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mardi 9 décembre 2025

CLUB5A - RETOUR SUR IMAGE - UN DES PLUS GRANDS RASSEMBLEMENTS MOTOS AUX USA.."STURGIS" DANS LES ANNÉES 1950 !!

Au début, il y avait les pilotes sur route, les fans.... Et il y avait JC "Pappy" Hoel et son rêve de la Black Hills Classic Motor. Les premiers rassemblements comprenaient une course d'endurance de 210 mile avec l'Jackpine Tsiganes Motorcycle Club au sud Black Hills les frais d'entrée était de 50 cents. Au début du siècle, près de 400.000 personnes ont participé au rassemblement, le plus grand nombre de venir voir les concerts que d'admirer les motos. Aujourd'hui il faut un laissez-passer pour voir Bob Dylan et Kid Rock.  
Dans les années 50, cette manifestation a attiré des foules de partout das le  pays. Temple de la renommée moto Dick Mann a soufflé autour de la piste en terre demi-mile en 27,12 secondes. 
Les années 1960 ont trouvé Sturgis qui propose un parking gratuit sur la route du  Main (USA) pour les motos. Mais comme la popularité du rallye a augmenté, tout les problèmes aussi. Nombreuses étaient les émeutes pendants les années 70 et 80 . En 1982, l'avenir du rallye a été mise aux votes. Il a vécu pour voir un autre jour - par 88 voix. La violence était encore de mise dans les années 90, mais le vent à tournée - plus de concerts, plus de spectateurs et plus d'argent. 
 Comme la décennie actuelle tire à sa fin, le rallye Sturgis a évolué..... Maintenant, la foule est composée de personnes qui sont venues au cours du rallye quand ils étaient enfants.....Ils apportent leurs enfants et c'est peut être cela  l'avenir de la manifestation !!
Source : legendarysturgismainstreet.com / vidéo  craiglee1670

dimanche 7 décembre 2025

CLUB5A - IMAGES D’ARCHIVES - LE RALLYE DE MONTE-CARLO DE 1952...

Le Rallye automobile Monte-Carlo est une manifestation sportive de type rallye automobile organisée par l'Automobile Club de Monaco et dont le cadre de départ et d'arrivée est la principauté de Monaco, même si l'essentiel du parcours a lieu plus au nord, notamment dans les départements français des Alpes-Maritimes, de l'Ardèche, de la Drôme, des Hautes-Alpes, de l'Isère ou encore des Alpes-de-Haute-Provence, selon les années. Cette épreuve se déroule systématiquement en hiver, au mois de janvier. On entend — ou lit — souvent dans les médias « Rallye de Monte-Carlo », mais la véritable dénomination de cette épreuve n'a jamais inclus la préposition « de ». 
Avec les progrès réalisés sur les véhicules ainsi que l'amélioration du réseau routier européen, l'ACM essaie alors de donner un visage plus sportif à son épreuve, afin de compliquer la tache aux participants et surtout que le rallye ne soit pas une promenade de santé. Ainsi au fil des années, le règlement est sans cesse modifié. 
On voit apparaître une épreuve de maniabilité, puis une épreuve se déroulant sur quelques tours du parcours du circuit de Formule 1 monégasque afin de départager les équipages. Mais bientôt apparaît une épreuve qui va faire là encore la réputation du rallye : le circuit de montagne dans le haut-pays niçois. Le Monte-Carlo n'a pas encore pris le visage sportif qu'on lui connaît de nos jours : en effet, les épreuves servant à départager les équipages se basent encore sur la régularité, et non la vitesse pure. De 1953 à 1956 puis de 1958 à 1960, le rallye Monte-Carlo compte pour le Championnat européen de Grand Tourisme8, puis de 1961 à 1967 et de 1970 à 1972, il s'inscrit alors dans le Championnat d'Europe des rallyes. 
Il rejoit le Championnat du monde des rallyes (WRC) en 1973 dès sa création, en étant la toute première épreuve de ce nouveau championnat. À partir du début des années 1960, les épreuves dites « spéciales » font leur apparition. La notion de régularité est encore présente, mais lors des épreuves spéciales seule la vitesse pure compte. Afin de ne pas défavoriser les véhicules les moins puissants, le classement général prend en compte une méthode de calcul que l'on appelle « indice ». 
C'est ainsi qu'un véhicule de moindre puissance peut parfois battre un véhicule d'une puissance même largement supérieure: en 1961 par exemple René Trautmann et Jean-Claude Ogier sur Citroën ID19 réalisent le meilleur temps cumulé, mais terminent seulement dix-neuvièmes, loin derrière une modeste Panhard9. 
 Au milieu des années 1960, le classement « scratch » entre en vigueur. L'indice a vécu, et c'est maintenant l'équipage qui a réalisé les meilleurs temps lors des épreuves spéciales en étant le moins pénalisé qui est déclaré vainqueur. C'est aussi l'apparition des pilotes « usine » (avec pour la France les services compétition de Renault et Citroën, dirigés respectivement par François Landon -depuis la création en 1951-, et René Cotton -officieusement depuis 1959) ; le temps des « gentlemen drivers » est désormais révolu. 
En 1952 Sydney H. Allard / Guy Warburton (Allard J 2 Sport)sont les vainqueurs de l'épreuve ...
Source : British Pathé



