lundi 28 juillet 2025
dimanche 27 juillet 2025
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Des GT en vente au château...
La maison Artcurial disperse le 28 septembre prochain la cinquantaine de véhicules de la collection de Jean-Pierre Nylin. Tout finit par être à vendre. Les collectionneurs ne sont que des gardiens temporaires des objets de leur passion. Un principe qui s’applique à la collection de Jean-Pierre Nylin. À la suite de son décès fin 2024, ses héritiers ont décidé de vendre ses automobiles, principalement des modèles des années 50 et 60 qu’il avait acquis, pour certaines, dans les ventes aux enchères orchestrées par Me Hervé Poulain. C’est d’ailleurs la maison Artcurial qui va être chargée de disperser cette collection comportant une cinquantaine de véhicules. Pour assister à la vente, il faudra se rendre au château de Vernon, situé à 20 km au sud-est de Poitiers. L’histoire raconte que Jean-Pierre Nylin avait acquis et restauré ce château du XVe siècle pour accueillir sa collection. Cet amateur éclectique avait réuni principalement des voitures de sport des années 50-60, aussi bien des modèles anglais, italiens, français et allemands.
Toutes les architectures trouvaient grâce à ses yeux : coupés sportifs ou GT de prestige, cabriolets. On trouve ainsi une MG TF et une MGA, une Austin-Healey 3000, des Jaguar XK120 et XK140, une Daimler SP250, une Aston Martin DBS de 1971. Le coin des italiennes est représenté par une Lancia Flaminia cabriolet Touring, des Maserati 3500 Sebring de 1963 et Merak, des Ferrari 400 et 456. Amateur de Facel Véga, Jean-Pierre Nylin possédait un coupé HK500 de 1958 et une Facellia cabriolet. Ce collectionneur aimait aussi les voitures de sport. Le catalogue comporte une berlinette Alpine A110 et une Dodge Viper GTS.
Toutes les voitures de la collection seront vendues sans prix de réserve.
Source : le figaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Je suis contrôleur technique et voici la marque de voiture la plus robuste, 500.000 km au compteur et pas de problème majeur...
Les témoignages des contrôleurs techniques sont absolument concordants. Année après année, une marque se distingue pour sa robustesse et sa fiabilité, attirant autant les professionnels que les particuliers soucieux de rouler longtemps sans souci. Plus vous entretenez votre véhicule, plus il sera fiable. Cette règle d’or s’applique à toutes les marques, conviennent d’abord les contrôleurs techniques que Le Figaro a contactés. La fiabilité dépend d’abord du soin que l’on apporte à son auto : respect des intervalles de révision, utilisation d’huiles de qualité, conduite adaptée...
Cela étant, «ce ne sont surtout pas les voitures françaises qui remportent la palme de la fiabilité», raille un contrôleur technique du Lot. Selon les témoignages que nous avons recueillis, c’est plutôt vers des marques étrangères qu’il faut se tourner.
L’une d’elle revient en boucle. «Les chauffeurs de taxi, qui parcourent des dizaines de milliers de kilomètres par an, ont besoin de véhicules ultra-fiables. Regardez ceux de Paris : avec quoi roulent-ils majoritairement ? Des véhicules japonais, et souvent des Toyota, commente le même contrôleur. Ces choix ne sont pas des hasards ».
Les classements internationaux confirment les dires des contrôleurs techniques
«J’ai vu des Toyota à 500.000 kilomètres sans problème majeur». Il poursuit : «D’autres véhicules montrent généralement des signes de fatigue sur des éléments cruciaux comme le train avant et arrière très tôt, avant 20.000 km parfois», abonde un autre contrôleur.
Parmi les modèles de la marque japonaise, la Yaris fait office de star : c’est cette compacte urbaine qui est privilégiée par les professionnels du transport pour «sa sobriété et sa robustesse mécanique».
Toyota et sa marque haut de gamme Lexus figurent régulièrement parmi les marques automobiles les plus fiables selon les études menées par des organismes indépendants. En 2025, plusieurs classements d’envergure internationale, comme ceux de J.D. Power, Consumer Reports ou encore le Honest John Satisfaction Index au Royaume-Uni, confirment cette tendance.
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - LA DE TOMASO MANGUSTA ......LA SUPER-CAR !!
