jeudi 31 juillet 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - UNE SORTIE NEIGE AVEC DE LA NEIGE EST UNE SORTIE NEIGE DIGNE DE CE NOM ....


 

CLUB5A- PHOTO INSOLITE - POUR ECOUTER LES DISQUES VINYLS DANS SA VOITURE !!


CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION MOTO - RESTAURATION D'UNE MONET GOYON 125 S6V

Séduisante dans sa livrée rouge et noire la petite Monet 125 est apparue au catalogue de la firme de Pantin en 1949. Ce petit utilitaire vendu au prix très accessible de 120.000 frs bénéficiait d'un équipement complet et de quelques originalités en option comme les correcteurs de suspensions Grégoire.
Source : mynette75

CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - Jaguar Type-E électrique, my goodness !

TRANSFORMATION - Jaguar a glissé un moteur électrique sous le capot de l'une de ses Type-E de 1968. Hérésie ou avenir du véhicule ancien ? 
 Seul Jaguar pouvait se permettre cette audace: remplacer un six cylindres en ligne par un moteur électrique sous le capot de l'une de ses mythiques Type-E de 1968. 
My goodness! 
La motorisation électrique ne sera-t-elle plus réservée qu'aux seuls véhicules du futur? 
Va-t-elle aussi toucher nos anciennes? 
Pour la marque britannique, il s'agit d'un ballon d'essai: «avec la Type-E Zero, nous voulons que les voitures classiques résistent à l'épreuve du temps. 
Nous étudions la possibilité de mettre ce concept sur le marché et nous sommes donc impatients d'entendre les réactions de nos clients», dit Tim Hannig, le directeur de Jaguar Land Rover Classic. Ainsi motorisé, le célèbre bolide des années 1960, dont Enzo Ferrari estimait qu'il était «la plus belle voiture du monde», ne produit plus aucune pollution lorsqu'il roule. 
Plus nerveuse qu'une Type-E d'origine 
Les véhicules de collections sont pour l'instant épargnés par la lutte antipollution dont l'automobile fait l'objet. Rapporté à l'ensemble du parc de voitures en circulation, leur nombre est très faible. À Paris, les plus de trente ans sont tolérés et ne sont pas soumis au dispositif Crit'Air. 
Mais les populaires 2 CV qui promènent les touristes dans la capitale sont cependant en voie d'électrification. La Type-E «zéro émission», présentée à Londres avant le salon de Francfort, au Jaguar Land Rover Technical Festival, qui se tient du 8 au 10 septembre, a fait l'objet d'une réalisation très soignée. 
À l'exception de modernes feux à LED, discrètement implantés dans les optiques pour des raisons d'efficacité énergétique, rien ne la différencie d'une Type-E «thermique», et elle se conduit de la même façon. Elle est plus nerveuse que le modèle d'origine: le 0-100km/h ne prend que 5,5 secondes, soit 1 seconde de moins qu'une Type-E série 1. Et encore, Jaguar dit ne pas avoir surmotorisé l'engin. 
«Afin d'associer de façon imperceptible la motorisation électrique et les réglages de la Type-E d'origine, nous avons limité la puissance du véhicule pour en optimiser le plaisir de conduire», explique Tim Hannig. Retour au moteur à essence possible Le moteur électrique développe 220 kW (300 ch). Il possède les mêmes dimensions que le groupe à essence XK d'origine, auquel il ressemble étonnamment, et peut être monté sur toutes les Jaguar dotées de ce bloc, produit entre 1949 et 1992. 
Il est installé, avec son réducteur, juste derrière le pack de batteries, au même endroit que la boîte de vitesses de la Type-E d'origine. Un nouvel arbre envoie la puissance à un différentiel et à la transmission finale. Le poids total est inférieur de 46 kg à celui de la voiture de 1968. 
Ce groupe motopropulseur, a été développé par un spécialiste selon un cahier des charges spécifique déterminé par Jaguar Land Rover Classic. Il utilise une technologie et des composants provenant de la future I-PACE, premier véhicule de série entièrement électrique de Jaguar. La Type-E Zero disposerait d'une autonomie en «situation réelle» de 270 km. Sa batterie de 40 kWh peut être rechargée le soir à la maison en 6 à 7 heures selon la nature de la source d'électricité. Mais Jaguar a prévu un éventuel rejet de cette greffe électrique. «La Type-E pourra être rééquipée d'un moteur conventionnel à tout moment. Je pense que c'est essentiel pour s'assurer que Jaguar reste fidèle à son ADN», conclut Tim Hannig. 
On n'est jamais trop prudent. 
 Source : lefigaro.fr / Par Philippe Doucet /sportauto

