vendredi 3 février 2023

CLUB5A. SPORT AUTO - Juan Manuel Fangio.......un homme, une légende !!

 

Juan Manuel Fangio, un homme, une légende...De Monza à...Monza Auréolé de son titre mondial, Fangio entame alors une tournée triomphale en Amérique du Sud. Retrouvant le volant de sa Ferrari 166, suralimentée cette fois par un compresseur, il s'impose dans six des sept courses organisées au Brésil, Argentine et Uruguay. 
Son retour en Europe se transforme bientôt en une véritable course contre la montre : Mille Miles avec Alfa, séances d'essais avec la nouvelle Maserati et meetings de courses avec la BRM. Pour honorer ses contrats, Fangio est précipité dans un véritable tourbillon. Ainsi en juin 1952, il doit disputer le Trophée de l'Uster le samedi et le GP de Monza le lendemain. Contraint d'abandonner une nouvelle fois avec la capricieuse BRM, il se retrouve bloqué en Irlande à la fin de la course.
 Les liaisons aériennes interrompues par un tempête sur la manche l'empèche de rejoindre l'Italie. Fangio ne renonce pas. A minuit, Il réussit à gagner Paris avec Louis Rosier, mais toujours pas d'avion ni de trains suffisamment rapides pour Milan. Rosier lui pêt alors sa 4 CV Renault, roule toute la nuit, franchit les Alpes dans des conditions météos épouvantables et finit par arriver à Monza une demie heure avant le départ de la course.
 "Je suis arrivé à Monza à 2 heures, je me suis mis au volant de la Maserati à la demie et à 3 heures j'étais à l'hôpital." 
Epuisé par son marathon, il a commis l'une des rares fautes de pilotage de sa carrière. Il entre trop vite dans la courbe de Lesmo et la Maserati, toute neuve s'envole, fait deux ou trois tonneaux et éjecte son pilote. Il atterrit miraculeusement entre deux arbres mais l'homme est tout de même sérieusement blessé. Touché aux vertèbres cervicales, il va être hospitalisé pendant quarante jours et devoir conserver un plâtre, de la taille jusqu'au cou, pendant cinq mois. Sa saison est terminée. Il ne va reprendre un volant qu'en janvier 1953 pour les traditionnels GP d'Argentine où ses prestations, un peu anonymes, laissent les observateurs sceptiques sur son état de récupération. 
Son exploit aux Mille Miles va bientôt démoder toutes les spéculations et interrogations. Avec une direction cassée, (son Alfa n'est plus guidée que par la seule roue avant droite), il parvient à s'emparer de la seconde place en tenant les 160 km/h sur les 200 derniers kilomètres! En Grand-Prix, il ne va pas tarder à bousculer la sereine domination des Ferrari invaincues en championnat du monde et d'un Ascari en état de grâce. 
Très rapide la Maserati devient aussi de plus en plus fiable, et le premier coup de semonce est tiré à l'occasion du GP de l'ACF à Reims. Dans une épreuve un peu folle se jouant " à l'aspiration" dans les grandes lignes droites du circuit, la guerre d'usure entre les quatre Ferrari et les quatre Maserati va atteindre des sommets. De cet essaim bourdonnant de voiture rouges, Fangio et Hawthorn finissent par émerger en tête. Leur duel va se poursuivre pendant 32 tours pour se terminer à l'avantage du Britannique avec une petite seconde d'avance sous le drapeau à damiers...
En Italie, pour l'ultime GP de la saison, le scénario est tout aussi intense mais tourne cette fois à l'avantage de l'Argentin qui renoue avec la victoire pour la première fois depuis son accident. Et c'est à Monza, quinze mois après l'accident qui faillit lui coûter la vie, comme pour conjurer le mauvais sort!! Le Maître est de retour et la fantastique "machine à gagner" va tourner à nouveau à plein régime. Un succès, en solitaire, à la fameuse Carrera Panaméricaine avec la jolie Lancia D 24 puis deux victoires en Argentine et au GP de Belgique, avec la toute jeune Maserati 250 F ne sont que le prélude à une moisson de victoires. 
Source : caradisiac.com-Duke Video

mardi 31 janvier 2023

lundi 30 janvier 2023

CLUB5A - LE TOP DES 5A - POSE PHOTO SUR LE PARVI DE LA CITE DE CARCASSONNE ....C'ETAIT LE RALLYE DE LA CITE 2017 !!


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - OU EST L'ENDROIT ?...OU EST L'ENVERS ?


CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LE H-Y PASSE MURAILLE !!


 

CLUB DES 5A - MOTO DE LEGENDE - Tricycle De Dion Bouton 1898....le savoir faire français !!

 

L’histoire du tricycle De Dion Bouton. 1881 le Comte Albert De Dion à 25 ans, observe exposée dans une vitrine une machine à vapeur. L’ aristocrate mordu de locomotion, se renseigna afin de connaître le constructeur. Il apprend que ce sont, un mécanicien Georges Bouton et Charles Trépardoux ingénieur des Arts et Métiers. 1882 ils fondent à 3, Trépardoux et Cie, devenant après le départ de M. Trépardoux en 1894, De Dion Bouton établie à Puteaux. Quelle est la date de la première course automobile en france ? 