La De Tomaso Mangusta est une supercar du constructeur automobile italien De Tomaso. Construite de 1967 à 1970, elle a été suivie par la De Tomaso Pantera.
La De Tomaso Mangusta profite de l'expérience de la berlinette De Tomaso Vallelunga présentée en 1963 : moteur central arrière et châssis-poutre comme les Tatra, Lotus et Alpine.
Mais la nouveauté est ici l'adoption par Alejandro De Tomaso d'un moteur V8 d'origine Ford offert par son ami Carroll Shelby qui était alors désormais occupé par la mise au point de la Ford GT40. Dans la nature, la mangouste est un mammifère réputé mangeur de cobras.
Carroll Shelby avait justement choisi en 1962 le nom de Cobra pour son hybridation d'un gros V8 Ford américain dans un roadster AC britannique. La Mangusta est bien moins puissante que la Cobra mais elle bénéficie d'un dessin italien bien plus remarquable.
Le prototype Mangusta dévoilé au salon de Turin 1966 est le chef d'oeuvre du styliste Giorgietto Giugiaro qui a quitté Bertone en novembre 1965 après avoir à peine entamé le dessin de la Lamborghini Miura pour Bertone. Le futur fondateur en 1968 d'Ital Design présente alors pour Ghia en novembre 1966, en plus de la Mangusta, la voiture de salon Pampero pour De Tomaso encore, mais aussi le prototype de la Maserati Ghibli I, ainsi que la voiture de salon Fiat 850 Vanessa.
Le dessin de la Mangusta comporte quelques particularités : outre le toit transparent qui sera abandonné pour la série de 400 exemplaires, le capot arrière s'ouvre en deux ailes de mouette et la lunette arrière est donc séparée en deux. La ceinture de caisse comporte un pli central très marqué qui sera repris, un peu atténué, par l'exclusive Monteverdi Hai en 1970 puis l'Alpine A310 en 1971 ainsi que plus discrètement sur l'Iso Rivolta Fidia en septembre 1967 et banalement en septembre 1968 sur la Peugeot 504 puis en septembre 1969 par la Renault 12 et ses dérivés Dacia 1300 roumaine et Ford Corcel brésilienne.
En 1967 le septième châssis fut carrossé par Giugiaro en Spyder. C'était en fait un coupé découvrable dont les montants des vitres latérales sont fixes et dont la modification de ligne de l'arrière présente une silhouette à trois volumes. Le dessin de ce toit sera repris en mars 1971 par Giuiaro qui a fondé Ital Design, sur la voiture de salon Volkswagen-Karmann Cheetah. Le Spyder Mangusta original fut présenté au concours de Pebble Beach en 1991 après sa restauration.
Cependant une grossière réplique apparut à la réunion "Le Mans Classic" en 2012. Cette réplique comportait en effet sur l'arrière des capots arrières, les sorties d'air absentes sur la toute première version du prototype du coupé présenté au salon de Turin 1966 mais bien présentes sur toutes les voitures de série.
Mais pour sa part le Spyder Mangusta original qui conservait un capot arrière en ailes de mouette comportait des persiennes allongées à la place des lunettes arrières et de leurs sorties d'air postérieures. En 1971 la fin de la Mangusta a suivi la présentation en 1970 de la De Tomaso Pantera dessinée cette fois par Tom Tjaarda sur un châssis monocoque.
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-DtRockstar1
Mais la nouveauté est ici l'adoption par Alejandro De Tomaso d'un moteur V8 d'origine Ford offert par son ami Carroll Shelby qui était alors désormais occupé par la mise au point de la Ford GT40. Dans la nature, la mangouste est un mammifère réputé mangeur de cobras.
Carroll Shelby avait justement choisi en 1962 le nom de Cobra pour son hybridation d'un gros V8 Ford américain dans un roadster AC britannique. La Mangusta est bien moins puissante que la Cobra mais elle bénéficie d'un dessin italien bien plus remarquable.
Le dessin de la Mangusta comporte quelques particularités : outre le toit transparent qui sera abandonné pour la série de 400 exemplaires, le capot arrière s'ouvre en deux ailes de mouette et la lunette arrière est donc séparée en deux. La ceinture de caisse comporte un pli central très marqué qui sera repris, un peu atténué, par l'exclusive Monteverdi Hai en 1970 puis l'Alpine A310 en 1971 ainsi que plus discrètement sur l'Iso Rivolta Fidia en septembre 1967 et banalement en septembre 1968 sur la Peugeot 504 puis en septembre 1969 par la Renault 12 et ses dérivés Dacia 1300 roumaine et Ford Corcel brésilienne.