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mercredi 30 juillet 2025

CLUB5A-RETOUR SUR LE 36ème TOUR DE L'AUDE- EDITION 2025 - CONCERNANT LE TOUR DE L'AUDE TOUT VA BIEN ...NE T'EN FAIS PAS !

 

La 36ᵉ édition du Tour de l’Aude est bien terminée… 
Et quel rallye ! 
Quel périple ! 
Un plateau exceptionnel de 54 voitures construites avant 1950, des équipages dotés d’une extrême bonne humeur et une ambiance d’enfer malgré beaucoup de kilomètres. Pour la première fois : 900 kms, 5 jours de rallye, 5 départements traversés et de magnifiques paysages. 


Pour que la découverte de cette région soit totale, nous avons demandé l’aide de nos amis Isabelle et Eric Lamoure (des purs Béarnais) qui nous ont conduits sur des routes et des lieux magiques tant touristiques que gastronomiques. 
Le rallye débute le jeudi 10 juillet par des retrouvailles fort chaleureuses à l’Ibis Styles. 
Embrassades, rigolades, blagues, nous sommes tous heureux de nous retrouver, cela fait plaisir et chaud au cœur. Tout ce petit monde est convié au cœur de la Cité médiévale au restaurant Le Créneau pour l’ouverture officielle du rallye. 
Apéro sur la terrasse avec présentation du 36ᵉ Tour de l’Aude, suivi du repas. 
-Vendredi 11 juillet 8h, nous nous retrouvons tous devant la Porte Narbonnaise pour une étape qui s’annonce longue et difficile : 100 kms pour rejoindre le Mas d’Azil pour une pause-café, passage dans les entrailles de la terre, puis 70 kms de plus pour rejoindre Saint-Gaudens où nous prendrons notre déjeuner au restaurant « Le Commerce », belle table à recommander !
Nous essuyons les premières pannes (casse moteur Hotchkiss). Claude Floret, pompe à essence défectueuse Renault Celta quatre ; Eric Lamoure, court-circuit Lorraine Dietrich B3/6 ; Jacques Delacour, etc. 
14h : Tout le monde est là pour se restaurer et se désaltérer pendant que les mécaniques se reposent. L’après-midi, 20 km pour rejoindre Saint-Bertrand-de-Comminges pour visiter sa cathédrale et le cœur du village. 
Ce n’est que 100 km après que nous retrouvons notre hôtel Le Mercure, à Pau. 
Fin d’après-midi, abandon de la Riley Linx (pompe à huile cassée) de nos amis Puigcerver venus pour la première fois. Installation à l’hôtel pour un repos bien mérité. 
-Samedi 12 juillet, départ 8h30 pour Salies-de-Béarn avec la visite des salines, de la cité du Sel et le repas dans son casino. Surprise, qui voit-on arriver : Alain et Françoise Anquetin venus nous rejoindre pour le repas. 
 Les voitures sont garées dans le parc du Casino à l’ombre des platanes qui sert d’écrin à ce véritable musée roulant, mais il manque le groupe des Bugatti. 
 Panne sur la Bugatti 51 d’Alain Plasch (boîte à vitesse bloquée, pignon de marche arrière cassé), mais Francis ouvre la boite sur la route, enlève les dents cassées, refait le niveau d’huile et le tour est joué, ils sont là pour manger. 
-Dimanche 13 juillet : une étape au cœur du Jurançon ! Nous partons visiter les grottes de Bétharram, puis déjeuner au domaine du Cinquau en plein cœur du Jurançon. Endroit somptueux et typique, mais là aussi nous comptons des absents : Marc Durand, roulements de pont cassés sur son Amilcar, est obligé d'abandonner ; commande d’embrayage HS sur la Riley de Nico, mais notre génie mécanique Patrick Cilia fait des merveilles et la voiture repart. 
