermeture complète). Vous ne devez entendre ni grincements ni craquements. Toit en place, il doit être bien aligné avec les montants de pare-brise. Jetez aussi un œil à la lunette arrière (et son système de dégivrage). Au passage, assurez-vous de la bonne remontée des vitres.
L'habitacle Soleil, eau, humidité, il est beaucoup plus exposé aux éléments que celui d'une berline classique. Soulevez les tapis de sol, qui pourraient cacher un problème d'étanchéité. Contrôlez l'état de la sellerie (cuir ou tissu) et des contre-portes. Profitez-en pour tester les boutons de commande, susceptibles d'avoir été victimes d'un orage.
Lors de l'essai Soyez attentif aux bruits d'air (toit fermé !). Idéalement sur voie rapide. Vérifiez le bon fonctionnement de la clim' et traquez les bugs et faux contacts au niveau du combiné et/ou de l'écran multifonction. Que doit-on vérifier sur une voiture d'occasion, en général ? Que vous achetiez un cabriolet ou tout autre modèle, il est impératif de pratiquer un examen visuel et dynamique du véhicule.
Vérifiez tout d'abord l'état général de l'auto. Les chocs, rayures et jantes élimées favorisent la négociation. Méfiez-vous toutefois de panneaux complet de carrosserie à remplacer : le coût est difficilement quantifiable sans une expertise. Toujours à l'arrêt, vérifiez que l'auto démarre au quart de tour et assurez vous qu'elle ne crache pas des fumées d'une couleur suspecte ! Demandez au propriétaire de prendre le volant pour faire un tour.
C'est l'occasion de tester l'embrayage et de vérifier qu'il n'y a pas de problème de crémaillère de direction, de parallélisme ou autre défaut. Soyez attentif aux à-coups qui peuvent être signes d'une usure de l'embrayage, d'un turbo fatigué ou d'une vanne EGR encrassée...
Source : autoplus.fr/ - Petites Observations Automobiles
Pour ne pas que le bonheur estival se transforme en galère dès l'automne, mieux vaut se tourner vers un modèle doté d'un toit dur amovible. Un segment délaissé qui regorge pourtant d'autos sympas, polyvalentes et abordables. Nous avons sélectionné plusieurs coupés-cabriolets avec des prix compris entre 3.000 et 12.000€. Avant de vous présenter notre sélection, si vous devez acheter un modèle sur le marché de l'occasion, outre les points de contrôle habituels (lire plus bas), certains éléments spécifiques doivent attirer votre attention avant de craquer. Voici notre tour du (futur ?) propriétaire.
Les vérifications spécifiques aux coupés-cabriolet avant d'acheter !
Le coffre Il est souvent d'une taille modeste, mais pour une bonne raison. Il renferme le toit une fois replié, le système de commande et les différents capteurs. Inspectez l'état des plastiques (traces de frottements) et leur bon positionnement. Et touchez la moquette au sol pour détecter une éventuelle humidité suspecte.
L'habitacle Soleil, eau, humidité, il est beaucoup plus exposé aux éléments que celui d'une berline classique. Soulevez les tapis de sol, qui pourraient cacher un problème d'étanchéité. Contrôlez l'état de la sellerie (cuir ou tissu) et des contre-portes. Profitez-en pour tester les boutons de commande, susceptibles d'avoir été victimes d'un orage.
Lors de l'essai Soyez attentif aux bruits d'air (toit fermé !). Idéalement sur voie rapide. Vérifiez le bon fonctionnement de la clim' et traquez les bugs et faux contacts au niveau du combiné et/ou de l'écran multifonction. Que doit-on vérifier sur une voiture d'occasion, en général ? Que vous achetiez un cabriolet ou tout autre modèle, il est impératif de pratiquer un examen visuel et dynamique du véhicule.
Vérifiez tout d'abord l'état général de l'auto. Les chocs, rayures et jantes élimées favorisent la négociation. Méfiez-vous toutefois de panneaux complet de carrosserie à remplacer : le coût est difficilement quantifiable sans une expertise. Toujours à l'arrêt, vérifiez que l'auto démarre au quart de tour et assurez vous qu'elle ne crache pas des fumées d'une couleur suspecte ! Demandez au propriétaire de prendre le volant pour faire un tour.
C'est l'occasion de tester l'embrayage et de vérifier qu'il n'y a pas de problème de crémaillère de direction, de parallélisme ou autre défaut. Soyez attentif aux à-coups qui peuvent être signes d'une usure de l'embrayage, d'un turbo fatigué ou d'une vanne EGR encrassée...