En 1967 le septième châssis fut carrossé par Giugiaro en Spyder. C'était en fait un coupé découvrable dont les montants des vitres latérales sont fixes et dont la modification de ligne de l'arrière présente une silhouette à trois volumes. Le dessin de ce toit sera repris en mars 1971 par Giuiaro qui a fondé Ital Design, sur la voiture de salon Volkswagen-Karmann Cheetah. Le Spyder Mangusta original fut présenté au concours de Pebble Beach en 1991 après sa restauration.
Cependant une grossière réplique apparut à la réunion "Le Mans Classic" en 2012. Cette réplique comportait en effet sur l'arrière des capots arrières, les sorties d'air absentes sur la toute première version du prototype du coupé présenté au salon de Turin 1966 mais bien présentes sur toutes les voitures de série.
Mais pour sa part le Spyder Mangusta original qui conservait un capot arrière en ailes de mouette comportait des persiennes allongées à la place des lunettes arrières et de leurs sorties d'air postérieures. En 1971 la fin de la Mangusta a suivi la présentation en 1970 de la De Tomaso Pantera dessinée cette fois par Tom Tjaarda sur un châssis monocoque.
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-DtRockstar1
samedi 26 juillet 2025
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Une Ford Escort, qui dormait depuis 35 ans dans une grange, s’est vendue 318 000 euros
Une Ford Escort Mk II RS 1800 de 1976, modèle rare produit en seulement 109 exemplaires, a été vendue aux enchères après avoir appartenu à la même famille depuis 50 ans. Cinquante ans d’histoire familiale viennent de s’adjuger à 276 848 livres sterling (environ 318 000 euros). À Iver, dans le Buckinghamshire en Angleterre, cette Ford Escort Mk II RS 1800 de 1976, ayant appartenu à la même famille pendant près de cinq décennies, a trouvé un nouveau propriétaire lors d’une vente aux enchères. L’histoire de la voiture débute en 1977, lorsque le défunt mari de l’actuelle propriétaire acquiert ce véhicule pour une somme non divulguée. Pendant une décennie, il profite de sa Ford avec délectation, parcourant les routes britanniques au volant de ce bolide qui fait sa «fierté et sa joie».
Un modèle quasi unique
Mais cette Escort n’est pas un modèle ordinaire.
Initialement immatriculée au nom de la Ford Motor Company le 19 mai 1976, elle fait partie des cinq véhicules exclusivement réservés à la presse par le constructeur automobile. Sur les 109 exemplaires produits au total, seules ces cinq unités bénéficiaient de ce statut particulier, ce qui confère à cette automobile une rareté absolue.
Sa valeur ne cesse d’augmenter, surtout à la fin des années 1980, au moment où le propriétaire prend la décision de restaurer son précieux véhicule. Le moteur est entièrement démonté et confié à des experts pour une reconstruction complète. Mais le destin ne lui fera pas forcément honneur : la Ford Escort trouve refuge dans une grange où elle va sommeiller pendant 35 longues années, son moteur reconstruit reposant sur une palette à ses côtés.
Au moment où la famille décide finalement de la vendre aux enchères (cette année) le temps a fait ses dégâts : un autre projet de restauration fut entrepris, pour présenter la voiture dans les meilleures conditions possibles. Aujourd’hui, cette Escort Mk II RS 1800 se présente dans un état remarquable. Sa carrosserie repeinte en blanc diamant d’origine, avec de fines bandes bleues qui mettent en valeur ses lignes sportives, est impeccable. L’intérieur en tissu noir est tout aussi soigné. Affichant seulement 39.000 kilomètres au compteur, soit à peine 800 km par an depuis près de cinquante ans, la voiture montre à quel point ses propriétaires l’ont précieusement entretenue.