Ainsi, une course de voiture à été organisée le 28 avril 1887 par le rédacteur en chef de la publication parisienne « Le Vélocipède », Monsieur Fossier. C’était un parcours sur 2 kilomètres du pont de Neuilly au Bois de Boulogne à Paris avec trois tricycles. A savoir, que Monsieur Georges Bouton a été le vainqueur avec un tricycle qu’il avait construit avec le marquis de Dion. 
Le tricycle De Dion Bouton avant la moto Au début après le vélo, ce n’était pas la moto mais le tricycle. Ainsi les pilotes fortunés avaient du mal à maîtriser leur équilibre sur deux roues, les trois roues du tricycle De Dion Bouton assuraient de ce fait la stabilité, et cela était un argument de taille ! A noter, que de tous les tricycles qui ne dureront que de 1895 à 1905, le tricycle De Dion Bouton est sans conteste le plus connu. Et ce, avec ses 5000 exemplaires et son succès international. Mais il y a eu des copies. En voici quelques-unes : Aster, Barré, Coniot, Peugeot, Gladiator etc… 
 Aussi, en 1896 une publicité disait : « Le tricycle De Dion, c’est l’automobile du célibataire » Par ailleurs, le tricycle De Dion à pétrole peux être actionné de deux façons. Premièrement en pédalant cela agit sur une roue dentée, ou par son moteur thermique à essence de pétrole. Il pèse environ 100 k avec des pneus Michelin spéciaux. Ainsi que de deux freins, avec des lames recouvertes de cuir. 
 L’une est montée sur le différentiel et l’autre sur la roue avant, avec chacune un levier de commande placée de chaque côté du guidon. La selle est en cuir naturel, et le cadre est muni de boîtes de rangement pour outils, il est équipé d’une lanterne à pétrole à l’avant. 
Vitesses et fonctionnement du tricycle De Dion Bouton Ainsi, sa vitesse moyenne atteint 30 à 35 Kms heure. A savoir, que son réservoir d’essence de 3 litres ½ permet de faire 50 à 60 kms. Aussi, pour l’électricité, il dispose d’une générateur à pile pouvant tenir pendant 200 heures. Par ailleurs, son moteur construit pour être très robuste comporte un cylindre vertical. Et ce, avec beaucoup d’ailettes afin de permettre de refroidir par air le moteur. En dernier lieu, une bielle et un piston qui se déplace de haut en bas. Ainsi, ce sont les trois pièces essentielles. 
A noter que le réservoir carburateur en cuivre est triangulaire et place en dessous de la selle. En outre, il y a un allumage électrique avec un interrupteur à la poignée gauche, avec une bobine d’induction, qui est alimentée à l’aide d’une batterie de piles sèches. 
 Courses automobiles De Dion Bouton A savoir, qu’en 1900, il a été refroidi par eau et deviendra le véhicule le plus répandu en France, grâce à ses résultats en course : 
1896 -Vainqueur au Paris-Dieppe 
1897 – Vainqueur au Menton Nice 
1897 – 1er à La Turbie 
1898 – Premier dans quatre courses 
1898 – 2ème au Paris-Amsterdam-Paris 
 Source : AtelierduLoft.fr - hoxtonmoto

dimanche 29 janvier 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR LA BOURSE D'ECHANGE AUTO-MOTO ORANISEE PAR LE CLUB DES 5A CARCASSONNE LES 21 ET 22 JANVIER 2023..

 
Source : lindependant.fr-J-G-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - LE TOP DES 5A - QUELQUES MINUTES AVANT LE DEPART DU MOBI-TOUR DE 2017 !!


 

CLUB5A- HUMOUR AUTO - LA COURTOISIE AU VOLANT NE CONNAIT PAS DE LIMITATION !!


CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES - L'HISTOIRE DES MOTOS BMW DEPUIS 1917 !!!!

L'histoire des motos BMW du premier modèle de 1917 jusqu'à la surpuissante S100R, revoyez les grandes étapes et les modèles phares de BMW. 

C’est en 1917 que tout a commencé. En février, un nouveau constructeur en chef était entré aux Rapp-Motorenwerke (usines de moteurs Rapp). Ayant quitté la Daimler Motoren-Gesellschaft, Max Friz arrivait à Munich avec l’idée d’un moteur d’avion qu’il n’avait pas pu réaliser chez son employeur précédent. Il voulait construire un moteur plus gros et à taux de compression plus élevé permettant aux avions de voler à plus haute altitude que jusqu’alors. 
L’interdiction de construire des moteurs d’avion imposée à l’Allemagne par le traité de Versailles de 1919 mit une fin abrupte à la série de succès de BMW. Les ingénieurs construisirent le moteur bavarois M 4 A 12 dérivé du moteur d’avion pour en faire un moteur stationnaire ou un groupe destiné à la propulsion de bateaux, de tracteurs ou de camions. 
L’entreprise, qui cherchait en même temps de nouveaux champs d’activité, se tourna alors vers les deux-roues. Les ingénieurs développèrent un petit moteur à deux cylindres opposés d’une cylindrée de 500 centimètres cubes. Les pistons et le bloc-cylindres du nouveau M 12 B 15 étant en aluminium, l’ensemble pesait seulement 31 kilogrammes. Au début, BMW vendait ce moteur aux fabricants de deux-roues. Et puis, en 1922, BMW se décida à se tourner complètement vers le marché moto... et rachètera plus tard la marque Husqvarna. 