Source : autoplus.fr/ - Petites Observations Automobiles
mardi 15 octobre 2024
CLUB5A - SORTIE SOLEX DU 13 Octobre 2024 – DES SOLEX DANS LE CARCASSONNAIS....
Nouvelle édition de cette sortie Solex du 13 octobre 2024 avec au départ 10 participants…
Le départ s’est effectué au café du Dôme à CARCASSONNE, Alain FUMANAL, fidèle au poste, après avoir transmis à chacun son itinéraire…
Cette année, direction Marseillette pour une boucle de 43.8 km.
Et les voici tous lâchés sur ces petites routes de l’arrière-pays carcassonnais en traversant les localités de Fontiès d’Aude, Barbaira et un retour par Trèbes, vous pourrez aisément imaginer que l’ambiance était au beau fixe avec une météo automnale.
Quelques arrêts afin d’attendre l’ensemble du groupe et pause-café et petit-déjeuner afin de se requinquer et reprendre des forces pour poursuivre le parcours…
C’était l’heure de prendre la direction de l’apéritif, aussitôt dit, aussitôt fait…
Et nous voilà tous réunis à table au restaurant « Les Platanes » afin de prendre le déjeuner en commun et de s’alimenter, mais pas que de nourriture, de toutes sortes d’anecdotes aussi croustillantes les unes que les autres…
Tout au long de cette balade en Solex, nous avons apprécié les paysages, la faune, la flore, et encore beaucoup de choses comme le petit patrimoine auquel on ne prête pas toujours attention et qui bordent les petites routes de notre département de l'Aude.
Coté panne à déplorer : notre ami Jean-Luc qui a subi une bonne crevaison et qui a fini sur la remorque de la voiture balaie…
Bravo aux 10 participants pour leurs courages et aux bénévoles pour leurs disponibilités et rendez-vous à la prochaine édition… et toujours ensoleillé !
Texte : Alain Fumanal Photos : Sylvie et Gérard Raynaud-Alain Fumanal
CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA BMW 502 DE 1960...C'EST LA CLASSE !!

Les BMW 501/502 sont des voitures de la classe supérieure de BMW. 1952 autos ont été construites et 1964 véhicules, en raison de leurs lignes courbes comme style" baroque ". Outre les berlines ont également été construites quelques cabriolets et coupés. Pour le premier modèle BMW 501 à six cylindres - moteur de série et 2 litres de cylindrée en 1954, la BMW 502 a été rajouté à partir de la première et après la Seconde Guerre mondiale, un modèle construit de huit cylindres produit. Le 2,6-litre moteur V8 en 1961 à la BMW S 3200 a été augmenté à 3,2 litres.
Tous les véhicules sont à propulsion arrière et un entièrement synchronisée ....boîte à quatre vitesses avec changement de vitesse au volant .
Source :
CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES MOTOS - LES MOTOS BMW DEPUIS 1923 !!
BMW : histoire du constructeur
Les racines bavaroises..
L’histoire de la Bayerische Motoren Werke, plus connue sous le nom BMW, a débuté en 1923. D’abord versée dans la construction de moteurs d’avions, elle se tourne vers les moteurs de motocyclette après la défaite et le désarmement de l’Allemagne au lendemain de la guerre. Et c’est en 1923 qu’apparait la première BMW flat-twin qui connait un relatif succès malgré un prix de vente élevé.
Quelques modèles viennent ensuite compléter la gamme qui sera remaniée dès 1928 avec l’apparition de nouvelles machines.
Quelques modèles viennent ensuite compléter la gamme qui sera remaniée dès 1928 avec l’apparition de nouvelles machines.
A côté de la production, BMW reste très présent en compétition et les motos allemandes battent bientôt des records de vitesse. Avec l’entrée de l’Allemagne dans le second conflit mondial, l’usine BMW qui produit également des moteurs d’avions va être lourdement touchée par les bombardements alliés. L’usine est ensuite frappée par l’interdiction de construire des moyens de transport motorisés, empêchant ainsi tout redémarrage de la production moto.
L'Europe roule en BMW Ce n'est qu'en 1948 que BMW sera officiellement autorisé à reprendre la construction de motocyclettes. Rapidement l'usine va présenter le modèle R24, un monocylindre de 250 cm3.
Le succès sera immédiat autant à l'intérieur du pays qu'à l'exportation. Un autre monocylindre est proposé l'année suivante sous la dénomination R25, qui détient encore le record du modèle le plus vendu par BMW, il sera produit jusqu'en 1955.
L'Europe roule à nouveau en BMW.