Manque encore Klass Brouwers qui lui rejoint directement l’hôtel pour problèmes d’allumage. Ouf !
14 h, nous avons tout le monde à table. L’après-midi, 15 petits kms pour rejoindre le boulevard des Pyrénées à Pau pour une visite de la ville en petit train et une visite du château Henry IV pour les plus chanceux. 
Je tiens ici à remercier M. Vincent Lasfargues représentant la FFVE qui nous a soutenu et défendu auprès de la mairie pour obtenir ce parking très bien placé. 
En parallèle, un tour sur le tracé en ville du grand prix de Pau était proposé pour les plus courageux. Retour à l’hôtel pour la dernière soirée. 
 -Lundi 14 Juillet : départ 7h30 pour les plus matinaux 170 kms via Miélan, Trie sur Baïse, pour prendre le déjeuner au restaurant « le Carré de l’Ange » à Saint Lizier et c’est la Citroën C4 de Géry Ninove qui arrive la première. La Delahaye de Vincent Escriva a quelques problèmes électriques solutionnés par Patrick et Hervé. Tout rentre dans l’ordre. 
L’après-midi traversée de l’Ariège par Foix, Lavelanet et arrivée à l’hôtel Ibis Style à Carcassonne avant 18h00 pour l’Embrasement de la Cité. Abandon de la Bugatti 37 de Jean Louis Prat (problème d’alimentation d’essence). 
Nous sommes attendus comme le veut la tradition chez Charles et Jeannine Crouzet pour le dîner dansant et admirer un des plus beaux feux d’artifice de France avec vue imprenable. 
-Mardi 15 Juillet : Après une petite balade à travers la Malepère, nous sommes attendus au « Clos Teisseire » à Rouffiac d’Aude pour une dégustation de leurs vins et une présentation du Domaine. Lieu traditionnel de clôture du Tour de l’Aude « le Château de Cavanac » réputé pour sa fine table. Remise des cadeaux et remerciements aux participants. Nous retiendrons de cette 36ième édition une très bonne ambiance, un plateau exceptionnel, Bugatti, Delage, Delahaye, Hotchkiss, Lorraine Dietrich et aussi Renault, Peugeot, Citroën… malgré beaucoup de kilomètres. 
Un grand, grand, merci à nos mécanos Patrick Cilia, Hervé Saint Georges, Marion Bordes et Francis Courteix qui ont œuvré sans relâche tout au long du rallye, sans eux beaucoup seraient restés au bord de la route. 

Quelques petites pannes mais 4 abandons seulement. Un grand merci à toute l’équipe de bénévoles qui s’implique dans cette magnifique aventure : Jean et Gisèle Guilhaumon, Véro, Patrick et Corinne Cilia, notre mécano et bagagiste, notre dépanneur Hervé, Lisèle notre infographiste et Patrice Lééman notre photographe ainsi que quelques membres du Club 5A, Sylvie Raynaud, Daniel Cavaillé, Josette Alvaro, Marleyne Foli, Régis Perich, etc… 


Un grand merci également à Eric et Isabelle Lamoure, à tous les participants venus de Suisse, d’Espagne, du Luxembourg, de Belgique et des 4 coins de France qui font de ce rallye un moment inoubliable. 
Vu l’enthousiasme des participants pour l’an prochain je pense que le 37ième Tour de l’Aude est déjà sur les rails. Vive le 37° Tour de l’Aude !et longue vie à lui… 

Régis ARNAUD

CLUB5A - SORTIE MOTOS AU LAC DE BOUISSE C'ETAIT LE 27 JUILLET 2025...