 La R 32, première moto du monde à moteur flat et arbre de transmission. Partant du moteur existant, Max Friz prévoyait de monter les cylindres transversalement par rapport au sens de la marche. Le vilebrequin était dans une position longitudinale. La boîte de vitesses à arbres également disposés longitudinalement était commandée par un embrayage à friction, les deux carters étant vissés ensemble. La liaison entre la boîte de vitesse et la roue arrière était assurée par un arbre à cardan. 
Chacune de ces caractéristiques de base était déjà présente sur le marché. Mais Max Friz fut le premier à les assembler dans la construction innovante de la BMW R 32. Le 28 septembre 1923, lors du Salon allemand de l’automobile, dans les halls d’exposition du Kaiserdamm à Berlin, BMW présenta officiellement sa première moto, en plus de sa gamme de moteurs. Le constructeur munichois affrontait la concurrence de plus de 130 fabricants de motos dans son propre pays. 
En même temps, la machine animée par un moteur de 8,5 ch coûtait 2 200 reichsmark, sans options, ce qui en faisait l’une des plus chères. Malgré cela, la machine remporte un succès commercial. La moto de BMW se distinguait de ses concurrentes non seulement par l’unité aplatie formée par le moteur et la boîte mais aussi par son cadre à deux boucles fermées en tubes d’acier parallèles. Le moteur boxer plat placé très bas améliorait considérablement la position du centre de gravité et, par la même occasion, les caractéristiques de conduite. 

La fourche de la roue avant n’autorisait que de faibles débattements mais le recours à des ressorts à lame apportait un certain effet d’auto-amortissement. Le vernis-émail d’un noir profond et le coûteux décor de lignes blanches posaient des critères en matière de qualité de la finition. Le premier moteur de moto à pistons en alliage léger. Mais la mécanique de cette moto posait des critères encore plus importants. Les premiers motocyclistes BMW pouvaient s’enorgueillir du fait qu’ils bénéficiaient de l’expérience du constructeur de moteurs d’avions. 
Cela se traduisait par le choix des matières comme par l’utilisation d’alliage léger pour les pistons ainsi que par une sécurité de fonctionnement et une fiabilité encore difficile à trouver dans le secteur de la construction de motos. Pas de transmission par chaîne vulnérable entre le moteur et la boîte, ni chaîne ni courroie vers la roue arrière, des queues de soupape et des ressorts encapsulés en haut sur les cylindres de manière étanche à la poussière et à l’huile. Avec le circuit de graissage fermé, cela avait pour effet que la moto restait propre et que les opérations de maintenance étaient considérablement simplifiées. A cette époque, la meilleure publicité pour une nouvelle moto, et pour une nouvelle marque en particulier, était de remporter des succès en compétition sportive. 
C’est ainsi que, le 2 février 1924, le jeune ingénieur Rudolf Schleicher prit le départ de la course de montagne de la Mittenwalder Steig et l’emporta en accomplissant le meilleur temps du jour sur sa BMW. Ce faisant, il s’inscrivait en tant que premier vainqueur au chapitre des sports motorisés dans l’histoire des Bayerischen Motoren Werke. Mais Schleicher n’était pas seulement un motocycliste rapide. C’était aussi un constructeur ingénieux. Le 18 mai 1924, trois pilotes d’essai des usines BMW prirent le départ de la Course de la Solitude, à Stuttgart, avec une culasse de sa conception, qui était, pour la première fois dans le domaine de la construction de motos, coulée en alliage léger, et des soupapes en tête (ohv) encapsulées sous un capot de recouvrement. Ils l’emportèrent dans trois catégories. 
Cette nouvelle construction fut reprise encore en 1924 dans le nouveau modèle sport, la R 37 qui, avec ses 16 ch, était presque deux fois plus puissante que la R 32 du moment. Le cadre en acier embouti, symbole de l’ «école allemande». BMW se mit à présenter des innovations comme des châssis stables en acier embouti pour remplacer les cadres en tube. Cette construction permettait d’éviter les craquelures aux points de jonction par soudure. Lorsqu’il fut adopté par un certain nombre de compétiteurs nationaux, la dénomination d’ «école allemande» s’imposa à l’étranger pour désigner ce type de construction. 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UN MOTARD NE DOIT JAMAIS PRATIQUER LA POLITIQUE DE L'AUTRUCHE !!


 

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