En 1951 un nouveau modèle de flat-twin voit le jour : le R51/3. Il annonce la ligne BMW "classique" qui durera jusqu'en 1969. Ces motos verront en 68 apparaître une version sportive dans la gamme avec la fameuse R68 qui sera la première moto de série à dépasser les 100 miles/h (160km/h).
Si les allemandes se font plus rapides, c’est parce qu’elles visent alors à attirer le public admirant les performances des anglaises de l’époque. L'automne 1969 voit apparaître les trois modèles 500cm3, 600cm3 et 750cm3 de la série 5 dont la silhouette est totalement renouvelée par l'abandon de la fourche Earles, au profit d'une fourche télescopique.
Le flat-twin lui-même étant plus puissant, plus résistant et surtout moins lourd.
En 1973 pour le cinquantenaire de la marque la série 6 est présentée : R60/6, R75/6, R90/6 et R90 S celle dont tout le monde parle. C'est le fleuron de la gamme, sportive, reconnaissable de par son carénage tête de fourche et sa selle à dosseret.
Elle est équipée de deux disques à l'avant et a été chronométrée à 195km/h. Le flat-twin prend la route de l'innovation En 1976 apparaît la série 7 en trois cylindrées, 600cm3, 750cm3 et 1000 cm3. Le flat-twin 1000cm3 étant monté sur la gamme R.
En 1984 l'usine présentera la K100 au moteur révolutionnaire 4 cylindres à refroidissement liquide mais il faudra attendre fin 1992 pour disposer d'un nouveau modèle flat-twin avec la R1100RS équipée d'un Boxer à 4 soupapes par cylindre et alimentée par injection électronique. La partie cycle est entièrement revue avec notamment, un châssis à moteur porteur et la suspension avant Telelever. La suspension et l'amortissement sont assurés par un combiné ressort/amortisseur central logé entre le bras oscillant et la partie avant du cadre.
La suspension arrière est de système Paralever nettement renforcé par rapport à la série 7. Ce type de châssis va équiper toute la gamme des flat-twins, désormais tous disponibles avec ABS en option. En 1994 BMW présentera le premier trail monocylindre nouvelle génération de la marque, la F650 dont la transmission finale, hérésie pour les puristes, est par chaîne. Cette version continuera à être déclinée avec moult améliorations jusqu’à maintenant.
Mais le modèle emblématique de la marque c’est le flat. En 2001 il verra sa cylindrée portée à 1150 cm3 et sa boîte de vitesse sera dotée pour la première fois d'un sixième rapport. 2003 marque une innovation de taille pour BMW avec une nouvelle partie cycle allégée de 30kg pour les R1200. En 2006, BMW produit pour la première fois plus de 100 000 motos. Depuis la bavaroise ne cesse d’améliorer les performances de ces modèles avec notamment des suspensions pilotées Esa ou l’antipatinage.
Ne cédant pas à la pression des promotions, la marque conserve des modèles aux prix élevés, prix encore plus marqués du fait des options achetées. Du coup, les modèles conservent une bonne cote en occasion, souvent surcotée par rapport à des modèles équivalents. Les ventes BMW continuent à progresser et l’architecture flat-twin mise au point par Max Friz en 1923 a encore de beaux jours devant elle.
Source : lerepairedesmotards.com / source vidéo : BMW Motorrad France BMW depuis 1923. 90 ans en 90 secondes !
Elle est équipée de deux disques à l'avant et a été chronométrée à 195km/h. Le flat-twin prend la route de l'innovation En 1976 apparaît la série 7 en trois cylindrées, 600cm3, 750cm3 et 1000 cm3. Le flat-twin 1000cm3 étant monté sur la gamme R.
En 1984 l'usine présentera la K100 au moteur révolutionnaire 4 cylindres à refroidissement liquide mais il faudra attendre fin 1992 pour disposer d'un nouveau modèle flat-twin avec la R1100RS équipée d'un Boxer à 4 soupapes par cylindre et alimentée par injection électronique. La partie cycle est entièrement revue avec notamment, un châssis à moteur porteur et la suspension avant Telelever. La suspension et l'amortissement sont assurés par un combiné ressort/amortisseur central logé entre le bras oscillant et la partie avant du cadre.
La suspension arrière est de système Paralever nettement renforcé par rapport à la série 7. Ce type de châssis va équiper toute la gamme des flat-twins, désormais tous disponibles avec ABS en option. En 1994 BMW présentera le premier trail monocylindre nouvelle génération de la marque, la F650 dont la transmission finale, hérésie pour les puristes, est par chaîne. Cette version continuera à être déclinée avec moult améliorations jusqu’à maintenant.