mercredi 5 novembre 2025

CLUB5A - IMAGE D'ARCHIVE - CASCADE AUTOMOBILE A MAUBEUGE.......C’ÉTAIT EN 1927 !

Cascade automobile en 1927 à Maubeuge dans le Nord de la France !! 
 André Mencier au volant de sa Peugeot défie tous les concurrents pour battre son « Grand saut national de 10 pieds ». André Mencier, portant le costume et cravate pose pour la caméra dans sa voiture : une Peugeot entourée par la foule.

Source : British Pathé 

samedi 11 octobre 2025

CLUB5A - IMAGE D'ARCHIVE - Course Automobile à Brooklands en 1928 !!

Course automobile à Brooklands.
Les pilotes de voitures de course prennent le départ au début d’une compétition automobile en 1928.
Le circuit de Brooklands est un circuit automobile de 4,43 km de développement situé près de Weybridge, dans le comté de Surrey, au Royaume-Uni. 
Il a ouvert en 1907 et est le premier lieu consacré au sport automobile construit spécialement à cet effet. Il fut l'un des premiers aérodromes de Grande-Bretagne. 
Le circuit a accueilli sa dernière course en 1939 et abrite aujourd'hui le Musée Brooklands consacré à l'aviation et à l'automobile. 
Le circuit demeure un lieu de rencontres pour voitures et motos anciennes et autres événements liés aux transports.  
Source : British Pathé

lundi 22 septembre 2025

CLUB5A - IMAGES D'ARCHIVES - COURSE AUTOMOBILE DU DÉBUT DU SIÈCLE ....

Encore un petit moment d'histoire automobile intéressant montrant une course automobile du début de ce siècle tout y est ......  
En février 1884, Édouard Delamare-Deboutteville (1856-1901) construisait en effet le premier moteur à explosion. Quelques années auparavant, les recherches sur la traction à vapeur – menées par Amédée Bollée (1844-1917), Léon Serpollet (1858-1917) et la Société de constructions mécaniques de Dion-Bouton et Trépardoux – avaient connu de nombreuses applications : le monde industrialisé était mûr pour l’automobile.
 Des bricoleurs de génie – comme le marquis Albert de Dion (1856-1946), Émile Levassor (1844-1897) ou Serpollet – aux industriels comme André Citroën (1878-1935) ou Louis Renault (1877-1944), des trompe-la-mort qui, dès 1899, dépassaient les 100 kilomètres/heure aux artistes comme Ettore Bugatti (1881-1947), installé en Alsace, les débuts de l’aventure automobile écrivent une saga bien française… 
 Cependant, ces nouveaux engins faisaient encore peur ; de fortes résistances psychologiques les discréditaient. Ils suscitaient l’incrédulité quant à leur viabilité et à leur endurance. À l’époque, l’automobile est surtout un sport, non un moyen de locomotion, et la compétition devient l’un de ses modes naturels d’expression, synonyme de modernité. 
Constructeurs désireux de prouver la qualité de leurs modèles et de mettre à l’épreuve leurs innovations techniques, sportsmen adorant relever des challenges, tous participèrent avec enthousiasme à ces courses qui n’étaient pas dénuées de danger puisqu’il y eut des victimes, tant parmi les concurrents que dans les rangs des spectateurs. Néanmoins, elles préfiguraient les grands rallyes automobiles du siècle suivant.
Source : Wilfrid Jacquemoud / histoire-image.org