La voiture des pilotes
L’Escort RS1800 Mk II est une véritable légende dans le monde du rallye. Dotée du moteur 1,8 litre Cosworth BDA, capable de dépasser 240 chevaux dans sa version compétition, elle a été la reine des courses à la fin des années 1970 et au début des années 1980. Des pilotes mythiques comme Björn Waldegård, Ari Vatanen ou Hannu Mikkola lui doivent certains de leurs plus grands succès. C’est d’ailleurs au volant d’une RS1800 qu’Ari Vatanen est devenu champion du monde des rallyes en 1981, inscrivant à jamais ce modèle dans l’histoire du sport automobile.
Bref, l’enchère record de 318.000 euros illustre à quel point ce modèle continue de faire rêver. Après le décès récent de son propriétaire, c’est désormais sa veuve qui a pris la difficile décision de se séparer de ce trésor automobile. Une page se tourne pour cette famille, mais l’histoire de cette Ford Escort légendaire commence pour l’enchérisseur gagnant.
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - RENAULT 4 CV ... FACE A LA TWINGO....
Même si près de soixante-dix ans séparent leur conception, les 4 CV et Twingo partagent beaucoup. Pimpantes et populaires, ces deux Renault ont marqué l’inconscient collectif.
La production des Renault 4CV ne démarre qu'à l'été 1947, en raison des dommages subis par les industries durant la guerre et des délais nécessaires à la restauration des machines, sous la forme d'une série de 300 exemplaires destinés aux concessionnaires qui vont ainsi assurer la promotion de la voiture. La 4CV devient l'unique modèle Renault d'après-guerre. En effet, la situation économique du pays est précaire et le gouvernement de De Gaulle contrôle les programmes de fabrication des différentes entreprises nationales, depuis le 27 septembre 1944. À cette date, les entreprises sont réquisitionnées et, sur proposition de Robert Lacoste, ministre de la production industrielle, sont ensuite nationalisées. Le plan quinquennal — « Plan Pons » — limite la production des modèles, ainsi que leur cylindrée. Pierre Lefaucheux devra d'ailleurs batailler quelques mois avec le ministère de la Production industrielle, car ce plan prévoyait initialement que Renault se concentre sur les véhicules industriels.
La première 4CV de série descend des lignes de montage de l’île Seguin le 12 août 19473. La 4CV est un succès: la production quotidienne est de 15 véhicules en 1948 pour atteindre 375 exemplaires en 1950, nombre impressionnant pour l'époque. Pour en obtenir une, le délai est d'un an, en raison de la forte demande, mais aussi de problèmes de fabrication. La 4CV, construite délibérément sur de grandes lignes automatisées et intégrées, afin de réduire le prix de revient, est emblématique des débuts de la consommation de masse.
La gamme s'étoffe ainsi de deux niveaux de finition (luxe et normal) en 1948, d'une finition « grand luxe » en 1949 et d'une « R1063 » en 1950. Le modèle « grand luxe » voit sa puissance augmentée de 4 ch pour atteindre 21 ch et bénéficie d'un toit découvrable, en toile. Le second modèle, la R1063, est une version sportive de 32 ch10, qui participa à de nombreuses courses automobiles, dont les 24 Heures du Mans. L'appellation de « 1063 » fut choisie pour faire suite au nom de code de la version de série, qui est « 1062 ».
Ce modèle fut fabriqué à 80 exemplaires7. La 4CV évolue au fil des ans : les changements les plus marquants sont, sur les modèles 1954, l'abandon de la « moustache » à six barrettes sur la face avant, au profit d'une plus simple à trois barrettes17, puis l'adoption, conjointement à la Dauphine et quelques années avant la fin de la production, de roues à jantes pleines au lieu des précédentes roues à jantes en étoiles démontables.
Source / automotomagazine
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - La Tucker 48 de Francis Ford Coppola à vendre...
La maison Gooding Christie’s est chargée de disperser la collection de voitures du producteur et réalisateur américain à succès, en marge du concours d’élégance de Pebble Beach en août prochain.
Il ne se passe quasiment plus une seule vente aux enchères sans la dispersion de la collection d’un amateur. Lors de la semaine de Pebble Beach, en août prochain, réputée pour être devenue le repaire de la vente des plus belles pièces, de nombreuses collections vont encore être mises à l’encan. En parcourant le catalogue de la maison Gooding & Company récemment rachetée par le poids lourd Christie’s, on découvre que Francis Ford Coppola a décidé de se séparer de ses quelques voitures de collection. À 86 ans passés, le réalisateur à succès de Hollywood, auteur notamment du film Apocalypse Now et de la trilogie du Parrain, considère qu’il est temps de transmettre ses voitures à un nouveau «gardien» qui en prendra autant soin que lui.