Mais le modèle emblématique de la marque c’est le flat. En 2001 il verra sa cylindrée portée à 1150 cm3 et sa boîte de vitesse sera dotée pour la première fois d'un sixième rapport. 2003 marque une innovation de taille pour BMW avec une nouvelle partie cycle allégée de 30kg pour les R1200. En 2006, BMW produit pour la première fois plus de 100 000 motos. Depuis la bavaroise ne cesse d’améliorer les performances de ces modèles avec notamment des suspensions pilotées Esa ou l’antipatinage.
Ne cédant pas à la pression des promotions, la marque conserve des modèles aux prix élevés, prix encore plus marqués du fait des options achetées. Du coup, les modèles conservent une bonne cote en occasion, souvent surcotée par rapport à des modèles équivalents. Les ventes BMW continuent à progresser et l’architecture flat-twin mise au point par Max Friz en 1923 a encore de beaux jours devant elle.
Source : lerepairedesmotards.com / source vidéo : BMW Motorrad France BMW depuis 1923. 90 ans en 90 secondes !
lundi 14 octobre 2024
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - SM MASERATI AVEC LA POLICE ET LA GENDARMERIE....
1973 - Escadron d'autoroute : nouvelle voiture SM. La gendarmerie d'autoroute s'est dotée de brigades rapides d'intervention. Au volant de SM Maserati à plus de 200 km/h, les gendarmes font la chasse aux contrevenants. Le chef de la brigade présente son parc de véhicules Maserati, Alpine, DS électronique.Interview sur la formation des conducteurs de ces véhicules et sur l'utilité de ces véhicules..
Vidéo : ina
dimanche 13 octobre 2024
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Ford Bronco.... nostalgie quand tu nous tiens !!
Après la Mustang et la GT, la marque à l’ovale bleu revient aux sources de son histoire en ressuscitant le Bronco, un autre mythe américain.
La renaissance de la Mustang, de la GT et désormais du Bronco selon une interprétation néorétro est-elle l’aveu d’un manque d’inspiration ou le reflet d’une Amérique décidément incapable de projeter dans le monde du XXIe siècle?
Chacun appréciera.
Toujours est-il qu’aux États-Unis les mythes sont tenaces et font toujours vendre. La preuve: la Mustang déchaîne toujours les passions même après 55 ans de carrière.
C’est si vrai que Ford a osé poser le logo à l’emblème du cheval des Apaches reconnu pour sa puissance et à sa rapidité sur le capot d’un SUV 100 % électrique lancé début 2021. Après la Mustang et la GT, Ford a ainsi décidé de faire renaître le patronyme Bronco abandonné depuis 1996. Cela n’étonnera personne: le nouveau 4 x 4 de la firme à l’ovale bleu surfe sur la vague néorétro, ravivant les formes originelles de break de loisirs de son aîné.
Les nostalgiques applaudiront à cet exercice qui ne fait que suivre une tendance comme en témoigne Jeep qui a ressuscité le Wrangler ou Land Rover qui continue de renouveler le Range Rover en prenant soin de ne pas trop s’éloigner de la matrice. Reconnaissable entre mille grâce à ses lignes qui préservent les codes de ses aînés, le nouveau Bronco sera décliné en trois carrosseries. À la différence du monde d’hier, Ford fait l’impasse sur le pick-up, un terrain désormais occupé par le F-150, au profit d’une carrosserie 5 portes, une première pour le Bronco.
Cette version vient en complément d’un modèle 2 portes largement personnalisable.
Avec le Bronco, oubliez la conduite coude à la portière: les panneaux de portes sont démontables.
L’aventure sera au bout de la rue car Ford annonce une multitude de configurations en ajoutant les échancrures dans les portes, le toit démontable et la gamme de 200 accessoires déjà développés. Style rétro mais instrumentation numérique Cela ne va pas manquer de surprendre, si l’enveloppe est néorétro, l’habitacle installe vraiment les occupants dans le monde du XXIe siècle avec son grand écran central, son volant multifonctions emprunté à une berline, son instrumentation numérique et son bouton rotatif pilotant électroniquement les modes de conduite et adaptant notamment la transmission intégrale aux différents types de terrain.
Sept modes sont ainsi à la disposition du conducteur. Le dernier permettra de s’aventurer dans un gué d’une profondeur de 850 mm. Si une arrivée en Europe n’est pour l’instant pas envisagée, la présence sous le capot du 4-cylindres 2,3 litres Ecoboost de 270 ch est de nature à l’encourager. Cette mécanique propulse déjà la Mustang et la Focus. Dans le cas du Bronco, le 4-cylindres de 310 ch est associé, au choix, à une boîte manuelle à 7 vitesses ou automatique à dix rapports.