 

Pour l'excursion à moto du 27 juillet 2025 vers les Corbières, plus précisément vers le lac de Bouisse, le départ a eu lieu comme d'habitude, c'est-à-dire depuis le Dôme à 9 heures du matin. Régis et Alain sont chargés de valider les inscriptions pour cette sortie à moto. 
Encore une fois, il n'y aura pas de repas organisé, car comme l'avait précisé Régis Périch : profitons de ce coin de verdure et dirigeons nous vers le lac de Bouisse avec un pique-nique « sortie du panier ». 
Le point de rendez-vous était fixé au bord du lac avec les motards des Motos Anciennes du Roussillon aux environs de 13h. 
La section motocycliste, initialement composée d'une trentaine de motos, prenait la route vers Bouisse (Pour une boucle de 130km à effectuer dans la journée), une commune se trouvant au cœur du département de l'Aude. 

 

 Après un petit déjeuner, la colonne a traversé les Corbières dans la fraîcheur du matin. Il restait juste un peu de chemin à faire pour rejoindre le lac où nous avons partagé l'apéritif et le pique-nique dans une atmosphère agréable de complicité et de camaraderie. 

La section motocycliste, prenait la route vers Bouisse, cette commune est une localité rurale, ses résidents se nomment Bouissois ou Bouissoises. 
Après un petit déjeuner, la colonne a traversé les Corbières dans la fraîcheur du matin. 

Il restait juste un peu de chemin à faire pour rejoindre le lac où nous avons partagé l'apéritif et le pique-nique dans une atmosphère agréable de complicité et de camaraderie. 
En ce qui concerne les incidents ou pannes, nous déplorons une « embardée » du side-car de Daniel (Moto Guzzi 1000cc), plus effrayante pour le conducteur que réellement dommageable corporellement. 
Quant au side-car lui-même, il nécessitera une sévère remise en état. 


 Le side-car sera transporté sur la remorque pour un retour à domicile sans détour. 
Quoi qu'il en soit, nous pouvons encore observer que le concept piquenique estivale reste véritablement une agréable occasion d'interactions amicales et simples qui conviennent à tous les motards. 
C'est toujours un plaisir de se réunir avec des motards de différents milieux ; ces moments sont toujours très appréciés par tous les participants. 
Comme toujours, nos organisateurs ont parfaitement géré leur domaine d'expertise. Un grand merci à Régis et Fufu, sans oublier Olivier qui a joué le rôle de la voiture balai avec une efficacité exemplaire. 
Remercions également Bruno Quaglia (La Vie de la Moto) pour sa fidélité et son attachement au club 5A pour la diffusion de ses articles qui paraitront dans quelques semaines. 
Photos & Vidéos et texte : P-L

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - PARTIE DE RIGOLADE DANS LA COUR DU CHATEAU DE CAVANAC...


 

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CLUB5A - HUMOUR AUTO - UNE CALANDRE DE COCCINELLE TRES SEXY !

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UN ÉQUIPAGE SOLIDAIRE ET QUI TIENT LA ROUTE !!


CLUB5A-REPORTAGE AUTO - Ces voitures ordinaires devenues extraordinaires...