dimanche 21 septembre 2025

CLUB5A- REPORTAGE AUTO - L'HISTOIRE D'AMEDEE GORDINI !

Il n'est pas question ici de détailler le palmarès, ni de décrire les aspects techniques des voitures d'Amédée Gordini. Nous nous efforcerons simplement de raconter comment cet homme ingénieux est parvenu à imposer son nom dans le milieu de la compétition automobile hexagonale, comment il a représenté le bleu français au coeur des années 50, avant de s'abandonner à la toute puissante Régie Nationale. 
Ce qui nous vaut aujourd'hui cette rétrospective, c'est l'initiative de Renault en 2010 de faire revivre ce nom mythique en apposant des bandes blanches sur des Clio et des Twingo bleues.
  Avant de devenir le complice sportif de Renault, Amédé Gordini eut l’intention en solitaire avec les noms les plus prestigieux. Par sa ténacité et son ingéniosité, « le sorcier » est presque parvenu à faire trembler les légendes pendant les 30 glorieuses. Amédé Gordini, est né au tournant du XX ème siècle, le 23 Juin 1899 à Bazzano, près de Bologne en Italie. La mécanique fascine le petit italien. 
La mécanique, mais aussi la France, où il imagine pouvoir réaliser son rêve, à savoir travailler sur les automobiles. La période SIMCA ! Amédé Gordini immigre alors en France et trouve un emploi au garage Cataneo, à Saint Cloud. Au milieu des années trente, il entreprend d’ensorceler des mécaniques Fiat qui vont bientôt porter le label S.I.M.C.A. De fil en aiguille, de réglages en transformations, il métamorphose les moteurs qui passent entre ses mains. Il parvient même à déguiser les modestes Simca Cinq et Huit en véritables machines de course en vue des 24 Heures du Mans. Après la seconde guerre mondiale, tout semble permis. Amédé Gordini aiguise ses ambitions et envisage de construire ses propres modèles. 
Dans le sillage de la reconstruction de l'industrie de l'automobile française, Amédé Gordini décide d'élaborer des monoplaces de compétition, toujours en utilisant des composants d'origine Simca. Sa première « vraie » création voit le jour en 1946, dans un atelier du boulevard Victor, près de la porte de Versailles, à Paris. En 1947, la cylindrée passe à 1 220 cm3, et l'année suivante, à 1 430 cm3. Mais la parenté avec la Simca Huit reste toujours lisible au delà des formes joliment fuselées de la machine. 1950, première année du Championnat du monde des conducteurs... 
Amédé Gordini estime qu'il peut se lancer dans la grande aventure et qu'il dispose d'un bloc capable d'accéder à la Formule 1. La réglementation limite la cylindrée à 4500 cm3 sans compresseur et 1 500 cm3 avec compresseur. Gordini décide de monter sur le bloc 1 430 un compresseur Wade à simple étage tournant à 10 000 tr/min, soit une fois et demie plus vite que le moteur. On reconnaît toujours l'embasse du bloc Simca à trois paliers qui s'avère naturellement fragile lorsqu'elle se trouve sollicitée, par la suralimentation. Les soupapes, en particulier sont dépassées par les évènements... 
 Le châssis a lui aussi une apparence plutôt grêle, avec son cadre à fins longerons et sa suspension avant de série. Ces handicaps se transforment en arguments positifs quand on parle de poids: la Simca est plus légère que toutes ses rivales de Grands Prix. Elle est également l'une des rares voitures ambivalentes, utilisées en Formule 1 et Formule 2 (seule la HWM de Stirling Moss se trouve dans le même cas). Les petites et fragiles Simca parviennent parfois à jouer les troubles fêtes, Manzon prenant une belle quatrième place au Grand Prix de l'Automobile Club de France. En 1951, A.Gordini dispose d'un tout nouveau moteur qui ne doit plus rien au groupe Simca. 