Sa collection que l’on pourrait qualifier d’être à taille humaine, à peine quatre voitures, montre l’intérêt de son propriétaire pour les voitures américaines de la première partie du siècle. La plus ancienne est une Ford Model T de 1913, considérée comme la première voiture produite en grande série.
La deuxième est un monument de la production américaine des années 1930 : une Cord 810 Cabriolet de 1936. À l’époque, son style apparaît avant-gardiste avec ses phares rétractables dissimulés dans les ailes, son capot avant se terminant sur des persiennes, ses charnières de porte dissimulées et ses flancs dénoués de marchepieds. Propulsée par un V8 Lycoming, la Cord 810 est estimée entre 90 000 et 120 000 dollars.
La pièce maîtresse de la collection de Francis Ford Coppola est sans conteste la Tucker 48.
C’est sa préférée.
En 1988, il a réalisé un film sur l’histoire de Preston Tucker et de son entreprise qui voulait bousculer les Big Three (GM, Ford et Chrysler). Après la sortie du film, il a conservé le modèle 48 de 1948 qu’il avait utilisé pour le film. Quatorzième d’une série de 50 voitures produites, sa Tucker était exposée à Inglenook, le vignoble de la famille dans la Napa Valley.
Passionné d’automobile, Preston Tucker avait commencé sa carrière chez Cadillac avant de travailler sur les chaînes de montage de Ford. On le retrouve finalement comme commercial puis directeur régional de Pierce-Arrow. C’est en se liant d’amitié avec l’ingénieur et concepteur de voitures de course Harry Miller qu’il commence à construire des voitures de course pour Ford, en 1935.
L’idée de construire sa propre voiture germe durant la Seconde guerre mondiale. Il s’inspire largement du concept révolutionnaire de la Tatra T77 à l’architecture à moteur arrière conçu par Miller. Il s’agissait d’un six-cylindres avec des chambres hémisphériques et des soupapes en tête. La ligne devait porter la signature de Alex Tremulis qui venait d’Auburn et de Cord.
Le moteur Miller ne répondant finalement pas aux critères de Tucker, la berline américaine devait finalement accueillir un bloc provenant de la société Air Cooled Motors spécialisée dans les moteurs d’hélicoptère. Originalité de la production américaine, la Tucker 48 est estimée entre 1,5 et 2 millions de dollars. Le prix de l’exclusivité pour ce modèle qui appartient à l’une des légendes du cinéma américain.
Quant à sa quatrième voiture mise aux enchères, il s’agit d’un banal transporter Volkswagen de type Vanagon GL Westfalia de 1987. Depuis le tournage de The Rain People en 1968, M. Coppola avait adopté ce van qui lui permettait pendant les tournages de se réfugier pour se reposer ou pour écrire. Au fil des années, plusieurs vans VW se sont succédé.
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - LA MERCEDES 300 W188 ..LA VOITURE FABRIQUEE A LA MAIN !!
La Mercedes-Benz W188 était une voiture de tourisme sportive de luxe à deux portes produite par Mercedes-Benz entre 1951 et 1958. Les voitures les plus chères et exclusives de la société, l'élégante 300 S (1951-1954) fabriquée à la main et son successeur 300 Sc ( 1955-1958) ont été l'apogée de la gamme Mercedes de leur époque.
Le style conservateur de la paire dément leurs avancées technologiques, partageant de nombreuses innovations de conception et composants mécaniques avec l'emblématique Mercedes-Benz 300 SL "Gullwing", y compris le moteur, la suspension et le châssis.
Construite à la main, la 300 S (W188) à deux portes était le véhicule haut de gamme de Mercedes-Benz lors de son introduction au Salon de Paris en octobre 1951. Elle était disponible en version 2 places roadster , 2 + 2 coupé et cabriolet (avec bars landau , officiellement Cabriolet A ).
Bien que mécaniquement similaire à la 300 plus contemporaine à quatre portes beaucoup plus grande (W186), le savoir-faire supplémentaire, l'élégance visuelle et le prix 50% plus élevé ont élevé la W188 au sommet des voitures de luxe de son époque .