C’était des voitures ordinaires. 
On les disait simples, utilitaires, “voitures du peuple”… mais les Citroën 2CV, Volkswagen Coccinelle, Mini Cooper, et Combi VW défient tous les pronostics ! D’ex-outils du quotidien à icônes branchées, ces autos incarnent la revanche fracassante de l’ordinaire. Et si le vrai luxe était… la simplicité assumée ? L’incroyable revanche des classiques populaires Nostalgie électrisante: La 2CV, qu’on associait à la campagne, fait un malheur chez les jeunes citadins. La Coccinelle, mix parfait de design vintage et daccessibilité, ressuscite sur la Côte Ouest comme dans les festivals alternatifs. La Mini ? Jamais vraiment disparue, éternelle star “brit pop”. Le Combi VW ? Passé de fourgon de chantier à van fétiche des surfeurs, DJ nomades, familles bohèmes et… bobos quinquas nostalgiques, il explose tous les compteurs hype. 
Mythe pop et réseau social Si la supercar trône dans les garages aseptisés, ces populaires trustent TikTok, Instagram et le ciné indép (“Little Miss Sunshine”, “Into the Wild”, pub Adidas…). Le Combi VW, avec son front plat et ses rideaux patchwork, trône dans tous les clips “road trip”. Même dans les pubs fromagères. Du petit génie utilitaire à la star mondialement copiée 2CV Citroen : Suspensions folles mais à toute épreuve, démontage accessible à tous, icône de ruralité, symbole d’insoumission ingénieuse. Coccinelle VW : Moteur inusable, accessibilité extrême, look reconnaissable entre mille, personnalisation à outrance. La voiture la plus produite de tous les temps Mini Cooper : Format lilliputien, tenue de route redoutable, championne des parkings et des rallyes. Une bouille inimitable au point que BMW en a refait un best-seller contemporain. Combi VW : Né fourgon ou minibus, vite customisé en camping-car DIY par hippies et globe-trotters. Intérieur modulable : salon, lit, cuisine, logo Peace & Love — vanlife avant l’heure. 
Détourné par les artisans, les familles nombreuses, puis fétichisé par les boomers nostalgiques de 68. De banal à iconique : l’ascension sans filtre L’authentique, c’est chic: Les carrosseries patinées, customisées, bourrées de stickers, sont les nouvelles superstars des rassemblements et des réseaux. Restomods et délires rétro-techno : Place aux Coccinelles électriques, aux Mini revisitées, aux 2CV sur-vitaminées… Ce n’est plus qu’une question de nostalgie : c’est la nouvelle modernité. On personnalise, on modernise. On se met dans l’air du temps. Tribus libres, rêveurs indécrottables et familles recomposées Prix (encore) accessibles: Excepté le Combi (nouvelle star spéculative !), la plupart de ces modèles restent globalement accessibles aux passionnés d’anciennes, avec un ticket d’entrée autour de 10.000 euros. 
 Communautés folles d’amour: Du rassemblement “Bulles d’Air” pour les 2CV au Bus Festival pour fans de Combi, la convivialité supplante la compétition : barbecue, jam session, forums, partage de road-trips et de galères mécaniques, personne n’est laissé sur le bord de la route. Pourquoi ces voitures ordinaires nous font encore kiffer ? L’imperfection comme manifeste : Pourtant, elles sont pleines de défauts. Mais quoi de mieux que de se battre avec le levier du Combi ou d’affronter la pluie avec la capote douteuse d’une 2CV ? Avec elles, chaque trajet devient souvenir, chaque défaut une raison de sourire. Antidote à la voiture-clone: Oubliez le SUV stérile, la caméra de recul, le siège massant. Ces bagnoles vibrent, s’exhibent, rassemblent. Monter dans un Combi enjolive n’importe quelle journée… et ça ne se commande pas via une appli. Back to the Flower Power soixante-huitard Le casting : Un cadre sup’, look casual-chic étudié, Combi VW patiné-mais-pas-trop avec femme, enfants et paddle gonflable. 
 Objectif : Revivre la libération flower power des années 60 le week-end, avant de retourner en réunion Teams le lundi matin. Le scénario : On va jouer à la bohème, c’est un sport de loisirs, le vintage est soigneusement instagrammé en direct. Le combi Peace & Love, lui, peut dépasser 70,000€ sur le marché de la camionnette restaurée ! Déconnexion sous contrôle, aventure balisée, “road trip” validé grâce à Google Maps et playlist rock 70’s sur l’enceinte Bluetooth dernier cri. À chaque halte, on plante le décor : rideaux Van Dyke, café moulu bio, post Insta #VanLife et souvenirs de jeunesse enjolivés autour d’un Spritz. Qui aurait cru que le Combi, vestige des chantiers et totem soixante-huitard, deviendrait LA machine à remonter le temps (sélective ou peaufinée selon le standing) ? Un aller-retour express vers l’utopie… à condition de rentrer avant la fin du week-end prolongé. Bref, on s’offre un week « Retour vers le futur », mais on rentre à l’heure le dimanche soir. 
Le vrai rebelle (ou plutôt Outlaw) d’aujourd’hui est CSP+, fleur au fusil, carte Amex corporate et Combi rutilant. Le “back to the future” version bobos quinquagénaires : c’est du flower power sur ordonnance, et on adore regarder la scène — avec un doigt de sarcasme à la main. 
 Source : autocollec.com