Source : Sylvain Reisser-lefigaro.fr
La renaissance de la Mustang, de la GT et désormais du Bronco selon une interprétation néorétro est-elle l’aveu d’un manque d’inspiration ou le reflet d’une Amérique décidément incapable de projeter dans le monde du XXIe siècle?
Chacun appréciera.
Toujours est-il qu’aux États-Unis les mythes sont tenaces et font toujours vendre. La preuve: la Mustang déchaîne toujours les passions même après 55 ans de carrière.
C’est si vrai que Ford a osé poser le logo à l’emblème du cheval des Apaches reconnu pour sa puissance et à sa rapidité sur le capot d’un SUV 100 % électrique lancé début 2021. Après la Mustang et la GT, Ford a ainsi décidé de faire renaître le patronyme Bronco abandonné depuis 1996. Cela n’étonnera personne: le nouveau 4 x 4 de la firme à l’ovale bleu surfe sur la vague néorétro, ravivant les formes originelles de break de loisirs de son aîné.
Les nostalgiques applaudiront à cet exercice qui ne fait que suivre une tendance comme en témoigne Jeep qui a ressuscité le Wrangler ou Land Rover qui continue de renouveler le Range Rover en prenant soin de ne pas trop s’éloigner de la matrice. Reconnaissable entre mille grâce à ses lignes qui préservent les codes de ses aînés, le nouveau Bronco sera décliné en trois carrosseries. À la différence du monde d’hier, Ford fait l’impasse sur le pick-up, un terrain désormais occupé par le F-150, au profit d’une carrosserie 5 portes, une première pour le Bronco.
L’aventure sera au bout de la rue car Ford annonce une multitude de configurations en ajoutant les échancrures dans les portes, le toit démontable et la gamme de 200 accessoires déjà développés. Style rétro mais instrumentation numérique Cela ne va pas manquer de surprendre, si l’enveloppe est néorétro, l’habitacle installe vraiment les occupants dans le monde du XXIe siècle avec son grand écran central, son volant multifonctions emprunté à une berline, son instrumentation numérique et son bouton rotatif pilotant électroniquement les modes de conduite et adaptant notamment la transmission intégrale aux différents types de terrain.
Sept modes sont ainsi à la disposition du conducteur. Le dernier permettra de s’aventurer dans un gué d’une profondeur de 850 mm. Si une arrivée en Europe n’est pour l’instant pas envisagée, la présence sous le capot du 4-cylindres 2,3 litres Ecoboost de 270 ch est de nature à l’encourager. Cette mécanique propulse déjà la Mustang et la Focus. Dans le cas du Bronco, le 4-cylindres de 310 ch est associé, au choix, à une boîte manuelle à 7 vitesses ou automatique à dix rapports.
Source : Sylvain Reisser-lefigaro.fr
samedi 12 octobre 2024
CLUB5A - SPORT AUTO - RETOUR SUR IMAGE - LE RALLYE MONTE-CARLO HISTORIQUE !!
Le Rallye automobile Monte-Carlo est une manifestation sportive dont le cadre de départ et d'arrivée est la principauté de Monaco, même si l'essentiel du parcours a lieu plus au nord, notamment dans les Département français des Alpes-Maritimes, de l'Ardèche, de la Drôme, des Hautes-Alpes ou encore des Alpes de Haute-Provence, selon les années. Cette épreuve se déroule systématiquement en hiver, au mois de janvier. On entend ou lit souvent dans les médias « Rallye de Monte-Carlo », mais la véritable dénomination de cette épreuve n'a jamais inclus la préposition « de ». À sa création en 1911, le rallye automobile Monte-Carlo n'est pas à proprement parler une épreuve sportive, c'est surtout le moyen d'attirer la jet set européenne à Monaco.
Chaque véhicule engagé partait avec son équipage, par la route, de la ville où il s'était engagé. Il effectuait le parcours reliant cette ville à Monte-Carlo, en suivant un itinéraire précis, avec certaines contraintes. À l'époque, traverser l'Europe en plein hiver était un exploit. Arrivés à destination, les vainqueurs étaient l'équipage qui avaient réussi à rallier Monaco en respectant une moyenne horaire imposée par les organisateurs, mais la présentation du véhicule, après autant de kilomètres sur des routes difficilement praticables, était tout aussi importante.
Une autre particularité du Rallye Monte-Carlo a été pendant longtemps son parcours de concentration, les villes de départ étant réparties aux quatre coins de l'Europe, les équipages se rejoignaient en un point unique afin de rallier, par un parcours commun, Monaco. Cette caractéristique a donné jusqu'au milieu des années 1990, sa réputation au rallye et en a fixé son déroulement.
Source : ZAGATOI
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