La 300 S était équipée d'une version hautes performances de la came en tête de 3,0 L (2996 cc / 182 in³) de la W186 , de la tête en aluminium M186 droite-6 , la M188 . Conçu pour offrir un service fiable en cas d'utilisation prolongée, le moteur comprenait des chemises d'eau profonde, un joint diagonal tête-à-bloc innovant qui permettait des soupapes d'admission et d'échappement surdimensionnées, un refroidissement d'huile contrôlé par thermostat, des roulements en cuivre et un vilebrequin durci.
Carburateurs Triple Solex et compression 7,8: 1 et augmentation de la puissance maximale à 150 ch (110 kW; 150 ch) à 5000 tr / min. De juillet 1952 à août 1955, un total de 216 Coupés, 203 Cabriolet As et 141 Roadsters ont été produits. La 300 Sc (W188) est apparue en 1955, avec des améliorations à la fois de son moteur et de sa suspension. À la suite de la performance de la 300SL Gullwing, un an plus tôt, la Sc-inline-six a reçu une version de son injection directe de carburant mécanique , qui a délivré un 175 ch (129 kW; 173 ch) de 5400 tr / min considérablement désaccordé.
La suspension indépendante «bas pivot» de Mercedes-Benz était montée à l'arrière. Seule une paire de bandes chromées de chaque côté du capot le distinguait visuellement de son précurseur. Les prix montèrent à 36 500 DM, et 98 Coupés, 49 Cabriolet As et 53 Roadsters furent construits jusqu'en avril 1958.
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-OldBenz
Le style conservateur de la paire dément leurs avancées technologiques, partageant de nombreuses innovations de conception et composants mécaniques avec l'emblématique Mercedes-Benz 300 SL "Gullwing", y compris le moteur, la suspension et le châssis.
La 300 S était équipée d'une version hautes performances de la came en tête de 3,0 L (2996 cc / 182 in³) de la W186 , de la tête en aluminium M186 droite-6 , la M188 . Conçu pour offrir un service fiable en cas d'utilisation prolongée, le moteur comprenait des chemises d'eau profonde, un joint diagonal tête-à-bloc innovant qui permettait des soupapes d'admission et d'échappement surdimensionnées, un refroidissement d'huile contrôlé par thermostat, des roulements en cuivre et un vilebrequin durci.
Carburateurs Triple Solex et compression 7,8: 1 et augmentation de la puissance maximale à 150 ch (110 kW; 150 ch) à 5000 tr / min. De juillet 1952 à août 1955, un total de 216 Coupés, 203 Cabriolet As et 141 Roadsters ont été produits. La 300 Sc (W188) est apparue en 1955, avec des améliorations à la fois de son moteur et de sa suspension. À la suite de la performance de la 300SL Gullwing, un an plus tôt, la Sc-inline-six a reçu une version de son injection directe de carburant mécanique , qui a délivré un 175 ch (129 kW; 173 ch) de 5400 tr / min considérablement désaccordé.
La suspension indépendante «bas pivot» de Mercedes-Benz était montée à l'arrière. Seule une paire de bandes chromées de chaque côté du capot le distinguait visuellement de son précurseur. Les prix montèrent à 36 500 DM, et 98 Coupés, 49 Cabriolet As et 53 Roadsters furent construits jusqu'en avril 1958.
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-OldBenz
vendredi 25 juillet 2025
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Des histoires d’automobiles en BD...
Pour petits et grands, à l’heure des congés estivaux, entre fiction et réalité, une sélection d’albums illustrés racontant des épisodes de la course. Michel Vaillant, ce champion de papier sorti de l’imagination du dessinateur Jean Graton, est immortel. Le voici qui revient dans un album intitulé La Course du siècle (16,95 €). Avec Denis Lapière pour le scénario et Vincent Dutreuil pour les dessins, la famille Vaillant et ses Vaillante s’immiscent dans le duel Ford-Ferrari de l’édition 1967 des 24 Heures du Mans. Comme toujours, les croquis sont saisissants de réalisme. Les scénarios et la reproduction fidèle des scènes nous installent dans la vraie vie.
Le résultat de la course, à découvrir en lisant l’album, laisse place à l’imagination.
Dans la collection « Dossier Michel Vaillant », le tome 18 (Dupuis, 22 €) s’intéresse à l’histoire du circuit hollandais de Zandvoort situé en bordure de la mer du Nord.