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES - LES USINES DUCATI ....LES MOTOS A LA SAUCE BOLOGNAISE !!

Ducati Motor Holding est un constructeur italien de moto basé à Bologne, en Émilie-Romagne. Le constructeur automobile allemand Audi, filiale de Volkswagen annonce avoir racheté Ducati. Ducati est réputé pour ses bicylindres en V à 90 ° ou en L et sa distribution desmodromique. Sa notoriété s'est notamment construite après de multiples victoires en compétition moto....

Originaire de la Sardaigne, la famille Ducati, fait appel à des investisseurs et fonde en 1926 à Bologne la « Società Scientifica Radio Brevetti Ducati », dont l'objectif était la production de composants pour l'amélioration de la transmission par radio. Domaine qui à cette époque représentait l'avenir. À partir de cette date, la société Ducati n'aura de cesse de croître et de diversifier ses activités : elle produira des machines à calculer, des appareils de photo, et des radios. 
 Mais la Seconde Guerre mondiale laissera ses stigmates : en 1943, l'usine de Borgo Panigale, une banlieue industrielle de Bologne, est envahie par l'armée allemande. 
En 1944, elle sera totalement détruite par les bombardements alliés.
Reportage au cœur de l'usine Ducati en Italie en 4 épisodes...

Il fallut beaucoup de courage aux frères Ducati pour relancer leur activité industrielle. Pour cela, ils commencèrent à produire, à partir de 1946, un moteur auxiliaire, le Cucciolo, destiné à s'adapter sur le cadre de bicyclettes, dont ils avaient racheté la licence à Siata. 
Bien que l'engin fut adapté aux besoins de l'époque, la situation financière de la famille Ducati était devenue catastrophique, si bien qu'ils durent, pour continuer leur activité, faire appel à une aide de l'État. 
 L'aide fut accordée, mais sous contrôle d'un syndic. Malgré tout, et alors que le Cucciolo connaissait un certain succès, la société est déclarée en faillite en 1949. 

Les frères Ducati quittent alors définitivement l'entreprise. Jusqu'en 1983, date du rachat par les frères Castiglioni, propriétaires de Cagiva, la firme de Borgo Panigale restera sous contrôle de l'État. 
 En 1996, le groupe Cagiva est à son tour en proie à de graves soucis financiers. Il décide de se séparer de Ducati, racheté par le fonds d'investissement américain Texas Pacific Group.