Le bloc comporte un vilebrequin cinq paliers, il arbore des cotes rigoureusement carrées (78x78 mm) et est coiffé d'une culasse à double arbre à cames en tête. Le châssis, ultra léger, demeure pratiquement inchangé. Tout au long de la saison 1951, Gordini jongle entre la Formule 1 et la Formule 2. Les mécaniciens passent jours et nuits à monter et démonter les compresseurs pour s'adapter à l'une ou l'autre catégorie. Les hommes et le matériel arrivent sur les circuits épuisés et mal préparés. En outre, Gordini s'entête à participer aussi aux 24 heures du Mans. Au bout du compte, Gordini n'obtient de réussite dans aucun des domaines.
 Résultats, le patron de Simca de l'époque s'impatiente et lui retire son soutien à la fin de la saison 1951. Cette année là, la seule victoire de l'écurie Simca-Gordini fut obtenue au Grand Prix d'Albi, hors championnat, par Maurice Trintignant. Les années 50, une période difficile qui va démontrer le génie du sorcier... Durant l'hiver suivant, Gordini se retrouve pratiquement ruiné. Solitaire, mais déterminé, le sorcier va se surpasser. Il dessine un nouveau moteur satisfaisant aux normes de la Formule 2, catégorie selon laquelle doit alors se disputer le championnat du monde des conducteurs en 1952 et 1953. 
Le 6 cylindres 2 litres a toujours des côtes carrées (75x75 mm) et il dispose désormais d'un carter sec. L'atout majeur de la Gordini réside dans son rapport poids-puissance: 155 ch pour 450 kg. Après un galop d'essai à Marseille, la première manche du Championnat du monde se déroule en Suisse. Le camion bleu arrive sur le circuit pour la première séance d'essais avec une seule voiture. Pendant ce temps, ce sont les mécaniciens, qui à Paris, s'affairent sur la seconde voiture. Le seul moyen d'arriver à temps pour se qualifier serait de rejoindre le circuit par la route. 
Qu'a cela ne tienne ! Quand la voiture est prête, on lui appose une plaque d'immatriculation, et Jean Behra prend le volant de la monoplace. Il descend à Berne en se faufilant au milieu de la circulation, sur les routes de Bourgogne et du Jura, et la voiture arrive à temps pour prendre le départ du Grand Prix de Suisse! Berhra se classera troisième ! En Juin 1952, au Grand Prix de la Marne, qui se dispute sur le circuit de Reims, Jean Behra réussit un autre exploit: il s'impose devant les Ferrari 500F2 de Farina et Ascari, réputées imbattables... 
Malheureusement, l'épreuve ne compte pas pour le championnat du monde. En 1951, avec le retour de la F1 et sa cylindrée fixée à 2.5 litres, Gordini développe une monoplace entièrement nouvelle, moderne, ambitieuse, profilée... Celle ci dispose d'un moteur huit cylindres associé à une boîte de vitesse à cinq rapports , et d'une suspension à quatre roues indépendantes. Gordini s'entête jusqu'à la fin de saison 1956. Il jette définitivement l'éponge après le Grand Prix de Naples en 1957. Il abandonne de même la partie aux 24 heures du Mans, où il avait pourtant été présent depuis la reprise de 1949. Ses meilleurs résultats dans cette épreuve resteront les sixièmes places de 1953 et 1954. 
Gordini s'allie avec Renault, et le mythe arrive en France En 1956, Amédé Gordini sombre et timide songe déjà à sa reconversion. Il rencontre alors Pierre Dreyfus, le patron de la Régie de l'époque, à laquelle il va apposer son nom. La première Dauphine Gordini apparaît en septembre 1957. Elle sera suivie des légendaires R8 Gordini de 1964 à 1970 et des R12 Gordini de 1970 à 1974. La plus connue des Gordini, la R8 De plus, les Alpine des 24 heures du Mans seront animées avec succès par des moteurs Renault-Gordini. Lorsque la lignée s'interrompt, le sorcier a 75 ans. Il prend du recul, s'isole dans son atelier du Boulevard Victor, rêve encore de mécanique, alors qu'il a donné son nom à l'usine de Viry-Châtillon. Il s'éteint le 25 mai 1979. Une place porte aujourd'hui son nom près de la porte de Versailles.
Source : THERRIEZ DIDIER-gtmag.fr/