En tournant les pages de cet album associant textes, photos et dessins, on apprend que Tarzan, nom donné à un virage, tire son nom de l’agriculteur qui avait donné sa terre pour construire le tracé.
Tout aussi fascinant est le parcours du Manceau Jean Rondeau.
Le journaliste Pascal Dro et le dessinateur Christian Papazoglakis nous font revivre l’aventure de ce jeune ambitieux qui a concrétisé son rêve en devenant le seul à remporter les 24 Heures du Mans au volant d’une voiture portant son nom (24 Heures du Mans, Glénat, 14,50 €).
Gilles Gaignault, la mémoire des paddocks
Qu’est-ce qui fait encore « courir » ce petit-fils d’un agent de change ?
La passion et sans doute un besoin de reconnaissance, car comment expliquer que ce jeune homme qui va vers ses 75 ans continue à être aussi actif. Tour à tour journaliste sportif, grand reporter, responsable de la communication de la Fédération internationale de l’automobile et attaché de presse de Jean-Marie Balestre, agent de Philippe Streiff, directeur d’écurie, fondateur et rédacteur du site Autonewsinfo, Gilles Gaignault se raconte dans un livre *.
Et comme rien n’a échappé à sa sagacité et à sa mémoire d’éléphant, cela donne un ouvrage riche d’anecdotes sur les personnages et les événements qui ont écrit l’histoire du sport automobile de ces cinquante dernières années. À lire à la plage ou à l’ombre d’un arbre.
* Mémoires de passion. Un demi-siècle dans les paddocks, Glyphe, 246 p., 25 €.
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivie de l'info...
CLUB5A - REPORTAGE AUTOS - BALADE AU MONT ST MICHEL, EN PEUGEOT 203,!!
Joséphine et ses 2 copines vous présentent leur 'épopée', à l'occasion d'un voyage, depuis le département du Nord, pour une rencontre de Peugeot 203, au Mont Saint Michel.
Ce rassemblement a eu lieu pendant le mois de Septembre, sous l'égide de l'Association 203 Breizh-Normandie...
Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, l’industrie automobile française est en ruine, à l’image de ses usines. La firme de Sochaux rêvait de pouvoir concurrencer la Citroën 15 Six, en proposant une voiture dotée d’un moteur V8, sorte de 22 CV à la mode Peugeot. Le projet 802, commencé en 1940, est finalement abandonné, car voué à l’échec en raison des restrictions et des pénuries sur le marché d’après-guerre. Il est donc décidé de partir de zéro et de proposer un projet moins ambitieux et plus réaliste.
Le cahier des charges de la nouvelle Peugeot est une voiture de 10 CV, aussi puissante qu’une 11 à 14 CV d’avant-guerre, dotée d’un confort supérieur aux normes précédentes. Une place prépondérante doit être accordée à la sécurité avec une meilleure tenue de route et, surtout, un freinage efficace et renforcé. La précédente 402 a une mauvaise réputation en ce domaine. Dans le même temps, il est décidé de concevoir une gamme complète autour d’un seul modèle, décliné en plusieurs versions, faute de moyens. Bien des constructeurs se contentent de remettre en production, en le modernisant ou pas, un modèle existant avant la guerre.
Le pari audacieux et sage de Peugeot, avec la 203, fait le bonheur de la marque et de ses fidèles.
Les premiers salons automobiles de l’après-guerre voient naître une foule de petites voitures (Panhard Dyna, Renault 4CV, Citroën 2CV, etc.). Quant à la voiture moyenne traditionnelle, il n’y a guère que la Traction Avant et la Simca 8.
C’est précisément sur ce créneau que Peugeot présente à la presse et aux concessionnaires, en octobre 1947, sa « 203 ». La présentation officielle au grand public a lieu à Paris, lors du salon de 19481.
Sa fabrication commence quelques semaines plus tard pour s’achever 12 ans après, le 26 février 19602. L’usine est organisée pour une production journalière de 300 véhicules, mais la limitation des attributions des matières premières ne permet que d’atteindre 100 unités quotidiennes, en avril 19493. On arrive à 200 véhicules par jour, au début 19504. Au total, plus de 685 000 exemplaires, toutes versions confondues, sortent des chaines de Peugeot.
Source : alaud56-WKPDIA/CC-BY-SA-3.0
Inscription à :
Articles (Atom)