En 2006, le fonds d'investissement italien InvestIndustrial2 rachète 100 % des parts de Ducati à TPG. La marque redevient donc totalement italienne. Audi rachète les parts de Ducati à InvestIndustrial en 2012 pour une somme évaluée à 860 millions d'euros. 
En avril 2017, on spécule sur la revente à une entreprise asiatique1. En juin 2017, des rumeurs font état d'une mise en vente de l'entreprise italienne par le Groupe Volkswagen, touché de plein fouet par le scandale des moteurs diesel truqués révélé en Septembre 2015. 
Des acheteurs potentiels de la Firme de Bologne se présentent alors. Parmi eux figurent figurent Harley-Davidson, Bajaj Auto et InvestIndustrial. 
 Néanmoins, il est annoncé quelques semaines plus tard que le conseil de surveillance du Groupe Volkswagen s'oppose à une vente de la marque italienne pour le moment. Au mois d'Octobre, la marque n'est plus déclarée en vente officiellement.

Source : ShigixWKPDIA/CC-BY-SA-3.0

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mardi 29 juillet 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - COMME D'HABITUDE NOTRE JEAN-PIERRE TOUJOURS PRET POUR LE DEPART...


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - DOUILLETTE LA VOITURE DE CES DAMES !!


CLUB5A- SPORT AUTO - LES FEMMES PILOTES DANS LES ANNÉES FOLLES...

La grande guerre avec ses millions de morts, va transformer durablement notre société. Pendant le conflit les femmes sont recrutées dans des métiers jusque là exclusivement réservés aux hommes. C'est comme cela que certaines se retrouvent à conduire des ambulances ou à faire de la mécanique. Ces nouvelles perspectives pour la femme vont séduire les plus téméraires et engendrer une nouvelle mode. 
Après le conflit, le marché est limité pour les constructeurs automobiles, il est restreint à une clientèle bourgeoise aisée. Et la clientèle féminine, dans ce contexte, permet d'étendre ce marché. Tous vont donc rivaliser pour la séduire et l'attirer vers l'automobile. La course automobile, les rallyes et les concours d'élégance seront, parmi les lieux privilégiés pour se montrer au volant des plus beaux bolides. 
 Dès 1923 des femmes participent à certaines courses, comme le Bol d'or. C'est en 1925 que des femmes s'inscrivent pour la première fois au rallye de Monte-Carlo. Mme Mertens sur Lancia, partie de Tunis, est arrivée première au temps de ce 3eme Rallye de Monte Carlo, mais ne sera classée que 2eme, n'ayant qu'un seul passager, son mari. En effet le classement est par points et 6 points sont attribués par passager transporté. Le premier Automobile club féminin est créé en 1926 par la Duchesse d'Uzès (83 ans), qui avait été aussi en 1898 la première femme à obtenir un brevet de chauffeur. 
C'est elle qui donnera le départ du premier championnat féminin de l'Auto en 1927 sur l'autodrome, organisé par son club. De nombreuses épreuves spécifiquement féminines sont créées à cette époque, les plus connues étant : Le Paris - La Baule automobile pour dames, le rallye Paris-Saint Raphaël féminin, le championnat féminin de l'Auto, organisé par l'Automobile Club Féminin de Paris et qui est composé d'une série d'épreuves féminines, qui ont lieu chaque année à partir de 1927 sur l'autodrome. 
L'autodrome, qui ouvre en 1924, devient tout naturellement un des hauts lieux de pilotage, pour ces nouvelles idoles féminines. De nombreuses femmes pilotes vont y rivaliser d'adresse, dans des courses qui leurs sont réservées. Mais aussi dans des records toutes catégories, où certaines tiendront la dragée haute aux meilleurs pilotes masculins. En 1936 a lieu aussi sur l'autodrome un critérium féminin, séries éliminatoires de dix Simca 5 tirées au sort......

Mathilde Riehl, 16 ans, ouvre cette semaine le rallye de France. La jeune Mulhousienne n'a pas encore le permis en poche, mais elle pilote déjà des bolides! 
  Source : autodrome.over-blog.com/ Alsace20