mercredi 17 septembre 2025

CLUB5A - IMAGES D'ARCHIVES - LES GRANDES HEURES DE LA COMPÉTITION AUTOMOBILES..C’ÉTAIT EN 1933 !!

Les débuts de la course automobile Les années 30 furent fertiles pour l'apparition des bons pilotes, elles furent surtout marquées par la préoccupation par rapport à la sécurité de ces voitures qui devenaient de plus en plus puissantes et c'est l'accident mortel de Antonio Ascari, de Dario Resta 
et des américains Jimmy Murphy et Joy Boyer qui en fit réfléchir plus d'un. Plusieurs règlements dont les dimensions des moteurs furent adoptés par l'A.I.A.C.R. (Association Internationale des Automobiles Clubs Reconnus) car certains atteignaient la vitesse folle de 240 km/h, ce qui était beaucoup pour ces voitures peu stables.   
Source : David Guénard laberezina.com

mercredi 20 août 2025

CLUB5A - IMAGE D'ARCHIVE AUTO - L'ASSISTANCE AU PARKING EXISTAIT DEJA EN 1927 !!

Cramponnez-vous bien, nous sommes en 1927 !!! 
 Cela s'est passé sur la place d'Arras... 
Nous n'étions pas encore nés, et l'assistance au parking existait déjà !
C'est quoi de nos jours un stationnement automatique ??
Le stationnement automatique est une aide à la conduite qui automatise des actions du conducteur durant une manœuvre de stationnement. 
Il existe trois type de systèmes de stationnement automatique : Le parking mains-libres, où le système prend le contrôle du volant et laisse le contrôle longitudinal (accélération, freinage) au conducteur. Le parking mains-libre freineur, où le système prend le contrôle du volant et du freinage, et laisse l'accélération au conducteur. 
Le stationnement totalement automatique, où le système prend le contrôle de la direction assistée, de l'accélération et du freinage. Selon les modèles, le système est capable d'aider le conducteur à se garer dans des places en créneau, bataille ou épi.
 Certains systèmes proposent aussi une assistance pour sortir d'une place Le véhicule est équipé de capteurs ultrasons positionnés sur les boucliers avant et arrière, qui sont capables de détecter les obstacles aux alentours. Lorsque le véhicule avance à vitesse modérée, les capteurs latéraux scannent les côtés du véhicule. Quand le système détecte une place disponible, il prévient l'utilisateur. Si l'utilisateur accepte l'emplacement proposé, le système calcule la trajectoire optimale pour se garer, puis prend le contrôle du véhicule. 
 Le système est souvent couplé à l'Aide au parking ou à la Caméra de recul pour donner des repères au conducteur durant la manœuvre. Il existe plusieurs manières d'interrompre une manœuvre, comme tenir le volant ou ouvrir une portière. Certains systèmes permettent d'utiliser une télécommande ou une application pour garer automatiquement son véhicule
Source : British Pathé -WKPDIA/CC-BY-SA-3.0